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Les gens connus et toi

Un jour j’ai rencontré bidule chouette. Ouah quel homme ! Il dégage un tel charisme ! Ses livres sont connus dans le monde entier, j’aime ses valeurs, sa façon de les exprimer. Quelle oeuvre d’art qu’est sa vie ! Je suis admirative, vraiment.

J’ai aussi connu Machin Richard, un autre grand homme, dans un style totalement différent, évidemment c’est un artiste. Mais quel artiste ! Il est si doué !

On peut continuer longtemps, comme ça, à faire des listes et des listes de gens connus que nous admirons, que nous portons aux nues ! Chaque-un(e) d’entre-nous aura sa propre liste, en fonction de ses valeurs, de ses goûts, de son parcours de vie.

Et ? et alors ? Ce sont seulement des gens, comme toi. La différence, c’est que leur art à eux est mis sous les projecteurs. Lesquels ? Il y a mille types de projecteurs différents ! Ceux des médias, ceux des arts, ceux des sciences dures, ceux des sciences dites molles, etc… etc…

Est-ce que tel domaine d’intérêt a plus de valeur qu’un autre ? Non, c’est TON intérêt qui fait la différence.

Est-ce que telle « personnalité » a plus de valeur qu’une autre ? Non, c’est TON intérêt qui fait la différence. Et ce n’est pas parce que d’autres partagent ton admiration que la personne a plus de valeur, elle a seulement plus de lumière braquée sur elle.

Est-ce que le fait d’avoir fait de grandes oeuvres d’art, de grands textes, de grandes « réalisations » fait d’une personne quelqu’un qui est fondamentalement meilleur(e) que toi ?

Je ne crois pas. Primo, combien de « grands » personnages ne sont-ils pas tombés de disgrâce après des révélations scandaleuses ? Est-ce que le fait que tel personnage public soit tombé en disgrâce fait de son oeuvre une non-oeuvre ? Non !

Il ne faut pas confondre les personnages et les personnes. Les humains les plus vils ont parfois produit des oeuvres d’art parmi les plus magnifiques. Ces personnes n’ont pas succédé aux personnages. Pour autant, je ne peux pas leur en vouloir à postériori, car c’est bien moi qui avais porté aux nues cette personne, au lieu de simplement admirer l’oeuvre produite.

Et on pourrait aussi parler de ces autres personnes qui ont produit des merveilles dans l’anonymat, dont le personnage a été révéré et admiré après leur mort ! Ce n’est donc pas la personne qu’on admire, mais le personnage !

Derrière chaque personnage, il y a une personne. Et c’est la personne qui est comme tout le monde, fragile, belle, forte, gentille ou oui, parfois vile.

Et toi ? Pourquoi je ne pourrais pas admirer ton personnage ? Parce que tu n’en as pas ? Mais est-ce si grave ? Est-ce que tu auras une belle vie en étant un personnage, ou bien en étant une personne heureuse, en étant toi-m’aime, aimée et aimante ? A quoi te servirait d’être seulement un personnage ?

Et toi ? Pourquoi ne serais-tu pas digne d’admiration pour la personne que tu es ? Avec toutes tes forces et tes fragilités, avec tout ton passé et tes rêves, avec toutes les facettes de ta personne, y compris les plus sombres ?

Quand tu vois les qualités de personnages, ce ne sont pas celles les personnes ! Evidemment qu’on ne peut être que dans un constat  » il/elle a quelque chose de plus » quand on confond personne et personnage. Et nourrir des frustrations, et des « je n’ai pas autant de valeur qu’eux/elles » et autres dévalorisations. Et pendant ce temps, tu passes ton temps et ton énergie à ne pas te développer.

Sois toi ! Ce n’est pas égoïste d’être soi ! Au contraire, marque de ta patte à toi le monde tel que tu l’imagines, tel que tu le rêves ! Valorise tes valeurs, tes rêves, découvre tes talents naturels, fais le point sur tes savoir-faire et savoir-être, et pars conquérir le monde, ton monde à toi. Vis non plus dans le monde des autres, mais dans le tien !

Tu as déjà un monde à toi ! Unique, singulier, dont tes croyances forment le quotidien jour après jour ! Tu crois que tu ne sais rien faire ? Eh bien, c’est ce qui arrive, puisque tu ne fais rien ! Tu crois que tu n’as aucune valeur ? Puisque tu ne connais même pas ta propre valeur, comment voudrais-tu y croire ? Tu crois que tu ne sais rien faire ? Evidemment, puisque tu n’y a jamais réfléchi. etc…etc… juger, te juger est tellement plus facile, en tournant le regard vers ceux qui « réussissent », tellement plus facile que de vivre !

