Étiquette : mon coaching (Page 1 of 2)

C’est quoi une approche holistique ?

Bonjour,

Mon approche est holistique : je m’intéresse à l’entièreté de la personne. je suis passé par les deux grandes orientations thérapeutiques pour toujours sentir un manque : je rejette cette séparation du corps et du mental, et je propose une approche « holistique » c’est à dire globale, centrée sur la singularité de la personne. Il ne s’agit donc pas d’une thérapie, vous êtes votre propre thérapeute, je ne suis là que pour vous accompagner, comme une béquille que vous allez lâcher dès que possible, en toute autonomie.

 

* approche psychologique :

le thérapeute vous considère généralement sous l’angle de vos façons de fonctionner, et en déduit tout un tas de dysfonctionnements qui correspondent à un canevas donné. Cela peut être les schémas de la psychanalyse moderne, ou encore le transgénérationnel, ou encore les schémas astrologiques, il y a mille façons de catégoriser une personne.

Je ne me satisfais absolument pas de ces techniques, qui oublient l’aspect humain, la complexité de la Vie, la singularité de la personne, son identité unique, qui restent des techniques. Les techniques et les canevas doivent selon moi rester des outils, pas des thérapies.

Pour ma part, j’ai besoin de m’intéresser d’abord à la personne, à sa singularité, à son humanité. Ensuite, je pense qu’aucun savoir ne donne la connaissance profonde de l’autre, que chaque personne, aussi bonne thérapeute soit-elle, perçoit le monde, donc l’autre, au travers de ses propres filtres. L’humilité est donc indispensable : je ne peux pas être un thérapeute, ce qui est soignant n’est issu de mes connaissances, mais c’est une interaction énergétique entre mon énergie et l’énergie de la personne.

Et enfin, plus important encore, comment pourrais-je laisser de côté l’aspect corporel d’une personne ? Même la science, notamment la neuroscience, réalise aujourd’hui qu’il y a des connexions entre le corps et le cerveau. Par conséquent, je pense que les thérapies uniquement orientées vers la psychologique sont incomplètes !

 

* Approche corporelle

Que ce soit la médecine allopathique comme nombre de techniques manuelles de médecines naturelles, s’intéresser à la maladie dans le corps est un sparadrap poreux selon ma conception des choses.

Les maladies internes sont à 90% liées aux émotions, donc à l’aspect psychique. Les émotions naissent par l’intermédiaire de nos perceptions, et nos perceptions sont sensorielles, elles se passent dans le corps. Enfin, nos perceptions sont interprétées selon notre passé et notre état mental.

Voilà pourquoi je ne crois pas aux médecines du corps. Elles sont incomplètes. Les neurosciences nous ont montré que le cerveau et le corps ne sont pas séparés, comment une approche uniquement corporelles ou uniquement psychologiques pourrait-elle être complète ?

Voilà pourquoi je m’oriente vers une approche qui est globale. Vous allez me dire que c’est ce qu’on fait en naturopathie. C’est un début, oui.

Mais le corps et le mental, ne me suffisent pas ! Je ressens le besoin de m’intéresser en priorité à l’Être : l’être humain, l’être vivant ! Nous sommes des Être, c’est à dire que nous existons, nous sommes mus par la Vie, le Qi, l’énergie vitale, l’Essence de Vie, à chaque instant. Nous avons une dimension plus profonde que celle du mental et celle du corps. Une approche plus Rogériennne me semble appropriée, du nom de ce thérapeute qui a développé son art centré sur la personne.

 

ce que je veux faire

1- soigner les gens
les maladies internes sont liées aux émotions.
les maladies chroniques sont liées aux émotions.
les maladies externes sont liées directement aux facteurs de cause visibles.
les empoisonnements et facteurs externes indirects sont plus difficiles à détecter.
Processus :
– BILAN de MTC, Il permet de détecter les tableaux.
– PRINCIPES DE TRAITEMENT : Au lieu de traiter les organes et leurs fonctions, par ex par les méthodes d’acupuncture et de pharmacopée je veux utiliser :
– Tuina
– questions socratiques
– huiles essentielles

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2 – DONNER LA BONNE PAROLE
Faire réfléchir les gens. par des vidéos courtes à thème d’introductions; vidéos plus longues développement, conférences, web conf

3 – Ecrire des Livres
3.1 Thèmes de développement :
traduire les accords toltèques
dédramatiser les abus de language ex : « on choisit ce qui nous arrive »

3.2 Thèmes naturalistes :
Traduire la MTC
Traduire les principes du TaoTeKing et de Tchouang
Traduire le YiKing

4 – Coaching génératif
Préciser un objectif
Se motiver
Définir ses valeurs
définir la personnalité

Coaching – QUESTIONS action – valeur

QUESTIONS action – valeur

qu’est-ce qui ajouterait de la valeur à ce que tu fais ?

