Étiquette : communication non violente (Page 1 of 2)

Une phrase, une réflexion – Samedi 19 Aout 2023

Les Oeuvres de Maitre Tchouang

 » qui se trompe ne saurait troubler celui qui détient la vérité « 

Ne sois jamais inquiet d’avoir troublé quelqu’un qui prétend détenir la vérité. La vérité est ici comprise dans le sens de la certitude inébranlable. On ne peut troubler les gens qui n’écoutent rien d’autre que leur propre carte du monde. Et si tu penses avoir été trop loin dans tes paroles, prends du recul et sans aborder à nouveau le sujet, montre ton affection indéfectible à l’Être dont le statut d’estime auprès de toi a pu être blessé.

Toi, ne te laisse pas troubler, respecte les vérités des autres certes, mais sois fiere de tes valeurs, de ta vérité. Considère que ta vérité n’est jamais LA vérité, que même ta vérité change selon le remodelage permanent de la carte de ton monde, et que la carte n’est pas le territoire. Sois tranquille, reste dans le dialogue, écoute l’autre en t’intéressant à lui, à ses motivations, dans l’ouverture.

 

Marschall Rosenberg et la Dépression

M Rosenberg : Dépression : Les personnes sont prises dans leurs jugements, avec la pensée dominante que quelque chose ne tourne pas rond avec soi-même. La dépression n’est pas un état constant. MR commence par dire à la personne en dépression qu’elle peut guérir cette situation si la personne arrive à exprimer ce qui est vivant en elle à l’instant présent. Il précise qu’il ne cherche à remonter au stimuli originel mais qu’elle raconte juste ce qu’elle vit maintenant.

Qu’est-ce que vous ressentez ? quels sont vos besoins non nourris dans votre vie ?

La plupart du temps la personne n’arrive absolument pas à identifier ses besoins. Car les personnes en dépression sont engluées dans les pensées, les jugements, les diagnostics les étiquettes à propos d’elles-mêmes et des autres.  » je suis nul, je suis un mauvais père, je suis une mauvaise personne, je suis paumé, je suis bête, je suis déprimé, je suis folle, je suis…je suis… » . la plupart du temps on trouve des jugements moraux, de valeur.

Il ne parle pas de leurs émotions, ni du passé, ne remet pas en cause leurs pensées et leurs jugements.

Il aide à identifier les jugements, et interroge les besoins non nourris qui leur correspondent.

Nous sommes éduqués à nous identifier aux pensées, alors que toutes les pensées stressantes, donc y compris celles menant à la dépression, et celles qui sont vivantes dans la dépression, sont en fait des besoins non nourris

Rappel ; chaque besoin non nourri correspond à des émotions, et chaque besoin non nourri est la manifestation d’un blocage de la vie en nous, qui essaye de s’exprimer.

Donc, la dépression elle-même est la manifestation de la vie qui est en nous, qui essaye d’exister, de circuler correctement, qui est bloquée (soit en stagnation soit en vide).

Il aide et mène la personne à prendre conscience que la dépression est un bon signal : qui nous dit que ce que nous pensons n’est pas bon pour notre bien-être et pour notre entourage.

il aide les personnes à prendre conscience des ressentis de la dépression, quand la personne pense ce qu’elle pense d’elle.

Etre conscient des jugements qui ont pour effet la dépression, permet d’identifier que ces messages ont une valeur et une utilité, celle de dire  » hey, un besoin en moi n’est pas nourri « .

Une fois qu’on a transformé les jugements en besoins non nourris, on sort de la dépression. On peut alors être triste, ou frustré, etc… mais on sort de l’idée que quelque chose ne tourne pas rond en soi, ce sont des émotions qui ne sont pas liées à des jugements contre soi.

CNV : communication – check dans une situation donnée

Jour 1 vidéo 7 :

Dans une situation de conflit intérieur, faire le check :

1 – Observation de la situation

Ce qui est subjectif

Ce qui est objectif

2  – je me sens … (triste, en colère….)     – attention à ne pas mélanger ressenti et jugement : je me suis manipulé = un ressenti + un jugement, ce qui est une posture de victime

3 – Parce que j’ai besoin de …

4 – Nommer le besoin

 

 

Chaque jour …

Chaque jour …

Chaque jour, avant de vouloir être proche des autres, je me demande « est-ce que je suis proche de moi ?  »

Comment je me sens ? suis-je « ensemble » avec moi ? en cohérence ? en cohésion ? en harmonie ? aligné ?

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Pratique suggérée :

Faites une liste de deux ou trois comportements ou habitudes envers des personnes ou des situations que vous aimeriez changer.

Notez-les (vous pourrez en ajouter d’autres à votre liste plus tard). Par exemple, l’impatience, les réactions hâtives, la frustration, l’irritation ou tout autre comportement indésirable. Il est important de ne pas vous juger pendant que vous faites cela.

Ensuite, mettez-vous à l’aise dans votre cœur et observez et honorez votre désir de changer.

Ensuite, faites un auto-dialogue sincère et honnête sur la façon de gérer le ou les éléments que vous avez énumérés. Le dialogue avec soi-même le plus significatif se produit lorsque le cœur – votre véritable moi – parle à l’esprit. (Si l’indécision ou le doute de soi commencent à faire surface, sachez que c’est seulement votre esprit qui parle. Réalisez simplement qu’il s’agit de votre ancienne façon de penser, puis reconnectez-vous à votre cœur et engagez-vous à nouveau dans le changement que vous désirez vraiment).

Revoyez les étapes de l’Apaisement intérieur et agissez en fonction de vos idées et de vos intentions.

 

Faire grandir la Conscience chez mes semblables

Faire grandir la Conscience chez mes semblables

J’apporte Aux autres la même joie et la même complétude que je désire pour moi m’aime.

