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Chroniques de con-finé sur la vaccination de confort

La très très grande majorité des gens se sont fait « vacciner » non pas à cause du risque d’être malades mais pour pouvoir continuer à avoir la vie sociale qui nous avait été ôtée totalement pendant le confinement. Je peux le comprendre. Et en plus, on nous l’a proposé en été, quand c’est les vacances, à la mi-juillet au moment pile où on a le plus besoin et l’occasion de sortir. je n’ai pas entendu les complotistes relever cela … bref.

La vaccination était une injection non pas sanitaire, mais de confort ! Alors que s’injecter un produit inconnu dans le corps est un acte qui se doit d’être murement réfléchi. Ce n’est pas un produit anodin. De plus, il y a une responsabilité collective à cela.

Imaginez si tous ces gens-là n’avaient pas fait la démarche, disons pendant cet été-là : la campagne de vaccination rendue obligatoire pour aller au restau aurait fait flop !

Et toute la suite de ce que nous avons vécu aurait été différente : les vaccinations pour aller au sport ou à l’école ou au boulot en septembre, les semi-confinements, les doses de rappel, les effets indésirables chez les femmes, la guerre des non-vaccinés et les amitiés brisées, etc… nous nous serions dispensés de tout ça, j’en suis presque certain.

à peine tout le monde piqué, on nous a dit  » ça n’empêche pas d’être malade » et plus tard on a appris que ça n’empêche pas de transmettre. Mais là non plus, personne n’a tiqué …

Et ça ne nous aurait pas empêché de soigner les personnes en danger et de mieux soigner les malades, et les campagnes de vaccination auraient pu être plus ciblées. On aurait pu mobiliser les soignants sur les malades, sans encombrer les services avec des bien-portants : combien de personnes ont été hospitalisées alors qu’en fait, elles n’étaient pas en danger ?

Oui mais voilà, c’était plus urgent d’aller au restau en Juillet 2021 que d’avoir un peu de patience…dommage, hein

Oui c’est humain de vouloir vivre, mais là, c’est du confort, de la paresse, et une démission collective.

 

Chroniques de con-finé : le contexte change les gens

De plus en plus de personnes se plaignent de maux qu’elles attribuent aux « vaccins » arn de la campagne covid. Il ne s’agit pas là de discuter de la justesse de la ruée sur le premier produit qui pourrait marcher, ni de son efficacité. Nous avons tous vécu une période compliquée, et il est humainement compréhensible qu’on se jette sur les solutions et sur la recherche d’une solution. On peut seulement regretter l’absence totale de débat au sein de la classe scientifique, et que les protocoles de mise sur le marché aient été court-circuités, ce qui permet habituellement et justement de déterminer les effets collatéraux et de pouvoir peser un nouveau produit. La panique générale justifiait-elle cette prise de risque ? la pression que les médias et les dirigeants était immense, et seul un organisme indépendant et neutre aurait pu trancher. Mais le discours était plus ou moins  » si vous freinez la mise sur le marché, vous êtes donc des assassins ?  » : le discours a totalement mis de côté l’aspect sanitaire, et le fait qu’on injecte un produit inconnu à des personnes, des vrais gens, et à échelle mondiale. Je ne parle pas là de covid, ni de vaccin arn, je parle simplement de l’ambiance psychologique dans laquelle nous étions tous plongés, la tension du narratif, induite par la peur. Combien de fois ne nous a-t-on pas promis des hécatombes qui ne sont heureusement pas venues ? On nous aurait raconté, il y a 10 ans, que nous serions nous-même demandeurs de nous faire injecter tous les 6 mois une dose d’un produit qui n’a pas passé les tests de précautions minimales nécessaires à un médicament alors que ce produit n’est pas encore un médicament et que les rares tests faits sur des malades se sont révélés inefficaces, je ne suis pas certain que nous l’aurions cru possible, nous aurions nié que ce soit un jour possible, nous aurions surement dit  » non, c’est trop dangereux, on ne peut pas faire ça, ce serait criminel « .

