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gérer les tempêtes émotionnelles selon Mooji

gerer les tempêtes émotionnelles selon Mooji

 

 

Une émotion n’est forte que lorsque nous nous y identifions. A partir du moment de ce moment les problèmes sont basés sur les personnes, je vais dire comme ça. Et du moment que nous nous identifions aux émotions, notre pouvoir en tant que conscience diminue.

 

Alors comment gérer ces émotions ?

 

Par exemple le rejet, émotion très courante. Elle nous envahit, on est submergé malgré notre volonté. Ca peut être toute situation qui nous surprend par la violence négative que nous ressentons, toute agression extérieure, et peu importe si c’est justifié ou non, on parle ici de tout envahissement émotionnel.

Première chose, ne pas essayer de la stopper. Le réflexe est de la stopper ou de se distraire d’elle, comme manger par exemple.

L’esprit échafaude tout un tas d’hypothèses, de films et on déduit des preuves, et l’égo adore les preuves. Ca devient de vérités.

Tout d’abord laissez l’émotion se manifester, pour pouvoir l’observer. Prenez un moment, arrêtez tout, et laisser l’émotion se manifester. En laissant l’émotion monter, vous augmentez la possibilité de l’observer. C’est le premier pas pour se distancier de l’identification.

Ensuite Observer la manifestation de l’émotion dans le corps. En étant dans cet état, vous faites l’expérience de ce qui se passe dans le corps. Il y a une émotion, il doit y avoir une personne qui souffre, observez ceci se passer.

Ensuite, écrivez, traduisez en mots votre malaise, votre colère, votre peine, votre écoeurement, l’injustice, et tout ce qui vous traverse le coeur. Allez-y, ne vous freinez pas.

Maintenant, réfléchissez QUI est impacté par toutes ces émotions ? La réponse est  » c’est moi  » … Oui, mais ne procédez pas par l’information, mais par le savoir : laissez l’identification aux émotions identifier celui/celle qui souffre : vous devez expérimenter la réponse, pas seulement la connaître par l’information. Prenez le temps.

Et quand vous pensez que l’émotion part, se dilue, alors appelez-là, rappelez-là à revenir ! Car l’égo, maintenant que vous savez par l’expérience qui s’est identifié à l’émotion, est toujours identifié.

Faites ceci encore et encore, jusqu’à ce que vous vous fatiguiez, et même réinvitez l’émotion à revenir !

Mais ce n’est toujours pas fini. Au contraire remémorez-vous cette émotion bien particulière, la situation qui a généré ce maelström émotionnel, et dites-lui que vous serez toujours là pour l’accueillir.

Faites ceci pour les différentes prochaines situations de tempêtes émotionnelles qui se présenteront à vous dans les prochains temps.

https://www.youtube.com/watch?v=SBa6Bb_VNaA

 

Le corps se renouvèle en permanence

Quatre-vingt-dix-huit pour cent des atomes de l’organisme étaient absents un an auparavant.

 

Le squelette qui semble si solide n’était pas le même trois mois plus tôt. La configuration des cellules osseuses demeure plus ou moins constante, mais des atomes différents passent et repassent en toute liberté au travers des parois cellulaires, ce qui explique qu’un nouveau squelette se forme tous les trois mois.

 

La peau se renouvelle tous les mois. La paroi de l’estomac change tous les quatre jours et les cellules superficielles qui sont au contact des aliments sont renouvelées toutes les cinq minutes.

 

Les cellules du foie se renouvellent très lentement mais de nouveaux atomes continuent à les traverser, et fabriquent un nouveau foie toutes les six semaines.

 

Même à l’intérieur du cerveau où les cellules ne sont pas remplacées après leur destruction, la composition en carbone, azote, oxygène et autres éléments n’a rien de commun aujourd’hui avec ce qu’elle était un an plus tôt.

Deepak Chopra le succès

D’après quelques notes prises après la diffusion de la série de méditations guidées « le succès » de et par Deepak Chopra

Définir le succès

 

Le succès dont on parle ici n’est pas celui de la star de ciné, ni celui d’un patron de micro société qui a eu l’idée du siècle avant de devenir milliardaire. Ne regardez pas ces personnes, car si tout le monde était comme elles, elles ne seraient plus « visibles ». Leur visibilité est totalement dépendante des autres. Or, voulez-vous être dépendants ? Non ! Savez-vous que dans les milieux à succès, on n’est pas plus heureux que dans les milieux anonymes ? Et savez-vous quels genres d’ambiances délétères, de drogues et d’autres addictions circulent dans ces milieux ? Une addiction, fut-elle celle de l’argent, est toujours le signe extérieur d’une anxiété !

Par ailleurs, une personne qui a beaucoup de pouvoir est-elle une personne qui a du succès ? Non, elle a juste le pouvoir. Avoir un pouvoir est d’abord une charge, et une charge n’est pas facile à porter. Ou alors, dans un autre cas, on exerce son pouvoir d’une manière égocentrique et en abusant de ce pouvoir, et alors non, on est à l’opposé du succès.