Quelles actions ajouteraient de la valeur à ce que tu fais ?

Quelles actions ajouteraient de TA valeur à ce que tu fais  ?

=> Le résultat de cette réflexion est que ces actions nourrissent tes valeurs

 

 

Coaching : QUESTIONS – façon de faire – valeur

QUESTIONS – façon de faire – valeur

Quelle façon de fonctionner ajouterait de la valeur à ce que tu fais ?

Quelle manière de fonctionner ajouterait de TA valeur à ce que tu fais ?

Quelle manière de fonctionner met en lumière TA valeur dans ce que tu fais ?

Le résultat de cette réflexion est TA manière d’agir qui nourrit TA valeur

Coaching : le lien entre l’objectif et l’identité

 » si je veux vraiment apporter une valeur ajoutée aux gens, je dois me demander et demander aux autres ce qui est si important dans leur vie et qui les aiderait à avoir plus de valeur, plus de succès et plus de confiance en eux  » John Maxwell

L’objectif de John est d’apporter de la valeur ajoutée aux gens. John fait cela parce que cela va nourrir son être, son identité, ses valeurs.

L’objectif de Céline était de changer de vie, de lieu et d’activité. Céline a fait ça parce que cet objectif nourrirait son être, son identité, ses valeurs.

Exercice de réflexion pour déterminer sa façon de fonctionner

 » si je veux vraiment apporter une valeur ajoutée aux gens, je dois me demander et demander aux autres ce qui est si important dans leur vie et qui les aiderait à avoir plus de valeur, plus de succès et plus de confiance en eux  » John Maxwell

L’objectif de John est d’apporter de la valeur ajoutée aux gens. John fait cela parce que cela va nourrir son être, son identité, ses valeurs.

L’objectif de Céline était de changer de vie, de lieu et d’activité. Céline a fait ça parce que cet objectif nourrirait son être, son identité, ses valeurs.

Pour la mise en action, John et Céline ont choisi chacun une manière de faire qui correspondent à leurs goûts personnels. Pourquoi c’est si important ?

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états dépressifs : de l’intérêt de dépersonnaliser le problème – Outil de Coaching

Voici une astuce qui peut avoir des effets profonds, qui concerne autant les amis que le coach d’accompagnement :

Dissociez le problème de la personne !

Ca veut dire quoi ? Lorsque l’ami(e) ou le client vous raconte qu’il/elle est « ceci » ou « cela », à savoir l’objet d’un stress intense comme un état dépressif, accompagné souvent de comportements destructeurs et déstructurants, comme l’isolement, les réactions socialement inappropriées…ou parfois les addictions ou compulsions.

Vous pouvez l’écouter, et le faire sans vous compromettre dans la complainte, ce qu’il faut en effet éviter, car cela ne fait que renforcer l’état de la personne et risque de vous éloigner d’elle parce qu’il n’est jamais épanouissant de fréquenter une personne en état dépressif. Bref. Mais comment écouter sans renforcer ?

Vous pouvez parler du comportement ou du problème en le dissociant de la personne :

au lieu de  » et quand tu es dans ta colère, que fais-tu ?  »
on peut  » et quand cette colère survient, comment tu réagis ?  »

au lieu de  » et depuis quand tu es dans ta dépression ?  »
plutôt  » et quand cette dépression a-t-elle commencé ?  »

au lieu de  » tu dis que tu es acheteuse compulsive, depuis quand ?  »
plutôt  » depuis quand cette compulsion survient-elle ?  »

Tant que la personne s’identifie à son problème, elle ne le lâchera pas, et le lâcher sera un deuil en soi. Le fait de dissocier peut avoir différents effets :

* La personne, en se dés-identifiant, peut considérer le problème comme quelque chose d’extérieur, et il est plus facile de se débarrasser d’une chose extérieure que de quelque chose qui nous appartient ;

* La personne peut cesser de culpabiliser, ce n’est pas elle qui est alcoolique, c’est l’alcoolisme qui la domine ; ce n’est pas elle qui est déprimée, mais une dépression qui l’accable ; le fumeur peut lui aussi considérer le fait de fumer comme quelque chose d’extérieur à lui ;

* La personne peut vous considérer comme quelqu’un qui la comprend, alors que vous n’avez pas du tout approuvé son problème. Le fait d’avoir un ami qui la comprend peut renforcer la personne dans sa volonté de se débarrasser de son problème ;

* La personne peut reprendre ESPOIR ! Si le problème n’est pas elle, elle n’est pas le problème, et l’espoir peut renaitre : l’espoir est la chose la plus importante pour toute personne prise dans un état dépressif !