Mais au fond de toi, tu as envie de vivre ! Ton coeur te le dit, il te le crie même, « aime-moi ! », il a envie d’aimer et d’être aimé !

Vivre, ce n’est pas un travail, c’est une joie de tous les instants, et arrive même le moment où l’on n’a plus peur des épreuves de la vie.

Tu es vie, alors vis !

Qui mieux que toi ?

Viens toi en aide !

Qui mieux que toi pour te venir en aide ? qui mieux que toi pour ressentir ce dont tu as vraiment besoin ? qui d’autre que toi ressens ce que tu ressens ?

Et en même temps, qui mieux que toi pour te juger avec sévérité ? qui mieux que toi pour tirer des conclusions sur ce qui t’arrive, sur ce que tu fais, sur ce que tu penses ?  Qui mieux que toi pour te dire « j’aurai pas dû, j’aurai dû faire mieux, j’aurai dû ceci, j’aurai pas dû cela » ? qui mieux que toi pour te dire avec hâte  » il faut « …

Et si tu te venais en aide ? à toi !

Et si tu t’accordais un peu de paix ? et si tu respirais un peu, pour voir ? et si tu t’accordais ne serait-ce que le dixième de la patience, de la compréhension, de la compassion que tu portes naturellement à ceux que tu aimes vraiment ? Et si … oui, j’ose de te le demander : et si tu t’aimais ?

Pourquoi seul l’enfant intérieur aurait droit à de l’amour ? tu es adulte, et tu as droit à l’erreur, à l’impasse, à revoir ta copie, car aucune oeuvre d’art n’est née du premier coup, par magie. Oui, et si tu prenais la décision d’aimer te tromper ? parce que c’est le signe que tu as essayé, et tu peux te réjouir de faire autrement la prochaine fois, d’apprendre ?

Et si tu te faisais confiance, confiance en ton coeur, pour une fois ? Au lieu d’écouter les diseurs d’avenir, le rationnel et le voyant réunis dans leurs croyances à ta place, laisse-les donc de côté et écoute toi, ton coeur sait, lui ! Ton coeur, ce n’est pas tes désirs, ce n’est pas tes peurs, ton coeur est paix, amour et joie : que te dit-il ?

 

Les Valeurs : soyons spécifiques

j’ai trouvé cette très belle phrase d’intention sur une site d’un organisation humaniste : «  Nous rêvons d’une Humanité plus juste, plus altruiste, plus alignée, plus cultivée ; une Humanité qui place une confiance inébranlable en la capacité de l’Homme à tendre vers une existence plus haute « 

Les personnes qui tombent sur ce genre de site sont en quelque sorte pré-sélectionnées. Celles qui restent sur ce site après avoir lu cette phrase sont des personnes qui adhérent à une idée générale. Mais ensuite ? Ensuite, nous avons chaque-un(e) notre propre compréhension de cette belle phrase. Essayons d’être spécifique pour en tirer quelque chose :

« Nous rêvons » = j’ai envie de dire : seulement ? j’attends, en tant que lecteur, une réponse du comment concrétiser ce rêve.

« d’une Humanité plus juste » = quelle justice ? On peut penser qu’il est injuste (vis à vis des Français) à que les migrants viennent en France ; On peut tout autant penser qu’il est injuste (vis à vis des migrants) de laisser les migrants dans la misère. Etc : tout dépend quel point de vue on adopte, de son histoire personnelle, de son cheminement personnel, de ses idées et vérités propres.

« plus altruiste » = voilà qui semble plus spécifique, et sélectif vis à vis de l’adhésion qu’on peut porter à ce mot. Quoique, cette valeur pourrait faire l’objet d’un atelier, car elle renvoie à des résonances énergétiques spécifiques qu’il serait intéressant de cultiver.

« plus alignée » = humm, alignée sur quoi ? où ? quand ? comment ?

« plus cultivée » = l’idée est spécifique, mais de quelle culture parle-t-on ? Toute culture est imprégnée de significations communes à échelle régionale, de langue, de vérités communes, de goûts, d’arts locaux. Nous oublions souvent, à mon avis, en Europe, que nous avons une culture bien à nous, et que d’autres cultures ne valent pas moins que la nôtre.

