Coachs peu concernés par la souffrance psychologique ?

Que ce soit les coachs professionnels ou les coachs en développements personnel « coaching de vie », un certain nombre de coachs préfère considérer leur « domaine de compétence » dans la réalisation d’objectifs élevés pour leur clientèle : changement de job, réalisation d’un achat, d’un changement de vie : des améliorations de l’existant.

Certains Coachs que je croise considèrent que les états de souffrance psychiques et émotionnels sont de l’ordre de la thérapie. On pourrait même affirmer qu’il existe une sorte de tabou : le coach ne devant pas être un dans une posture de thérapeute (exact !) il ne devrait pas intervenir « sur le terrain » des thérapeutes ? …

On ressent même parfois un malaise devant les « risques de passage à l’acte » que présenteraient le coaching d’une personne en souffrance psychologique. Voilà une belle croyance limitante que j’ai eu plaisir à démonter dans cet article (1).

Je considère que le coaching n’est pas réservé à réaliser un objectif qui va d’un bien-être au plein-être de la réalisation d’un objectif « encore plus haut », mais le Coaching Global peut mener du mal-être vers le bien-être et même au plein-être !