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La nasse est inconfortable. ( Souvent c’est devenu une habitude, nourrie par un environnement lui aussi dans la nasse, avec l’illusion que c’est normal, que c’est le prix de la tranquillité)

Il est illusoire d’expliquer que c’est par la Conscience que l’on peut sortir de la nasse. Mais ce n’est pas nécessaire. Les efforts pour venir en aide sont étiquetés comme intrusifs et menacent une stabilité (inconfortable), et certains vont se figer.

La guidance doit donc venir d’un niveau plus élevé.

Être sympathique, accueillant et non jugeant, bienveillance confiance et amour

Créer un espace ouvert où Chacun change selon son propre mode est suffisant.

Durant la phase de changement un être peut être balloté d’une réponse émotionnelle à une autre.

Les gens changent quand ils voient une meilleure opportunité, une nouvelle possibilité.

La Conscience s’ouvre naturellement lorsque une personne est curieuse, engagée et s’autorise à être elle-m’aime

Encourager à créer un espace où chacun se sent suivre ses désirs vraiment personnels, inclinaisons ses talents,

Offrir une opportunité pour le changement puis se retirer.

Om Karuna Namah
Ma vraie nature est compassion

Mots : compassion, pas de jugement, Possibilités, Alternative, Accueillir, Ouverture, Créativité, chacun son mode, créer un espace, bienveillance, présence, confiance, amour

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente les 4 éléments de la CNV

Les 4 critères de la demande

Concrète : « est-ce que tu veux bien mettre la table ? ». Ne pas rester vague du genre « est-ce que tu peux m’aider ? »

Positif  » pourrais-tu chanter dans le jardin ? »  et non pas « arrête de faire du bruit »

Réaliste « je vais méditer chaque matin 5 minutes » et non pas « à partir de maintenant je vais méditer 2 heures par jour »

Négociable : Laisser à l’autre le choix, s’ouvrir à l’échec.

 

+ à coeur ouvert : « je ressens »

+ pas affirmatif : « je peux me tromper mais je ressens »

+ pas impératif : « je souhaite propoper » et non pas « je veux que tu fasses »

Thomas d’Ansembourg jour 1 video 6 et 7 La Grammaire de la CNV

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.

On a intérêt à ne pas juger.

Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ?  »

Au lieu de juger, ressentir.

Exercice 1 :différencier subjectif et objectif

Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.

a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.

b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.

Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.

Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie

 

Exercice 2 : les sentiments

a – Dans la situation jugée,  JE ME SENS … : nommer

b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer

(  » on  » = personne !    faire dire   » je  » )

Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.

 

Exercice 3 : les besoins

quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.

 

 

Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite

Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien

Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.

Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver  un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 4 le fil rouge de l’existence

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

 

L’enfant est dans l’instant présent : il n’a pas de cloisonnement.

L’enfant est à la fois celui qui court derrière le papillon, le papillon, l’herbe haute, le soleil, etc…

L’enfant est à la fois l’enfant qui fait un calin à son parent, et son parent et le canapé, et le tapis et…

L’adulte moderne fonctionne dans ses enfer-me-ment : routines, fonctionnements compensatoires, systèmes de pensée, habitudes qui ne sont pas questionnés par confort, on n’a pas besoin, et si ça ne va pas on prend des cachets.  La vie est ennuyeuse.

Nous avons besoin de déchirer le carton, de libérer le danseur, de nous réaligner sur la musique intérieure. De se réaligner sur le fil rouge de la vie.

Tension entre vie rêvée et vie vécue : s’engouffrent dans cet espace les mécanismes compensatoires.

Dans une société de consommation, c’est facile de compenser le mal-être, et on a assez de confort pour ne pas se remettre vraiment en question soi, mais on remet en question son environnement. Alcool, anxiolytiques, accro au travail … et toutes les distractions. Dans notre société, nous avons plus appris à compenser notre mal-être qu’à nourrir notre bien-être. La société de consommation et des loisirs.

C’est quand je vis vraiment la vie que j’aime que je suis joyeux et contagieux de ma joie

Observer nos enfer-me-ments : s’observer, ce qui se passe en moi : corps, émotions, spirituel.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 3 le radar intérieur

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

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Avant de vouloir être proche des autres, est-ce que je suis proche de moi ? Amour, bienveillance, compassion.

Base : les besoins sont nourris ou pas nourris

Le radar intérieur

se demander ce qui se passe en soi : comment je me sens … en nommant les choses

  • comment je me sens lorsque je m’écoute : écouter ce qui est vivant en moi : quels besoins sont nourris, quels besoins ne sont pas nourris ? Quelles parties de moi sont en besoin ? (se sentir vivant, reconnu) lister puis se demander
    • émotions : cette liste génère quelles émotions ?
    • corps : cette liste génère quelles sensations corporelles ?
    • mental : celle liste génère quel commentaire spirituel ?
  • l’expression de soi : comment je me sens lorsque je nomme ce que je sens ? ça fait quoi que de nommer les ressentis et les besoins.
  • comment je me sens lorsque je suis écouté. ça fait quoi que d’être écouté ? Nourrit les besoins de lien, d’authenticité, de profondeur, de respect. Ni conseil ni solution. Quand on ne trouve pas d’écoute chez les proches, on va acheter l’écoute chez des thérapeutes.
  • comment je me sens lorsque j’écoute l’autre. ca me fait quoi à moi quand j’écoute l’autre ? ecouter l’autre dans son ressenti

« La Reconnaissance : la clé pour comprendre le fonctionnement du monde, à la fois intérieur et extérieur. »
Besoins : voir pyramide de Maslow

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