 » une Humanité qui place une confiance inébranlable en la capacité de l’Homme à tendre vers une existence plus haute » = la notion d’existence plus haute est radicalement personnelle. Chaque personne aura sa propre idée, ses propres espoirs, de ce que constituerait une existence plus haute. Selon le passé, selon les idées, selon ses vérités…

En somme, je pense qu’il serait intéressant de préciser ce que chaque personne d’un groupe comprend et ressent à partir de cette belle phrase.  Partager les compréhensions personnelles permet de s’enrichir de l’autre, de développer la tolérance, la compréhension de l’autre, d’étendre ses propres significations. C’est en précisant les choses qu’on peut élargir son monde, sa réalité, et s’ouvrir d’une façon différente à l’autre. Par ailleurs, ressentir cette phrase, c’est-à-dire aller à la rencontre de la résonance corporelle de ces mots, permet de dé-moi-iser les significations qu’ils portent, pour leur faire prendre un sens dés-émotion-nisé, ceci pour prendre conscience du concept d’un point de vue plus neutre.

C’est ce genre d’atelier que je peux proposer. Durée 1 heure, minimum 2 personnes, max 6 personnes.

3 conseils contre l’émotivité

Comment pouvons-nous aider une personne à ne pas se laisser submerger par ses impulsions émotionnelles destructrices ? Voici trois conseils.

(inspiré d’un article de Mark Tyrrell, Uncommon Knowledge)

Nous avons besoin de comprendre nos émotions. Elles nous indiquent qu’un besoin émotionnel n’est pas satisfait. Mais elles sont sournoises et s’insinuent jusque dans notre rationalité, nous submergent bien avant que nous nous en rendions compte et contrôlent nos vies.

1) Planifier

Plutôt que d’être toujours surpris par une émotion et d’être ensuite « vaincu par elle » (désolé, j’avais promis de ne plus la personnifier !), aider la personne à détecter et à planifier une stratégie pour les moments de vulnérabilité, peut l’aider à mieux gérer ses émotions. On est mieux armé quand on est prévenu.

Par exemple, quand on passe régulièrement du temps à ruminer, ou qu’on se réveille la nuit pour ça, on peut planifier une période de 10 minutes (en journée !) durant laquelle passer en revue toutes ses angoisses, ses peurs. Le tout en planifiant à la fin de cette période (pas trop longue !) de dire « ok, stop, je reprends une vie plus apaisée, je pense à d’autres choses », et en effectuant un rituel corporel, ça peut être un balayage, ou boire un verre d’eau, en tout cas une action physique qui distingue le moment.

Ou si on sait qu’on devient anxieux-se lorsque le téléphone sonne, on peut prévoir de prendre trois respirations profondes, en expirant lentement à chaque fois, avant de répondre, en ressentant au fond de soi que ça va bien se passer, en imaginant une scène joyeuse, ou en mettant devant soi une image rigolote, ou en imaginant que c’est donald qui sera au bout du fil. Il est essentiel de mettre au point une stratégie préparée.

 

2) Avoir une vue d’ensemble

Il est beaucoup plus efficace d’atténuer un sentiment que d’essayer de le supprimer.

Admettons que vous n’aimez pas une certaine personne. Faire semblant de l’aimer peut parfois aider un peu, mais il est plus probable que vous vous sentiez rancunier et manipulé. Cependant, trouver activement des choses qui vous aideront à « humaniser » cette personne dans votre propre esprit peut vraiment vous aider à diluer votre aversion.

On peut ainsi procéder à un questionnement socratique avec des questions du Travail de Byron Katie. Il n’est pas question de changer les personnes au comportement détestable en les excusant, mais de leur donner un visage humain, ce qui apaise les considérations.

Un jeune client passionné d’astrologie a été encouragé à penser à l’immensité de l’univers lorsqu’il parlait à son patron intimidant. Cette « perception globale » l’a aidé à placer les rencontres avec ce patron autrefois effrayant dans une perspective beaucoup plus gérable.

 

3) Trouver le « point de bascule » de l’émotivité

Les émotions peuvent nous prendre par surprise, et avant que nous nous en rendions compte, nous faire faire, penser, dire et bien sûr ressentir des choses que nous aurions préféré éviter. Ce n’est peut-être pas très facile à voir, mais il y a toujours un « point de bascule ». Avant de l’atteindre, nous pouvons faire marche arrière. Mais une fois ce point atteint, il devient de plus en plus difficile d’arrêter de glisser dans le marécage émotionnel. Si nous pouvons apprendre à localiser le point de bascule, nous pouvons nous entraîner à l’éviter.

Par exemple, une mère se mettait en colère de manière incontrôlable lorsque son jeune fils utilisait un certain ton de voix. Elle essayait de ne pas se mettre en colère, mais à partir d’un certain point, elle ne pouvait plus s’en empêcher. Je lui ai demandé de s’entraîner à imaginer ce point de bascule et, lorsqu’elle l’atteignait, d‘imaginer qu’elle s’éloignait de la situation et qu’elle l’observait de l’extérieur. Lorsqu’elle s’est imaginée faire cela, elle s’est instantanément sentie plus calme et a déclaré plus tard que son fils ne pouvait plus « appuyer sur ses boutons » lorsqu’il utilisait ce ton de voix. Et il a très vite cessé de l’utiliser.