Donc, sortez-vous de la tête qu’être célèbre ou riche est un signe de « succès ».

Nous parlons là d’un autre succès, le vôtre, celui qui est déjà en vous. Commencez par oublier les objectifs de pouvoir, de possession, de carrière et de gloire. Car ce ne sont jamais des voies du succès, comme on l’a vu.

Pensez à un objectif, une idée, un but qui vous correspond vraiment. Pensez à un talent que vous avez avec vous depuis très longtemps, parfois depuis l’enfance. Peut-être pour certains n’avez-vous jamais exercé ce talent, par manque de confiance, parce que l’on vous a mis en tête, ou vous vous êtes mis en tête que c’est inutile. L’utilité dépend de quoi ? Des autres ou de vous ? Ce qui vous est utile en l’occurrence, c’est de vivre votre vie, non ? Ok, on est d’accord. L’utilité est-elle obligatoirement un moyen de subsistance ? Pensez à ces très nombreuses personnes qui ont des passions à côté de leur travail, des passions qui les épanouissent totalement alors que le travail salarié devient de plus en plus dénué d’intérêt.

Pensez à quelque chose qui vous correspond, pas quelque chose qui serait bien par rapport à d’autres ou à votre image. Ne raisonnez pas non plus en termes de paye ou de métier.

Pensez à quelque chose qui vous correspond vraiment, qui va servir le monde d’une manière ou d’une autre, qui va enseigner au monde, ou promouvoir la paix d’une manière ou d’une autre. Pourquoi cette notion d’utilité au monde ? Oui vous devez faire vos choix en fonction de vous, ET des choix d’amour. Or, on ne peut vivre pour et par soi seulement, nous sommes tous connectés au monde en permanence, et les actions individuelles ne mènent jamais à la paix. Un être humain qui est seul n’est pas heureux.

Définissez un objectif, un objectif que vous pouvez atteindre en quelques semaines, et travaillez cet objectif tous les jours.

 

Succès : Mettre de l’amour dans tout ce que je fais

Un des aspects du succès est d’être investi d’amour. On ne fait bien que ce qu’on aime. Le vrai succès, c’est s’identifier à l’amour de l’Univers, ou de Dieu ou de ce que vous voulez, et de m’identifier à ce que je peux lui apporter dans la passion de ce que je fais. Je ne peux apporter à ce que je fais de pertinent, d’efficace, que ce que je fais avec passion. Donc je m’investis émotionnellement dans ma passion avec tous ceux qui partagent ma passion.

Pensez à quelque chose qui vous remplit de joie, de passion, d’amour, et ressentez la félicité, la lumière intérieure, la joie ! Cette sensation vous appartient ! A tout moment de la journée, vous pourrez ressentir à nouveau cette joie lumineuse, utilisez ce pouvoir qui est en vous.

 

Ne pas se projeter dans le résultat mais se contenter d’agir avec amour

Si vous agissez avec tout votre amour, tout ce qui adviendra sera bon pour vous. Ne vous projetez pas dans le résultat imaginé, car c’est le meilleur moyen pour que cela n’arrive pas. Avez-vous déjà vécu ou vu vivre un résultat qui était exactement comme il était attendu ? Vous êtes vous déjà acheté un objet de votre propre choix, un objet que vous connaissiez très bien. Ensuite, est-ce que les sensations étaient-elles exactement celles imaginées ? C’est très rare en effet.

 

Chassez le doute et aimez

Comment savoir si je suis sur la voie du succès ? Comment définir mon objectif ? Je n’ai pas d’idée ! La voir du succès c’est d’abord d’être vous-même. Vous êtes votre source de créativité. Si cette créativité est entravée c’est peut-être que je ne suis pas encore assez libre. Alors mon objectif peut être d’être moi. Plus je suis moi, plus j’augmente ma force créatrice. En d’autres termes, la voie du succès ne se définit pas comme un objectif précis à réaliser, mais d’abord à se réaliser soi. Une fois que je me réalise pleinement, la créativité va créer d’elle-même les succès, les objectifs et les buts qui se présenteront d’eux-mêmes, de façon naturelle. Ce que j’ai à faire, c’est d’être le plus possible dans l’instant présent, d’être moi. La créativité vient quand je suis en contact avec moi-même, car c’est là que tout se passe.

La créativité ne s’invente pas, elle coule

On n’a pas besoin d’inventer notre créativité. Il ne me sert à rien de courir après ma créativité, comme si je pouvais la fabriquer, la susciter ou la provoquer. Elle ne vient pas en prenant des cours avec un coach. Je n’ai même pas besoin de lui faire une place car elle est déjà présente !

Le moment présent, la connexion avec le moment présent EST la créativité, elle y est inscrite. Elle est renouvelée en permanence, elle ne vieilli jamais, ne se tarit pas, tout comme vous ! Vous n’êtes pas un être formé et fini qui vieillit, mais vous êtes un être qui se renouvèle en permanence ! Vos cellules se renouvèlent tout le temps, vraiment tout le temps, et tout ce que vous avalez se transforme. Profitez de cet état de fait ! Toute cette belle machinerie qu’est votre corps, fonctionne comme votre cerveau, comme vos sensations, comme vos sentiments. La vie se renouvèle en permanence.