Seulement, le contexte a changé. Je le répète sans cesse : le contexte fait tout ! Nous étions devant la menace (quelque chose qui n’arrive pas, c’est seulement une menace) d’une hécatombe mondiale, une pandémie. Les médias, experts dans la production d’anxiété, ont répondu à leur réflexe morbide habituel et pendant deux ans on n’a pas entendu trois interviews raisonnables, contradictoires, nuancées. L’absence de débat contradictoire aurait pourtant dû nous mettre la puce à l’oreille…mais tout ce qui n’allait pas dans le sens de la panique était classifié de complotiste.

Chroniques de con-finé : le complotisme là où on ne pensait pas

Le complotisme en despote absolutiste

Le complotisme, c’est bien de voir le mal partout, de mettre en lumière chaque indice qui soutient une théorie, et s’il le faut, on invente la lumière pour révéler un indice qui n’existe pas.

Pendant la crise covid, il n’était question que de cela, en permanence !

Le complot mondial s’est répandu chez les anti-covid, mais d’abord et même plus encore chez les pro-covid : médias et ensuite gouvernements n’ont eu de cesse de mettre en lumière les indices de leurs théories.

Ils ont même changé d’avis en cours de route sans jamais se démonter : les indices scientifiques parlent, les chiffres sont là !

Ils ont ainsi changé d’avis plusieurs fois sur le port du masque, mais surtout, ils ont promis qu’avec le vaccin il n’y aurait pas transmission et qu’on ne tombe plus malade. Jamais, jamais personne n’a levé son petit doigt pour dire  » hep, ça suffit, vous vous fichez de nous, maintenant on veut une politique sanitaire et pas une politique de la propagande »

Chroniques de con-finé sur l’importance du décor

Comme je ne regardais pas la télé, et qu’en plus de cela, j’étais déjà confiné avant le confinement (relativement à une blessure), et comme mes parents m’ont appris à ne pas prendre pour argent comptant tout ce qu’on raconte, et comme j’avais déjà compris que je vis dans un monde où l’information n’est pas neutre, je me suis mis en quête d’info. Et il y en a ! Et nous avions, pendant quelques mois, un outil génial qu’étaient les rapports hebdomadaires de santé publique france. Leurs rapports donnaient à voir les différents visages de cette épidémie. Et donc, on pouvait y lire les nuances. Très vite, la panique sanitaire générale s’est transformée en propagande anxiogène généralisée. Pourtant, les rapports hebdomadaires restaient neutres, présentant les chiffres sans interprétation. Je leur ai même écrit pour les féliciter, et je me souviens d’avoir lu une des réponses me préciser que leur équipe n’est pas habituée à livrer des rapports de cette façon, sur l’immédiateté, mais qu’en tant que statisticiens leur manière de travailler se calculer sur le temps long. bref. Mais ensuite, brusquement, ces rapports ont totalement changé de tonalité : dès lors, les rapports étaient clairement orientés à l’alimentation de l’anxiété.

Exemple : Postulons que d’une semaine à l’autre fin juillet, vous aviez disons 500 malades, et la semaine suivante 520.
– Si vous placez ces chiffres sur une courbe qui commence au début, en mars, alors qu’en mars il y en avait 2000 malades, une lecture de la courbe  ne donne pas lieu à panique.
– Si vous comparez seulement les deux semaines, vous pouvez alors affirmer
— qu’il y a une augmentation de 20% de malades,
— et vous pouvez même affirmer qu’il y a 120% de malades par rapport à la semaine dernière.
Tout dépend du narratif que vous voulez faire passer. Chez santé publique france, il y a eu plusieurs « recadrages » pour les obliger à présenter les chiffres d’une manière plus orientée qu’au départ.

Est-ce moi qui suis complotiste ? Est-ce que je veux dénigrer la gravité de l’épidémie ? Désolé non, je ne fais qu’expliquer que si vous changez le décor, vous obtiendrez des réactions différentes.

Nous avons tous, personne n’y échappe, le même processus :

perception > émotions > réactions.

Changez la perception des gens, et vous obtiendrez des réactions, donc des comportements différents.