 

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

John Maxwell – Développement notes de conférence

 

Le mouvement est la seule garantie que demain sera meilleur

 

L’accomplissement n’est pas une destination, comme si c’était une chose extérieure. C’est un process, un voyage, un cheminement. L’accomplissement se fait dans le présent, pas dans le futur d’une destination. La futur n’existe pas !!! Ce que je FAIS chaque jour constitue mon accomplissement !!! les intentions ne produisent rien ! ce qui signifie que ce que je fais chaque jour me rapproche de cette vision, de ce rêve, de cet objectif. Mais si je n’ai pas fait ce qu’il fallait hier, je dois le faire aujourd’hui, c’est réparer, revenir en arrière. Chaque jour que je passe à réparer, je ne le passe pas à préparer. Chaque pas est la réalisation de ton accomplissement ! En d’autres termes, tu es déjà en train de t’accomplir !!!

 

Reconnaissance : ce n’est pas parce que ton accomplissement n’est pas encore reconnu que tu ne l’est pas ! La très grande majorité des grands artistes ont été reconnus tardivement ! Certains des plus grands n’ont pas été reconnus de leur vivant ! N’as-tu jamais entendu ou vu un ou une artiste de rue d’un niveau hallucinant bien meilleur que beaucoup de gens connus ?

Si un jour ton accomplissement est reconnu, tu l’auras été depuis très longtemps !

 

Travail : le fruit de tout ce qui est bon dans la vie commence par une ouverture d’esprit, un autre angle de vue, une approche différente du déjà connu. Et les opportunités ne tombent sur vos genoux, seul le travail te mèneras au but. Et Il y aura toujours des difficultés.

 

Aimer le chemin : Arrête d’attendre l’accomplissement dans ton futur qui n’existe pas, mais aime ton cheminement, aime apprendre ! A partir de là, tu va lâcher prise de ce stress de la destination.

 

Renonciation

assurez-vous que votre communication est claire, car si les gens ne comprennent pas, ils ne peuvent pas suivre. vous ne connaîtrez jamais le niveau d’engagement de vos collaborateurs tant que vous ne leur demanderez pas d’agir.

donner du temps pour l’acceptation

laissez-leur le temps d’accepter la direction que vous prenez

partage tes progrès

chaque semaine, trouve quelqu’un avec qui partager tes progrès. C’est l’occasion de faire des choix et de laisser derrière toi les personnes qui veulent te retenir dans ce que tu n’es déjà plus.

 

Sois spécifique : Fixe l’objectif

Identifie tes domaines de croissance : où vais-je me développer en particulier ? il devrait y en avoir au moins deux et pas plus de cinq.

un domaine de choix de vie : peut-être votre attitude, peut-être votre discipline

un domaine de compétence : par exemple l’expression orale

 

 

L’intention

s’engager à croître intentionnellement.

la croissance n’est pas automatique, pour croître, il faut être intentionnel. Arrête de supposer ! arrêt de croire que tu vas croitre de façon automatique.

La méthode de développement ne donne pas la valeur : la valeur réside dans ce que tu fais !

Rends ton engagement public : nous avons tous tendance à abandonner nous avons tous tendance à nous écarter de notre chemin mais dès que nous commençons à le rendre public, un engagement partagé devient un engagement fort.

 

 

 

 

 

 

AGIR 

 

il faut passer d’une personne de bonnes intentions à une personne de bonnes actions ; agis simplement selon ce que tu as exprimé. tu arrêtes d’en parler et tu commences à faire.

 

Que fais-tu pour te développer toi ? tu ne peux pas donner au monde ce que tu n’as pas toi ! sinon tu n’as rien à donner, rien à partager, rien à transmettre : c’est toi qui es le fondement de ton avenir, personne d’autre !

 

Observer Contempler :
Investisse 1 heure par jour pour prépare un peu vous pratiquer un peu et réfléchir un peu

Examine quotidiennement tes progrès et tes réussites.

consacre du temps à la réflexion et à l’écriture sur ce que tu apprends

 

Ajuste tes priorités

la différence entre un manager et un leader

Un manager est une personne qui a adopté le plan A et n’en déroge pas. il a établi le plan ou il applique seulement un plan d’autres ou celui d’une méthode toute faite, ou d’un consultant (pseudo coach).