Pas besoin d’avoir un talent artistique spécifique pour être un être créatif : plus vous allez dans le sens du renouvellement, plus vous autorisez la vie en vous, plus vous allez favoriser la créativité qui est en vous en permanence. N’ayez donc pas peur du changement, de votre propre changement, car celui-ci est naturel ! Vous changez d’objectif ? Demandez-vous si c’est parce qu’il était mal défini ou si c’est parce que vous vous découragez. Vous n’avez pas d’objectif ? Eh bien commencez petit, très petit : faites une tarte aux pommes, puis partagez-là. Puis faites une autre tarte et partagez-là. Pourquoi la partager ? Parce qu’il est très important de rester en connexion avec les autres. Les écrivains qui vont s’isoler pour écrire ne le font qu’avec une grande créativité en eux, et ils partagent leur résultat : un écrivain qui écrit seul dans son coin alors que son travail n’est pas destiné à être partagé ne le fera pas.

La peur, dénommée la réalité

« oui ok mais ce que tu ne comprends pas, c’est que la réalité des choses est ce qu’elle est, et que je ne peux pas réaliser mon objectif ». La peur nous bloque, et nous la faisons passer pour une réalité. Je rappelle que les seules réalités sont celles de la nature : il fait jour, il faut nuit, il pleut, il fait soleil, etc… ne pas pouvoir réaliser un objectif n’est pas une réalité. Ne pas pouvoir réaliser un objectif, cela peut être une peur devant la montagne d’étapes à réaliser pour le mettre en œuvre. J’ai récemment tiré un trait sur le fait de m’engager dans des études de médecine chinoise à Paris. Même si c’était un objectif difficile à atteindre, j’avais monté mon plan pour le réaliser quand même. Mais je l’admets volontiers, c’est bien un choix que j’ai fait de ne pas m’y engager. Nous dénommons souvent comme des réalités des jugements issus de nos choix, individuels ou collectifs. Donc, si vous avez peur d’un objectif, ne vous retranchez pas derrière une supposée réalité, mais assumez vos choix. Pourquoi je vous dis cela ? pas pour vous juger, ni encore pour vous faire la morale. Mais au contraire, plus je suis honnête avec moi-même, plus je verrai clair en moi, et mieux je saurais définir mes vrais choix, mes vrais objectifs, en fonction de ma vérité, et non en fonction d’excuses ou de principes moraux que je trouve. La sincérité est une des plus grandes clés du succès.

Le corps votre allié

Toute démarche implique que l’ensemble des participants soient en forme pour atteindre l’objectif. Si vous partez à l’assaut d’un sommet en montagne avec un corps très bien entrainé et que la tête ne suit pas, vous n’allez pas aller très loin, vous risquez de vous décourager, de faire des erreurs, voire de vous blesser. Ne vous est-il jamais arrivé de faire une erreur de conduite parce que vous étiez simplement fatigué ? N’avez-vous jamais rien renversé par distraction ? La distraction est le résultat d’une perte de vigilance, donc d’un déséquilibre quelque part : manque de sommeil, mauvaise alimentation, pollution par le bruit, etc…

Ainsi, pour atteindre vos objectifs, faites de votre corps un allié. Affutez-le. Mais attention, ne raisonnez pas en terme de forme du corps, ou de jeunesse, ni même en battement-minute, et oubliez tous les critères de coach sportifs. Eux vous préparent à des activités avec excès, comme par exemple un marathon qui est en soi une activité qui demande à vous entrainer dans un déséquilibre ponctuel, et le coach vous aidera ensuite à retrouver un équilibre. Non, ici, nous parlons bien d’un corps en équilibre.

Donc à partir d’aujourd’hui, vous allez faire de l’exercice physique tous les jours, et penser à votre alimentation. Eliminez aussi tout régime, puisqu’un régime est un excès ou une privation, en tout cas c’est un mode d’alimentation déséquilibré qui doit rester ponctuel. Manger sainement, c’est tout simplement manger le plus possible des aliments naturels et non transformés. Limitez les quantité, les exhausteurs de gout, les sucres non naturellement présent dans un aliment, buvez de l’eau, limitez le café.

Vous n’avez qu’un corps dans votre vie, le vôtre, et vous êtes avec lui 24/24. Alors respectez-le, aimez-le. Accordez-lui du plaisir mais écoutez vos déséquilibres aussi. Il faudra un certain temps avant de trouver un nouvel équilibre, naturellement.

Votre corps est votre ami, il vous permet tous les jours de refléchir, d’aimer, d’avoir du plaisir, de voir et de sentir, d’avoir toutes ces sensations. Accueillez-le, aimez-le.