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Voilà, petit geste, grands effets ! Si vous répétez cette habitude, pour eux mais aussi pour tout votre entourage, et pour vous, vous me raconterez les effets que cela produit !

Voeux et Résolutions, magie et coaching

« Ne te rendors pas, car la brise du matin te murmure des secrets »  (Rumi)

Quel secret me dis-tu ce matin, toi l’insondable, l’indicible, l’inavoué part céleste, toi … l’esprit ?

Le mot esprit se rapporte à la spiritualité, le spirit. Or, la spiritualité ne trouve pas son siège dans le cerveau. Quand en langue Français on parle de l’esprit, généralement on évoque le cerveau. Or, l’acception générale du cerveau, c’est de réfléchir, de raisonner, de mouliner, et c’est bien utile pour résoudre les préoccupations du quotidien. Le cerveau est aussi le siège des mémoires, des automatismes, etc… mais pas de l’esprit.

Quand je capte une part de l’esprit, ce n’est pas un raisonnement. C’est plutôt un éclat, une intuition, un vécu même, et ce sont des associations parfois étranges. L’esprit évolue dans un sfumato, d’où sa manifestation dans les toutes premières heures du jour, quand le cerveau qui raisonne, lui, est encore endormi, dans ses ondes alpha, pour que puisse résonner d’autres images, venues d’ailleurs, captées par le cerveau calme.

 

Hier, au 1er Janvier, j’ai pensé à ces vœux qu’on forme pour ce nouveau cycle de Vie qui commence dans l’hiver. Les vœux du nouvel an sont d’autant plus facilités que je suis débarrassé de l’ancienne année. Un légèreté offerte, c’est évidemment dans la tête que ça se passe, on peut très bien, chaque jour, se sentir libre de ce qui s’est passé la veille ou l’année d’avant. D’ailleurs, heureusement que je ne fais pas chaque jour le bilan des 365 derniers jours ! le bilan ne me sert qu’à mieux me projeter v vers autre  chose : ce n’est pas en faisant la même chose que je vais pouvoir générer autre chose que ce qui est déjà arrivé, voilà pourquoi les bilans ne sont que le compte de ce que je ne veux plus faire, mais l’utilité du passé s’arrête là, autrement je referai toujours les mêmes choses, et j’irai dans les mêmes impasses, encore et encore.

Et pour générer autre chose, je dois donc m’ouvrir à l’inconnu. L’inconnu, ce n’est pas un inconnu extérieur. C’est l’inconnu intérieur. C’est ce que je n’ai pas encore fait, c’est d’autres manières de faire, c’est explorer d’autres de mes talents ou alors de les mettre en valeur d’une manière différente, c’est explorer mes valeurs, et même mon identité. Observer, explorer, faire autrement ne sont pas des trahisons de ce que je suis. Je suis est toujours le même et le restera. Du moment que je choisis d’observer et d’explorer, je n’ai pas à avoir …. Peur ! Car j’ai, comme presque tout le monde, peur de l’inconnu. J’ai été élevé dans la croyance que l’inconnu est mauvais, et j’évolue dans une société qui est actuellement totalement recroquevillée dans ses peurs, rapport je pense à une population vieillissante, et quand on vieillit on a plus peur. Peur de quoi ? de perdre ! Car nous avons des besoins fondamentaux, ceux de la protection et de la sécurité sont forts, de me retiennent dans l’acquis. Et il n’y a rien de mieux que l’acquis pour me figer.

Quelle est donc la différence entre les vœux et les résolutions ?