Un leader commence par le plan A, mais il est prêt à tout moment à passer au plan B parce qu’il en a trouvé un meilleur.

Les grands entraîneurs le sont parce qu’ils font des ajustements à la mi-temps,

Les changements que tu apportes doivent être critiques et non cosmétiques : il y a toujours une réponse, et il y a généralement plus d’une réponse.

 

Repérez vos personnes clés

  • Vous devez informer vos personnes influentes : ce sont les personnes qui ont intérêt à dire oui, parce que vous n’y arriverez pas sans leur accord, leur approbation est essentielle. il faut obtenir l’autorisation des personnes influentes pour que le plan puisse être mis en œuvre,
  • vous devez informer les personnes chargées de la mise en œuvre : ce sont elles qui vont faire du rêve une réalité

 

attends-toi à des difficultés: Parce que le mouvement provoque des frictions, tu commences à bouger et il y aura des choix à faire et des deuils vont se présenter.

 

la deuxième question : que fais-tu pour développer les autres ?

 

la danse des amis

Tu marches devant en tant qu’exemple à suivre

Tu marches à côté en tant qu’ami, tu peux interagir,

Tu marches derrière en tant qu’accompagnateur

John Maxwell prises de notes de conférence

conscient : tu dois être capable de développer tes points forts et de faire les bons choix par rapport à tes talents propres et uniques, ton histoire à toi propre et unique, tes ressources à toi propres et uniques, et aussi par rapport à tes limites d’aujourd’hui !

suis ton cœur :ton cœur sait vraiment comment tu es branché, et ton cœur sait des choses que les autres ne réalisent pas.

Sois authentique, spécifique, unique car tu l’es : être en contact avec soi-même est  essentiel pour se développer dans la bonne direction, la seule, la tienne : l’authenticité ne garantit pas le succès, mais sans elle, c’est l’échec assuré.

N’essaye pas d’avoir les talents que tu n’as pas !

La seule méthode qui t’aille, c’est la tienne ! Tu trouveras mille méthodes de mille consultants qui se disent coachs !

Apprends à apprendre ! Aucun spécialiste de n’importe quelle discipline s’est levé en expert de son domaine. L’information ne te donneras pas l’expertise ! Les méthodes sont seulement des méthodes, pas du savoir.

Le mouvement, c’est la vie : Pour atteindre ton potentiel, tu dois bouger : le mot traction contient le mot action. Il y a des moments où tu bouges mais tu n’y vois pas clair, mais tu dois bouger pour que la vision devient plus claire. Tu dois bouger pour que les opportunités se présentent, elles ne sont par assises par terre à t’attendre. Tu dois bouger pour que les ressources nouvelles se dégagent.

Sois ouvert et observe, contemple, ne sois pas dans l’action à 100%, fais des pauses pour prendre du recul et voir. Le sens des choses et donc la direction qui est la tienne se dégage quand tu prends du recul, quand tu contemple ce qui est là. Pour connaitre la suite, sois dans le présent et observe.

Suis ton cœur : certains ont vu comme Mère Térésa arrivait à nourir tant de personnes. Quand ils lui demandaient « comment je peux faire pour nourrir autant de gens ?   » et Mère Teresa répondait « commence par une seule personne ».  On ne peut pas aller de rien à tout en claquant des doigts, en suivant une méthode d’un de ces soit-disant coachs : il faut aller de là où l’on est vers du bon, puis vers mieux, puis vers l’amélioration pour arriver à l’expertise.

Les grandes idées ne commencent pas par être de grandes idées, les grandes idées commencent par être de bonnes idées, puis elles deviennent de meilleures idées. il faut plusieurs bonnes idées pour devenir une grande idée.

Ne méprise pas le petit rêve, si tu ne réalises pas les petits rêves, tu ne réaliseras pas les grands !

L’authenticité de ton rêve sera toujours testée dans des petits évènements, alors profites-en et embrasse-le là où tu en es, ne joue pas le jeu du « quand je serai là, je ferai », non ! dis et agis plutôt dans « je suis dans le jeu, je suis dans le jeu maintenant ».

Aies un état d’esprit d’abondance : il y a toujours une réponse ! même si tout semble clos, fini, fermé, il y a toujours une ressource, une réponse, aussi petite soit-elle. Simplement, ouvre-toi à la réponse qui est possible, n’espère pas celle que tu voulais. Avec un esprit d’abondance, il n’y a jamais d’impasse, il n’y a jamais de pénurie, mais le chemin devient l’abondance dans le sens où c’est le cheminement qui offre la richesse bien plus que l’aboutissement. Le but est dans le fait même d’avancer, car la vie est mouvement et le but est une illusion.