Ne pensez pas à votre corps futur, celui que vous voudriez avoir, mais occupez-vous de votre corps tel qu’il est.  Protégez-le comme vous protégez vos amis.

Et ne culpabilisez pas quand vous n’avez pas respecté votre corps, et ne pensez pas non plus à demain, mais à aujourd’hui.

Être en philosophie indienne Vous ne pouvez pas dire que vous êtes ce que vous pensez être !

Q: Je suis ce que je sais être moi-même.

M: Vous ne pouvez pas dire que vous êtes ce que vous pensez être ! Vos idées à votre sujet changent de jour en jour, d’instant en instant. Votre image de vous-même est la chose la plus changeante que vous ayez. Elle est éminemment vulnérable, à la merci du premier passant. Un deuil, la perte d’une situation, une insulte et cette image de vous que vous appelez votre personne, change profondément.

Pour savoir ce que vous êtes, vous devez d’abord rechercher et connaître ce que vous n’êtes pas. Et pour savoir ce que vous n’êtes pas vous devez vous observer soigneusement, vous devez rejeter tout ce qui n’est pas en accord avec le fait fondamental : « je suis ».

Ces idées « je suis né à telle heure, à tel endroit, de mes parents et maintenant je suis celui-ci ou celui-là, vivant à…, marié à…, père de …, employé par etc., n’appartiennent pas à je suis.

Notre attitude habituelle est « je suis ceci ». Séparez, avec esprit de suite et persévérance, le « je suis » de ceci et essayez de sentir ce que signifie être, simplement être, sans être « ceci », ou « cela ». Toutes nos habitudes vont contre cela et, parfois, les combattre est long et difficile, mais une compréhension claire aide beaucoup. Plus vous comprendrez qu’au plan du mental vous ne pouvez être décrit qu’en termes négatifs, plus rapidement vous parviendrez au terme de votre recherche et vous réaliserez votre être illimité.

La Grâce, c’est par la gratitude qu’elle me revient sans cesse.

La Grâce, c’est par la gratitude qu’elle me revient sans cesse.

La grâce me vient dans des petites choses. C’est quand je m’émerveille des nappes de brouillard qui flottent sur un lever de soleil, c’est quand en hiver je vois dans un arbre sans feuilles une magnifique œuvre d’art, c’est quand un groupe d’oies sauvages semblent me saluer au moment de me survoler après que j’ai remercié l’univers pour ce cadeau … Cadeaux très simples et quotidiens, ils sont partout, la grâce est partout, elle m’emplit de joie. C’est elle qui m’aide à ne jamais me sentir seul, car elle me connecte à l’extérieur. C’est elle a qui donne l’éclat à mes yeux, car ils reflètent l’intérieur illuminé du cadeau de la grâce. Comment ça peut commencer ?  Avez vous jamais joué à voir dans les nuages des formes, des animaux, des choses de toutes sortes ?  Continuez car c’est ce que je fais en permanence, je vois dans toute chose d’autres choses.

Nous pouvons penser que vivre dans la grâce exige de mener un style de vie religieuse et de se retirer du monde. Par contre nous avons appris que la grâce existe en toutes choses, en tous lieux et en tout moment. Si nous allons au-delà de nos personnalités en évolution pour nous connecter avec notre Moi essentiel, alors nous contactons cette grâce constante et nous pouvons vivre cet état de grâce même dans le monde quotidien. Notre vrai moi est pacifique mais non inerte. Il est intelligent, puissant et étroitement impliqué dans tous nos désirs et nos rêves. Le vrai Moi possède le pouvoir créatif et l’intelligence pour diriger et manifester le parcours de votre vie. Quand vous participez à la vie et entrez à ce niveau, vous éprouvez constamment de la gratitude et vous trouvez la grâce tout partout.

(D Chopra)

 

Premiers pas vers le Soi

Le gratitude se trouve dans le présent. Seul dans le présent, dans l’ici et maintenant, je peux me connecter à mon Soi. Cela veut dire que je ne pense pas à mon passé, à mon avenir. Ca veut aussi dire que je me connecte à ce qui est, sans chercher constamment à avoir une vie parfaite, un corps parfait, un job parfait, car tout cela ne me rendra pas heureux. Que tu sois riche ou pauvre, peu importe tout le monde a la même possibilité d’accéder à la grâce.

Ensuite, je trouve dans chaque chose de belles choses.

La gratitude est une émotion, elle ne dépend pas de la volonté ; Sois plein de gratitude, le plus souvent possible. Si tu n’as rien à ta disposition, fais la méditation suivante : ferme les yeux, imagine une plage de sable fin, les vagues devant toi et l’écume qui déroule, un vent chaud, le sable entre tes doigts de pieds, le soleil et le bleu du ciel. Rouvre les yeux et observe comment la pièce dans laquelle tu te trouves est différente

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum (relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Je suis un lumineux être spirituel –  So Hum

(relations miraculeuses, Deepak Chopra, Jour 2)

Tu n’es pas ton corps changeant, tu n’es pas tes) idées changeantes, tu n’es pas tes émotions changeantes.

il y a une part de toi qui es l’observateur, la Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu peux prendre contact avec cette part de toi en portant ton attention sur celui en toi qui observe.