 

huiles essentielles essentielles

Evidemment il n’existe pas encore d’étude sur le COVID19, de manière générale d’ailleurs (les médicaments qui sortent actuellement ne sont pas basés sur des études complètes)

Mais  » Il existe une multitude de travaux de recherche sur les propriétés antivirales des huiles essentielles. Les résultats sont impressionnants et incontestables. Voici notamment quelques virus pour lesquels nous disposons de véritables données:

  • Le virus de syndrome respiratoire aigu sévère SRAS-CoV (c’est un coronavirus)
  • Le virus de la grippe H1N1
  • Le virus de la grippe aviaire type H5N1 et sous-types H7N3 et H9N2
  • Le virus de bronchite anti-infectieuse (IBV)
  • Le virus de l’herpès simplex HSV
  • Le virus de la dengue DEN
  • Le virus de la maladie de Newcastle NDV
  • Le virus Junin (c’est un arénavirus, responsable de la fièvre hémorragique)

Exemples de l’action des huiles essentielles sur certains virus :

  • L’HE de Tea tree inhibe la réplication de influenza A⁄PR ⁄ 8 virus subtype H1N1 à 0,0006% (v ⁄ v)1. Elle est active contre HSV-1 et HSV-2 à 0,0008% (v/v)2.
  • L’HE d’Eucalyptus globulus est active contre HSV-1 et HSV-2 à 0,009% et 0,008% respectivement3.
  • L’HE de Tea tree sur le Virus de la grippe aviaire H5N1 et sous-types H7N3 et H9N2 à une dose de 10 μl4.
  • L’HE de Tea tree et de l’HE d’eucalyptus en aérosols en tant que désinfectant contre le virus de la grippe A et le phage M13 d’ E. Coli. Les deux HE sont capables d’inactiver les virus à plus de 95% en 5 à 15 min d’exposition5″
+ de 28 études sur le sujet des virus
Si j’étais responsable de n’importe quel établissement recevant du public, je mettrai ces HE dans le diffuseur : Ravintsara, Tea Tree; N’oublions pas que le virus n’est qu’un pauvre parasite qui est inoffensif en soi, c’est l »hôte, à savoir la personne, qui va lui offrir le gite et le couvert ou pas, selon qu’il est en bonne santé ou pas.
Source :

Prier pour ou contre le Covid

La « prière » ici est à comprendre au sens large : c’est autant prier au sens religieux, que émettre une simple pensée « ah si seulement il n’y avait pas ce virus », en passant par les prières d’intention individuelles ou collectives, et même quand on maudit le virus en pensée, tout est intention !

Une intention envoie de l’énergie à l’objet de l’intention. Là où va la pensée va l’énergie !

En envoyant une énergie à un objet, on le renforce dans l’intention qu’on lui envoie. Si on envoie de l’amour à quelqu’un ou quelque chose, on renforce l’amour. Si on envoie de la peur ou de la haine, ce qui est la même chose sur le place énergétique, on le renforce dans ce sens.

Des millions d’intentions sont allées contre le covid depuis sa médiatisation. Or en lui envoyant des pensées négatives, on le renforce dans sa capacité de virulence. Nous le traitons comme un méchant virus, comme quelque chose de malin, de sournois, comme une sorte de nouvelle peste. Mais Pourquoi donc ?

Un virus est un parasite, qui dépend donc de son hôte. Si l’hôte lui offre le gite et le couvert, il va proliférer, et c’est ensuite la dégradation de la santé qui va causer des déficiences graves de l’organisme pouvant aller à la mort. Si l’hôte est solide et n’offre rien à ce parasite, sa virulence sera moindre, ou faible, ou inexistante. En clair, le problème n’est pas le parasite, mais l’état de santé de son hôte.

Il n’existe pas de nuisible ou d’utile dans la nature. Ce sont des constructions humaines, parce que nous avons classé des animaux ou des virus comme nuisible en fonction des conséquences de leur présence dans notre environnement. Mais intrinsèquement, le soleil n’est pas mauvais ni bon, la pluie pas non plus, la nature est neutre…

Donc, au lieu d’envoyer des intentions négatives à ce virus qui n’a rien demandé à personne, pourquoi ne pas l’inviter à partir à nous quitter, lui envoyer de l’Amour !

 

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