Sortir de la zone de confort : la seule façon de continuer à atteindre mon potentiel de demain est de renoncer à quelque chose aujourd’hui.  On ne quitte pas quelque chose, on va vers quelque chose.

On ne quitte jamais tout : quand on n’a encore rien dans ce qu’on construit, on ne quitte rien. Et ne quitte pas ce qui n’a rien à voir avec ton rêve. Garde une stabilité, celle dont tu as besoin. Ne compare pas tes besoins à ceux des autres. Tu as peut être des besoins plus grands dans tel domaine, assumes et vis avec, et à l’inverse tu as des forces que les autres n’ont pas. N’attends pas des autres qu’ils aient tes forces.

pour atteindre un potentiel, tu dois continuellement hiérarchiser les priorités et voici pourquoi l’action  n’est pas nécessairement synonyme d’accomplissement. ce qui compte, ce n’est pas l’intensité du travail, mais l’intelligence du travail.

Sois remplaçable !

humilité : Toujours laisser eu une place pour « Dieu » dans ma vie. L’humilité nous fait passer du centre au côté. Lorsque nous ne sommes pas humbles, nous sommes au centre de tout, tout tourne autour de nous et la crise se généralise, et emporte tout. L’humilité est une belle vertu, un ancrage pendant les crises.

 

l’adaptabilité : une crise apporte des détours. Sois capable de prendre le chemin du détour, ne sois pas pressé, parce que tu vas littéralement voir des choses que tu n’as jamais vues et tu vas comprendre des choses que tu n’aurais pas comprises sans être passé par là. Fais confiance à la vie, ne résiste pas, suis le chemin et observe, prends ton temps et va lentement sur ce détour, car c’est par là que tu vas rencontrer tes opportunités.

Garde la main ouverte : une main fermée ne peut pas accueillir le plus grand.

Echange avec tes pairs et partage tes expériences pour les faire se transformer au travers du partage.

être intentionnel : on ne s’améliore pas automatiquement, mais seulement parce que l’on prend intentionnellement la décision de s’améliorer.

Responsabilité : il ne s’agit pas d’un mot mais d’un principe. Je ne peux pas faire confiance à quelqu’un qui n’est pas responsable. Les personnes qui veulent vraiment s’améliorer sont prêtes à rendre des comptes, et les personnes qui ne veulent pas s’améliorer ne veulent pas rendre de comptes.

Dépression : un état ou une maladie, un choix à faire

Tout le monde a le droit de considérer la dépression comme un état, l’état dépressif, ou comme une maladie. La dépression répond à des critères, elle est reconnaissable à ce qu’on appelle des symptômes. Mais elle touche des personnes, qui sont uniques.

Les mots et le sens des mots est important, et va renforcer l’état dépressif ou la dépression.

Dire « ma dépression », c’est s’approprier ce qui correspond à une maladie, une anomalie. C’est déprimant. Non, ce n’est pas une « réalité », c’est un choix ! Un choix de langage.

Dire « la dépression » c’est déjà commencer par séparer la « maladie » de soi. C’est tout autant une « réalité », non ? La réalité dépend de la perception, mais aussi de l’interprétation. Or, dans la dépression, il n’y a aucun perception extérieure, c’est un état intérieur.

Dire qu’on est dans un « état dépressif » modifie encore la scène, puisque cette façon de parler de la même chose que précédemment détache la dépression de la permanence, et de la maladie, et de soi. Il n’est plus question de maladie, c’est un état. C’est aussi une impermanence, car personne n’est dépressif 24/24. Enfin, si c’est un état, ce n’est donc pas soi.

Mieux encore, dire que c’est un état se rapproche des notions d’état d’humeur et donc des processus corporels qui sont en place : hormones de la dépression, dé-pression de la bonne humeur, effondrement de la bonne pression, un état dépressif est une situation d’effondrement, avec cet état moral qui tire vers la tristesse profonde, avec ce vortex qui tire vers les profondeurs, avec ces idées négatives permanentes, avec cette interprétation extrême et systématiquement négative des choses, même quand parfois on se dit  » oui je sais, je ne devrais pas, je voudrais bien ne pas tout prendre mal, mais c’est plus fort que moi, je n’ai pas de pouvoir » : c’est bel et bien un état !