La présence que tu sens est ton âme, ton essence, la source.

Elle est infinie, Amour, compassion, joie, créativité, intuition et grâce. Elle est silencieuse, innée, permanente, sagesse.

À chaque fois que tu es dans les émotions, la tristesse ou la peur, et que tu te sens isolé et seul, tourne toi vers ta nature profonde qui brille comme mille soleils.

 

Tu n’es pas ton corps, tes pensées, ton métier, ton savoir faire, tes relations, tes émotions, !

Tout cela est changeant, rien de permanent ! Ton corps n’est pas le même depuis que tu étais un bébé, puis un enfant. À chaque instant ton corps évolue, se transforme et transforme.

Tu n’es pas tes pensées, elles défilent à toute vitesse !
Tu n’es pas tes émotions, même si parfois tu les retiens en toi, une émotion dure physiologiquement 30 secondes.

Tu n’es pas Ta personnalité changeante, pas ton métier, il évolue sans cesse ! Ni ton savoir faire, tes activités de loisirs, artistiques, associatives.
Tu n’es pas ta maison ni toute possession, car tu en es séparé , ni ton chien, tout cela est extérieur à toi.

Mais il y a une part de toi qui es l’observateur, observer contempler,
On l’appelle l’âme, la Conscience avec un grand C, cette Conscience qui ne juge pas, l’observateur du corps et de l’esprit.

Tu es une entité spirituelle, du spirit dans la notion éthérique. Ton âme, ta nature divine, ton Essence, ton  » je suis », ou encore la Vie en toi.

 

Résumé Mooji sur les désaccords dans les relations

Le désaccord ce n’est pas important. Ne pas la regarder de haut pour autant. Rester vide. Trouver dans Ce vide un espace. Ne pas utiliser de techniques ou de tactique. C’est parfois inconfortable, mais c’est le chemin. Parfois on prend un pain dans la figure, mais il y aura une réponse, mais pas une réponse du passé (ça veut dire ne pas vouloir absolument que tout soit beau comme au passé), être vide et puis laisser les mots sortir naturellement. Les êtres éveillés n’ont pas les réponses, car ils n’ont pas besoin d’avoir les réponses. Comme l’eau qui ne sait pas où Elle va couler, elle trouve son chemin et puis se nivelle. Et accepter d’être perdu, car c’est comme ça qu’on s’ouvre aux solutions, et non pas s’obliger à trouver. Du moment qu’on fait ce qui est juste selon le cœur on ne peut pas faire de tort à d’autre.

Letting Go – Mode d’emploi du Lâcher-prise

A partir du Daily Breath du 28 12 2020

Mode d’emploi de la compétence du Laisser-Venir

https://podcasts.apple.com/us/podcast/the-secrets-of-the-self-letting-go/id1458887650?i=1000467190658

1 – Fais le maximum de chaque moment de Vie : cultives la Joie spontanée. Si tu regardes à n’importe quel objet, ne l’interprète pas, ne juge pas, ne le place pas dans une hiérarchie ou dans le bon ou le mauvais. Alors tu ouvres la porte à la joie spontanée.

2 – Ne cherches pas obstinément les bonnes décisions. Sois conscient que tu es en train de vouloir chercher les décisions.

3 – Cesse de vouloir avoir raison, de faire le bien

4 – Vas au-delà des risques : Dans chaque décision il y a des risques. Or, la créativité de la Vie réside dans les initiatives, dans les choix, les décisions : S’il n’y a pas de risque il n’y a pas de Vie

5 – Ne prends pas de décision quand tu es dans le doute. Appuye sur pause, dors sur la question.

6 – Vois en chaque expérience de Vie une opportunité, spécialement dans les mauvaises expériences.

En définitive tout ceci va te permettre de réaliser que le laisser venir est de ressentir la Joie dans chaque moment de Vie.

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

son enseignement

La merveilleuse histoire de Lester Levenson

De Jean-Paul le 24 mars 2012

L’histoire fabuleuse de Lester Levenson, un homme condamné par la médecine a vivre seulement trois mois.

Lester LevensonIl va utiliser les choses qui lui restent : trois mois, et son esprit. Partant de là, il va « refaire » sa vie, ses événements, ouvrir son cœur à l’amour absolu, retrouver la santé, découvrir la joie d’être, et entrer dans une paix infinie et éternelle. Puis il va se découvrir des pouvoirs hors du commun, et enfin faire de l’argent comme en se jouant. Et il nous affirme que nous pouvons tous en faire autant !

Son histoire

Lester Levenson est né le 19 Juillet 1909 à Elizabeth, New Jersey. En 1931, il est diplômé de l’Université Rutgers en tant que physicien et a travaillé pendant 20 ans en physique et en ingénierie. Lester a aussi été un entrepreneur et exploré en marge d’autres, y compris, restaurants, le bois, la construction et de l’huile dans sa quête pour faire de l’argent.