Le vœu : il est lancé dans le airs, c’est une intention. C’est beau et ça fait rêver. J’ai besoin de magie, de rêver, de croire, de m’évader du cerveau pour rejoindre ma part céleste, et de le faire régulièrement. Ma part céleste, c’est la magie en moi, celle que je perçois parfois dans le chant d’un oiseau, lors d’un coucher de soleil ou dans le silence d’une église de campagne … cette magie n’a pas besoin que je réalise des résolutions, du concret, car la magie est déjà parfaite, elle est là, à disposition, il suffit que je la cueille ici et là. Les vœux, c’est une bénédiction, une intention divine, chamanique, ce que tu voudras, et c’est important, profond. Le vœu de la nouvelle année, c’est une prière, c’est notre façon moderne de nous adresser aux Dieux pour leur demander qu’ils nous offrent ce à quoi nous attachons de l’importance. Généralement, c’est souhaiter des bonnes récoltes, et la paix. En Occident, dans cette minorité de gens trop bien nourris, nous souhaitons des choses beaucoup plus abstraites comme le bonheur, la santé, la joie, comme si c’était justement la preuve que l’abondance matérielle n’apporte pas le bonheur, mais ça, c’est une autre histoire… bref. Le vœu, c’est un souhait magique, chamanique, il confère au religieux, aux croyances, et c’est bien ainsi. Ceci dit, un vœu reste dans le domaine de la magie, et ma vie concrète n’est pas magie.

Les résolutions : Ce sont toutes les choses que je voudrais faire, concrètement. Mais souvent, les résolutions ne vont pas très loin. Et il y a des raisons à cela. On ne peut pas réaliser ce qui n’est pas défini. Je ne peux pas atteindre l’endroit de mes rêves si je n’ai pas défini où il se trouve ! Je ne peux pas revêtir l’habit de mes rêves si je n’ai pas défini quelle est sa forme, sa couleur, son tissus, et si je n’ai pas trouvé le tailleur qui saura le fabriquer. Je ne peux pas acheter la voiture de mes rêves si je n’ai pas défini ce qu’elle est : elle est différente d’une personne à l’autre, tout comme les vacances de rêve sont différentes d’une personne à l’autre.

Il est donc indispensable, pour réaliser une résolution, de savoir d’où on part, et où on va. Pour qu’une résolution, ou quoi que ce soit d’ailleurs, soit réalisée, elle doit être réaliste ! Souvent on commence par le passé, ce qu’on ne veut plus. Cependant, faire la liste de ce qu’on ne veut plus ne donne pas la destination. Donc, se posent des questions comme : Qu’est-ce que je veux, exactement ? Comment je rends spécifique ma résolution ? j’ai même tendance à dire, quel est l’ordre que je veux donner à mes résolutions ? car chacune doit être menée de façon rigoureuse pour être réalisée. Définir clairement ce qu’est un objectif est indispensable pour le poursuivre !

Car si je poursuis ce qui n’est pas clairement défini, je poursuis quelque chose qui ne correspondra peut-être pas à ce que JE veux, moi, en fonction de mes préférences, mes références, mes valeurs !

Voilà pourquoi souvent, suivre les recettes toutes faites qu’on trouve dans des bouquins ou sur internet ne mènent pas très loin. Prenez « le régime bidule », il ne fonctionne que pour les personnes qui fonctionnent plus ou moins comme l’auteur du régime, mais la grande majorité des gens ne réussissent pas à maigrir sur le long terme. Chaque régime est pertinent…pour la personne sur laquelle ça fonctionne ! Il en est de même pour toutes les méthodes. La méthode est le chemin, la recette qui assemble les ingrédients pour arriver à un résultat. Or, quand on réalise un objectif, les résolutions en font partie, on concocte SA propre recette ! Ce n’est pas un plat de quelqu’un d’autre ! La méthode est donc unique.

Pour ma part, je vise plutôt la démarche inverse, que ce soit en médecine chinoise ou en coaching : c’est chaque personne qui trouve sa manière de réaliser ses objectifs, ses résolutions !

Une fois que j’ai défini mon objectif, c’est comme un voyage : quelles sont les étapes de la réalisation ? quelles sont mes ressources pour y aller ? Comment je saurai que je suis arrivé à destination ? Quels sont les repères que je sème pour retrouver mon chemin si je me perds en cours de route ? Là, la résolution prend forme, et souvent, je me rends compte qu’il a fortement évolué depuis la première fois où j’ai émis cette résolution. Elle s’est transformée, précisée, remodelée en fonction de ce que je veux vraiment moi, et pas selon les rêves d’autres. Cette personalisation me donne de l’estime et de la confiance en moi, en plus ! Je découvre des ressources dont je n’étais pas conscient, ou que je n’ai plus utilisées depuis longtemps, ou pas de cette manière-là … ça aussi, ça me donne confiance et estime ! Au final, le cheminement est souvent plus épanouissant que l’objectif en lui-même !