Que cet état soit classé comme maladie, à quoi ça avance ? Déclarer cet état « maladie » va casser la personne, lui ôter son pouvoir, son espoir : elle est « victime » d’une maladie, une maladie est quelque chose qui lui arrive, qui lui tombe dessus, alors qu’elle a déjà le moral dans les chaussettes. Cette « maladie » va conduire aux sparadraps que sont les médicaments chimiques qui vont déresponsabiliser la personne, lui ôter tout pouvoir sur son état. La maladie va alors laisser la personne dans sa croyance qu’elle ne peut rien y faire, la personne ne va pas bouger, et ne pas bouger est justement renforcer l’état de dé-pression ! Cercle vicieux qui peut dure longtemps …

Les mots ont un pouvoir, et ils sont un  choix ! Les mots génèrent des réactions internes, et ces réactions internes sont dirigées soit vers le découragement, la dépendance, la dépossession de sa vie, et les hormones du stress vont se renforcer ; ou bien à l’opposé, les mots vont générer des réactions dirigées vers l’espoir, la perspective, vers cette lueur d’espoir qui brûle au fond du coeur, si ténue souvent mais toujours présente, et avec beaucoup de bienveillance et de non-jugement, ce sont des hormones de la sérénité qui peuvent être produites, avec le concours de méthodes, pratiques et techniques souvent simples.

Chacun choisi ses mots, et choisi ses croyances. Mais vouloir imposer une manière de voir négative, et asséner des coups au moral déjà défaillant des êtres affaiblis, et prescrire de la chimie et des années de psy qui ressassent le passé, ce n’est clairement pas le choix d’un coach, qui va s’intéresser à la personne, à l’être humain, à l’espoir, dans le non-jugement, en valorisant, en accompagnant.

Le pilote et l’avion, autre version

 

Ne t’est-il jamais arrivé de commander un dessert au restaurant alors que tu avais déjà le ventre plein ? D’avoir entendu cette petite voix te dire « non, je n’ai plus faim, je n’ai pas besoin de dessert », mais tu en prends quand même… 🙂

La connexion corps cerveau. On peut avoir les meilleures intentions du monde, du moment que c’est le cerveau qui dirige, le corps ne va pas répondre. Le cerveau est le logiciel et le corps est la matière.

 

Se rendre compte de ses propres programmations, de ces réactions automatiques est le premier pas vers la rectification de ces programmations erronées. Se rendre compte de cela, c’est prendre du recul sur soi-même, c’est avoir de l’introspection, c’est comme faire un pas de côté par rapport à soi-même et s’observer. Cette observation, c’est une forme de méditation qui permet dans un premier temps de prendre une décision opposée à celle qui est automatisé. Les personnes qui réagissent de façon automatisée reproduisent toujours les mêmes schémas robotisés.

 

Quand j’explique que je pratique la PNL et l’hypnose douce, j’explique que parfois, on peut se rendre compte de schémas réactionnels qui ne nous font pas du bien, ces  » défauts « , mauvaises habitudes, réactions inappropriées ou excessives qui nous rendent les relations ou le quotidien parfois compliqué. Ca peut être de s’énerver vite, de fumer, de grignoter, d’avoir des angoisses, des tics, des tocs, de procrastiner ou au contraire de ne jamais trouver de paix…etc…tout ça correspond à des schémas réactionnels automatiques et inconscients, et la PNL et l’hypnose peuvent aider à les rectifier.

Quand j’expose ceci, j’entends ou je devine régulièrement une idée reçue :  » j’ai peur de ne plus être moi-même si je remets en cause mes façons de fonctionner  » , comme si c’était une manipulation.

On est bien d’accord que ce qui serait critiquable, serait  » tu devrais fonctionner de telle manière dont je te dis de faire  » ? Eh bien, justement, la PNL permet de s’aligner avec ses propres façons de fonctionner, l’idée c’est  » telle façon de fonctionner, qui semble ne pas te convenir vraiment, est-elle en phase avec tes valeurs, avec la personne que tu ES vraiment ?  » et sinon  » voudrais-tu lui donner une autre orientation ? si oui, laquelle, car  tu peux choisir « .

On a tout à fait le droit d’observer ses propres schémas, et le fait de les observer ne va pas changer la personnalité ! C’est une peur infondée, et le simple fait d’observer peut éclairer.

Eviter la culpabilité

La culpabilité est à éviter, car elle empêche d’avancer. La culpabilité, c’est contourner l’action. Le fait de punir n’a jamais été un apprentissage de sagesse : la punition peut éventuellement mener à ne pas reproduire un comportement, mais du moment qu’il n’y a pas d’acquisition de sens, tant que le sens de l’action n’est pas compris, la raison de la « mauvaise » action ne sera pas comprise et la personne vivra dans la frustration, la colère, d’où des addictions ou des comportements d’évitement.