Lester Levenson

Au fil des ans Lester est devenu de plus en plus malade et a souffert de toute une série de pathologies, depuis l’ictère, une hépatomégalie, des calculs rénaux, des troubles de la rate, ulcères perforés, des migraines et en 1953, sa mauvaise santé atteint un sommet quand il a subi sa deuxième thrombose coronarienne. À ce point, son médecin lui annonce qu’il n’a pas longtemps à vivre et que, fondamentalement, il devrait rester les bras croisés, ne rien faire et attendre la fin inévitable à venir.

À l’âge de 42 ans, après avoir vécu deux infarctus, les médecins l’ont renvoyé chez lui en lui disant qu’il ne lui restait que trois mois à vivre. Il s’est donc retrouvé seul dans son appartement en attendant une mort prochaine. C’est à ce moment-là qu’il a commencé une profonde quête en lui-même, à travers laquelle il chercha le sens de sa vie en la réévaluant.

Il savait que s’il a continué à respirer, il y avait encore une chance, si petite, qu’il pourrait changer sa vie. Lester était un homme intelligent, mais il a estimé que les circonstances ont de sa vie un échec. Tout ce qu’il a obtenu a été la mauvaise santé et une absence totale de bonheur. Comment en était-il arrivé là ? Lester avait étudié, il avait beaucoup de connaissances, mais il s’est rendu compte que tout cela ne valait rien en fait d’améliorer le tissu de sa vie. Par conséquent, il a commencé à envisager un retour aux sources et remettre en question ce qu’il voulait de la vie.

Peu à peu grâce à une grave épreuve, Lester lâcha tous les aspects négatifs de sa vie et a commencé à générer des pensées positives. étonnamment, ses problèmes de santé les plus importants se sont améliorés et tous les maux qui l’avaient fait souffrir ce sont résorbés. Au bout des trois mois, non seulement il s’est trouvé libéré de toutes les contraintes dues à son état de santé, mais tous ses problèmes de santé avaient complètement disparu.

Il a fait cela tout seul, sans recevoir d’instruction spirituelle spécifique et de façon complètement empirique.

Il s’est rendu compte que la cause de tous ses problèmes n’était personne d’autre que lui-même et sa façon erronée de penser.

La solution était donc de trouver le moyen de se libérer des pensées et des sentiments négatifs.

Il y a trois mots qui me viennent en premier plan pour décrire sa découverte :

Amour

Don (Donner au lieu de recevoir ou demander)

Lâcher prise.

L’histoire de Lester Levenson est étonnante et inspirante. Elle est digne d’être davantage explorée pour notre propre quête de changement et d’évolution.

Son cheminement

Voici brièvement son cheminement.

Pendant qu’il était dans son appartement, attendant cette mort annoncée, il s’est posé les questions suivantes :

– Qu’est-ce que je fais là sur cette planète ?

– Qu’est-ce que la vie ?

– Qu’est-ce que je cherche ?

La réponse fut : « Juste un peu de bonheur, c’est tout. »

« D’accord, alors, qu’est-ce que le bonheur ? Comment est-ce que je peux l’obtenir ? Où est-ce que je peux le trouver ?

En regardant dans sa vie passée, il s’est rendu compte que les moments où il avait été heureux avaient tous quelque chose à voir avec l’amour.

Mais en cherchant bien, il ne s’agissait pas des moments où il avait été aimé mais des moments où il avait aimé, où il avait senti de l’amour pour quelqu’un.

Aimer était donc plus important que d’être aimé ?

A partir de là, il a commencé à développer sa capacité à aimer. Pour cela il a compris que le chemin le plus court était de transformer ses sentiments de « non-amour » en sentiments « d’amour », de façon très concrète, un par un et avec chaque personne.

Chaque fois qu’il rencontrait une personne qui s’opposait à lui de n’importe quelle façon que ce fut, il décida de l’aimer de manière consciente. Et il la remerciait intérieurement de cette opportunité qu’elle lui donnait d’agrandir sa propre capacité à aimer. Parce que c’est en donnant de l’amour qu’on l’expérimente et que l’on est heureux.

Lester LevensonC’est ainsi qu’il s’est peu à peu élevé, et plus son amour grandissait, plus il était heureux.

Et c’est à ce moment-là que sa conception du monde s’effondra complètement.

Il réalisa que le monde était juste la production de son esprit, et que sa façon de penser détermine la matière et tout le reste.

Il comprit que les seules limites étaient dans la pensée et que son « essence », son Soi véritable, n’avait quant à lui pas de limites et était éternel. Il cessa de s’identifier à son corps et à ses pensées.

C’est ainsi qu’il s’est senti s’identifié à chaque être humain et à chaque atome de l’Univers, qu’il vu Dieu en tous et en Tout. Puis il s’est retrouvé dans un état de paix et de bonheur sans limite.

Il comprit que lui non plus n’avait pas de limites et qu’il pouvait tout manifester.