Lao Tseu disait : « il n’y pas de chemin du bonheur, le bonheur est dans le cheminement »

Cette méthode, c’est le coaching génératif que je propose, celui qui permet à chacun d’entre nous de mettre sur pied la suite de sa propre vie, selon ses propres valeurs et façons de fonctionner, en mettant en valeur les talents naturels dont souvent nous ne sommes pas conscients. C’est un cheminement de joie et de révélation !

Sortir de la Dépression implique d’atteindre une destination

Bonjour,

 

Pour le coach d’accompagnement que je suis, un cheminement contre la dépression, c’est d’abord en sortir ! Ca vous parait logique ? Humm, mais est-ce bien clair pour les deux parties ?  Ce premier point est à vérifier impérativement.

– Le client peut avoir légitimement envie de rester dans la dépression, et tous les bénéfices qu’il peut en tirer : assistanat, plainte, victimisation et médicaments sont des conforts qu’il est parfois difficile de quitter.

– Quand le « thérapeute », souvent des psys, reçoit le « patient » pour que cdelu-ici lui raconte encore et encore son parcours douloureux, j’estime que c’est alimenter la rumination. Je pense qu’un parcours contre la dépression qui dépasse les 6 mois est un constat d’échec.

Oui, les deux parties peuvent trouver un confort dans ce fonctionnement, il n’est pas question de juger, mais je propose simplement autre chose.

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Concernant l’approche, et cela va concerner tout accompagnement de coaching, je vous propose de vous poser quelques questions simples, de « bon sens » :

– Faire un parcours pour sortir de la dépression, comme pour tout parcours, c’est bien poursuivre l’objectif d’arriver à un autre endroit de celui où on est : aller de la dépression vers un état de bien-être, qui sera défini ensemble avec l’accompagnant, de manière spécifique.

– La dépression est un état de stress : quand on est perdu dans une ville inconnue, le stress empêche de trouver son chemin, je suis là pour vous aider à trouver votre chemin.

– Oui, je suis là pour vous écouter, sans vous juger, et pas pour faire à votre place.

– Vous ne passez pas non plus des heures à parler à votre accompagnateur de tous les endroits où vous ne voulez pas aller, car il ne saura pas vous aider si la destination n’est pas définie !

– Vous allez, grâce aux questions de votre accompagnant, définir clairement la destination ; car tout ce qui compose votre espoir clarifie petit à petit le paysage. Car on n’avance nulle part dans le brouillard.

– Vous avez besoin de définir votre parcours étape par étape, sur la façon de vous rendre à votre destination. Les personnes qui ont défini la perspective de leur parcours ont de meilleures chances de réussir !

– Il peut être utile de savoir quels signaux le long du chemin vous permettront de savoir que vous êtes sur le chemin que vous visez : « le marché sera sur votre gauche, le pont sur le Rhin sur votre droite ».

– Vous avez besoin que votre parcours soit concret, de ressentir les effets de votre cheminement. Afin que votre parcours ne soit pas seulement une respiration, car vous ne voulez pas survivre, mais vivre!

– Si vous vous perdez en cours de route, vous saurez que comme sur un sentier forestier, vous ne serez pas dans une lamentation statique : « je suis perdu, oh je suis perdu ». Simplement, vous saurez que c’était une impasse. Alors, vous rebrousserez tranquillement chemin jusqu’au dernier carrefour, pour prendre en toute quiétude une autre option.

– Enfin, vous avez besoin d’avoir une idée claire de VOTRE propre manière de refaire ce parcours si nécessaire, si un jour vous vous perdez. Ne serait-ce que pour conforter votre confiance, votre autonomie.

– Vous avez besoin de savoir comment vous saurez que vous êtes arrivé à destination. Exemple : « vous verrez une énorme statue de Zeus à gauche du pont »).

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Voyez-vous, l’approche du coaching d’accompagnement est concret, et vous propose d’atteindre une destination. La motivation du client est donc ESSENTIELLE, mais l’accompagnant fait office de béquille, que le client peut quitter en étant arrivé à destination pour marcher en toute autonomie, en ayant regagné en confiance et en estime. Voilà tout ce que je vous souhaite !

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