En toute bienveillance

Eviter de juger, pendant juste 2 petites minutes. Ces deux minutes seraient bénéfiques à énormément de personnes. C’est un exercice que je propose en préalable, car on n’arrive pas à avancer dans le jugement, dans le diagnostic, dans l’évaluation. Ils sont tournés vers le passé et vers le déjà-connu.  On n’agit que dans l’action et vers l’inconnu, à savoir le non-déjà-connu.

Identifier ce qui pollue, renforcer ce qui nourrit

D’abord, on va s’appuyer et renforcer tout ce qui nourrit : toutes nos capacités naturelles sont des talents ! Changer le mot capacité par talent, ne coûte rien, mais change le sens !

Ensuite, identifier ce qui ne correspond pas à mon épanouissement, c’est identifier ce qui me pollue, ce qui ne correspond pas à mon vrai moi.

Donc, c’au contraire de la remise en cause de ma personnalité, d’éliminter ce qui nuit à l’expression de mon meilleur moi c’est une affirmation de ma personne !

C’est de meilleures chances de succès de meilleures chances d’être bien avec moi-même et avec les autres, en harmonie.

Identification à des opinions.

Dans le rejet et la méfiance que je rencontre parfois, je ressens une identification à ses opinions et à ses certitudes, aux vérités, qui semblent déstabiliser.  Mais si une certitude me mène à des comportements qui me nuisent, me mène à des idées négatives de la vie ou des autres, dois-je me blâmer ou blâmer les autres en restant arcbouté  à mes certitudes ? Me lamenter, me flageler, ou condamner les autres ?

Le fait de condamner les autres est très courant, et jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, même notre Président s’adonne à ce comportement immature.

Car les vérités évoluent ! Une personne qui pense toujours de la même façon sans savoir évoluer est-elle une personne « fiable, sérieuse » ? … OK, si je crois au Père Noël parce que, petit, j’y croyais et qu’il est hors de question de changer de croyance sinon je ne suis plus moi, que pensez-vous de moi ? … Il suffit de se tourner un peu vers soi-même pour se rendre compte qu’une personne qui s’identifie à ses vérités aura du mal dans la vie, car la vérité évolue, et ça s’appelle la maturité.

S’identifier à des vérités, c’est de laisser piloter par des automatismes. Il m’arrive régulièrement d’être contredit par une personne qui me donner un exemple totalement inverse à une de mes croyances. Alors, je change ma croyance, je l’enrichis, et parfois il m’arrive de vraiment l’abandonner. Il est où le problème, finalement, de savoir évoluer ?

L’idée n’est pas de changer les personnes, l’idée est que chacun d’entre nous puisse être beaucoup plus en harmonie avec ses vrais besoins et ses vraies envies, et être moins piloté par des automatismes qui sont parfois erronés.

Il ne va rien se passer dans le corps du moment que le cerveau continue de réagir selon des mêmes automatismes erronés.

Le cerveau pilote énormément de choses mais il comporte parfois des erreurs de programmation. Ce sont par exemple nos mauvaises habitudes. Nous sommes tous sujets à des mauvaises habitudes pas des mauvaises programmations.

Vouloir forcer le corps ne sert à rien sur le long terme, car si les mauvaises habitudes ne sont pas effacées, au bout d’un moment on va se retrouver à nouveau au stade du départ, en ayant en plus générer des frustrations entre-temps.

La PNL et l’hypnose en recours

Pour rectifier un processus automatique, j’utilise la PNL et l’auto-hypnose, des moyens simples et naturels, sans aucun effet indésirable, pour me sentir plus en harmonie avec mon environnement.

Un environnement incertain est source d’identifications

Souvent, je remarque que c’est quand mon environnement est incertain que je m’identifie à mes croyances. Les opinions et certitudes sont des croyances liées à des émotions instables. Alors, je perds mes nerfs et je deviens mes émotions, je les incarne au lieu de les laisser passer.

Ancrage

Il nous faut souvent de l’ancrage, de ne pas avoir besoin de trouver sa place dans l’environnement, mais d’être soi, partout, à tout moment, serein et en paix, dans n’importe quelle situation. Ce n’est jamais une situation qui est porteuse de tension, mais la manière dont nous les vivons. Voilà pourquoi la confiance en soi et l’estime de soi sont essentielles :

Une confiance en soi et non pas en des vérités figées qui sont extérieures et apprises de façon bête et méchante, mais une confiance appropriée. La confiance fait référence au « faire » : avoir le comportement et faire en toute confiance, en toute confidence avec mon être vrai : l’estime.

L’estime de soi, se réfère à l’être. Être soi permet d’être dans la singularité épanouie de la créativité permanente et libérée de Soi.  Visez les artistes, les sportifs, les gens connus et reconnus, qui « brillent de tout leur Être », que ce soit dans la rue ou à la télé.

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