Sa compréhension

Après cette expérience, il cessa toutes ses activités d’affaires et il partit dans le désert de Sedona (Arizona), où il commença à enseigner la méthode qu’il avait découverte à toutes les personnes qui avaient le même but que lui : « la Liberté Ultime ».

Il a dédié le reste de sa vie, 42 ans, à partager avec les autres cet état d’être en harmonie avec tout dans lequel « vivre » est un bonheur, un bonheur sans limites et dans l’amour de tout ce qui est.

Plusieurs écoles proposent aux USA les enseignements de Lester Levenson, les plus connues sont :

La « méthode Sedona » qui est enseignée par Hale Dwoskin dont le livre vient de sortir en français[1] et la « méthode Release » qui est enseignée par Larry Crane.

L’approche de Lester Levenson

L’approche de Lester est pure, spirituelle et son objectif sur cette Terre est de répandre l’amour et la joie. Avec l’approche de Lester Levenson, nous ne restons plus dans « raconter notre histoire ». Nous accueillons tout ce qui s’est passé et nous relâchons. Nous accueillons aussi notre besoin, désir, habitude de retenir ce qu’on connaît, et on lâche, sans le moindre effort. Ce n’est pas plus compliqué et pas plus difficile que ça.

Lester LevensonAussi, nous honorons notre raison, notre mental, notre intellect. Après tout, c’est ce qui nous a permis de survivre comme espèce, n’est-ce pas ? Mais, une fois que nous l’avons honoré, on lâche !

 Lester Levenson était un grand maître de nos temps modernes. Né en 1909, c’est vers le début des années 1950 qu’il s’est transformé après avoir lu, étudié et vécu les enseignements des grands maîtres de tous les temps.

Le grand cadeau qui nous vient de Lester est qu’il a su diffuser ces enseignements avec une telle simplicité qu’un enfant pourrait les comprendre.

Il nous dit que « le chemin vers la joie infinie se fait grâce à l’élimination du désir, sans attachements, sans aversions ».

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« Cela me fit m’identifier à toute chose, chaque personne et même chaque atome dans cet univers.

Et c’est une expérience si immense, c’est indescriptible.

D’abord vous voyez cet univers en vous, puis vous voyez l’univers comme étant vous. Puis vous connaissez l’unicité de l’univers. Puis vous en avez fini pour toujours avec la séparation et toute l’infernale méchanceté qui est causée uniquement par la séparation.

Puis vous ne pouvez plus être mystifié par les limitations apparentes du monde

Vous les voyez comme un rêve, comme quelque chose qui n’est qu’apparent, parce que vous savez que votre propre non-être n’a pas de limite ! »

« En contemplant la source d’intelligence et d’énergie, je découvris qu’elle était aussi accessible dans des proportions illimitées, et que cela me venait simplement en étant libéré moi-même de toutes ces formes de compulsions, inhibitions, complications, hésitations.

Je n’avais pas à être assujetti à quoi que ce soit. Considérant cela, le pouvoir libéré qui était juste derrière mon esprit se manifesta comme il ne s’était jamais manifesté avant. Je vis qu’avant j’avais réprimé cette énergie, ce pouvoir : et tout ce que j’avais à faire était de regarder se défaire les palissades du barrage et c’est ce que je faisais.

En découvrant chaque chose, je faisais disparaître une palissade et je lâchais ce flot infini juste comme l’eau d’une digue jaillirait si vous poussiez les barrières une par une. Et plus vous brisez les barrières, plus grand est le flot, donc tout ce que j’avais à faire était de faire disparaître les barrières et de laisser l’énergie et le pouvoir infinis jaillir.

Et il y avait des fois, quand je me rendais compte de ce que je suis cela me donnait une telle énergie que je bondissais de mon fauteuil.

J’allais alors droit vers la porte d’entrée et je commençais à marcher, et marcher et marcher, parfois pendant des heures et parfois pendant plusieurs jours de suite ! Je sentais seulement que mon corps ne pouvait pas contenir tant d’énergie, que je devais marcher ou courir pour en laisser s’écouler de moi. ».

Extraits de « l’Histoire de Lester » en téléchargement libre ICI.

Larry Crane

Traduction : Marguerite Boisseau de Mesmay

Jean-Paul Thouny

Thérapeute énergéticien, formateur – Voiron (Isère) France

Courriel : jean-paul@thouny fr

Site web : www.jean-paul.thouny.fr

Pour aller plus loin

La merveilleuse histoire de Lester Levenson – son enseignement

eBook en téléchargement gratuit

incarnationAvoir, être et faire tout ce que vous désirez

Un maître américain moderne nous explique que ce fut proche de son lit de mort qu’il trouva les réponses à la santé, au bonheur et la prospérité, et comment vous pouvez le faire aussi

Voici son histoire : Dans l’hôpital   Au bout de deux semaines, le Dr. Schultz passa pour sa visite matinale habituelle, et après avoir examiné son patient, prit une chaise et s’assit. « Je vous libère aujourd’hui. Votre situation est stable, et il n’y a aucune raison de vous garder plus longtemps. Cependant, cela ne signifie pas que vous allez bien. Loin de là. Vous avez besoin d’une période indéfinie de convalescence, avec des checkups à intervalles réguliers. – Mais vous n’avez plus besoin de rester à l’hôpital plus longtemps.

– Vous pouvez continuer de vous reposer dans votre lit et de prendre des médicaments chez vous »

Le médecin lui expliqua dans les grandes lignes le programme de repos et de médication.

Ses visites, son régime, ses activités sociales : aucune.

Même sa vie sexuelle : aucune également.

Lester fut surpris mais déterminé à suivre les recommandations du médecin.

« Combien de temps cela durera-t-il, Docteur ? » demanda-t-il. « J’ai conscience que vous ne pouvez pas me dire exactement, mais pouvez-vous me donner une idée ? »

Il regarda le médecin attentivement en attendant sa réponse.

Voilà la clé !

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et citez la source : www.energie-sante.net

Lester Levenson Citations

Lester Levenson a fréquenté les grands Sages Indiens.

On ne cesse de vouloir se chercher à l’extérieur alors que tout est déjà là à l’intérieur, complet et infini

Le corps est Une car casse : l’habitacle de ton voyage dans cette expérience terrestre. Tu es à l’intérieur.

QUI TU ES
1 Toi – ton vrai moi
2 ton mental tes programmes : génèrent tes pensées et tes émotions et tes opinions
3 ton corps : ton monde
Ton mental et ton corps forment ton moi ego

Les émotions sont des programmes subconscients automatisés de la façon dont nous réagissons avec le monde extérieur. Chacune d’elles est un système de défense pour garder le corps en vie.

On n’a pas l’idee de vouloir survivre à une situation qui est éternelle ! Vous n’avez pas le choix : vous êtes éternel ! N’essayez donc pas de survivre à quelque chose d’éternel !

À partir de la conscience d’exister on crée les programmes de pensées et d’émotions qui nous mènent à penser que nous sommes notre corps et que nous sommes séparés du monde extérieur, après qu’on ait créé le monde extérieur à partir de nos identifications aux égrégores qui forment notre réalité.

Changer les composantes du mental formant ma réalité, et tout le monde extérieur change en même temps ! On appelle cela un miracle. Chaque jour que je me place en dehors de mes programmes automatiques m’offre des miracles !

Il y a trois états d’être : la félicité, le faire, le vouloir avoir.
Dans le vouloir avoir, nous sommes si bas que nous nous mettons dans un état d’esclavage. nous devons avoir un emploi, quelqu’un doit nous dire ce qu’il faut faire, et nous donner la nourriture que nous mangeons, et l’argent pour obtenir notre logement. Alors vient un état de dénuement, d’apathie, de chagrin de la peur on passe à l’orgueil, à la colère et à l’envie.

Passez au faire, et quand vous serez dans l’état de « je peux faire » vous aurez suffisamment de volonté et d’envie pour aller au sommet : Être

L’état d’Être n’est pas lié au monde ; il est lié à la façon dont vous regardez le monde. vous regardez le monde passer, en témoin

Laisse aller et découvre que tu es omniscient, tu n’as pas besoin de réfléchir pour Être ! La Conscience avec un grand C n’est pas la conscience avec un petit c ! ça ne demande aucun effort, au contraire il suffit de laisser aller.

Identifie tout être comme étant ton Être
Identifie tout atome comme étant ton Être
Une fois que tu vois l’extérieur comme le produit de ton mental
tu peux lâcher toute objectivité, et entrer pleinement dans le bain de jouvence de la subjectivité
Et c’est là que monte en toi l’intuition guidante

« quand tu arrives au bout de la ligne,
Tu découvres qu’il n’y a jamais rien eu d’autre que toi tout seul
« Je SUIS » l’Être est la totalité de TOUT l’Être Universel
et c’est la seule chose réelle qui existe » – Swami Vivekananda

Seul ce qui ne change pas est vrai
la seule chose qui ne change pas c’est ton Être profond,
Pendant que tes pensées et émotions et idées te traversent sans cesse
Pendant que tes actions et des avoirs ne cessent de se modifier

L’univers entier est à toi ! Parce que l’Univers est ce que tu as créé
Tu peux donc avoir tout autre Univers, puisque tu le crées

Les mots qui vont signer ton état d’Être seront
Imperturbable
Libre de tout besoin
Libre de tout effort
Libre de toute action
Observer-Contempler

L’impossible devient totalement possible du moment qu’on le libère
Et tu sais que tu es complètement libéré quand tu n’émets plus le moindre espoir

Le mental ne peut atteindre l’Être. Il est en-dessous. On ne peut atteindre l’état d’Être avec le mental, mais le mental peut nous aider à laisser aller le mental pour que nous puissions juste seulement Être.

Entre le corps subtil de l’Être en haut et le corps physique en bas, chacune une ligne, tracer une courbe qui descend et qui remonte. Sur le parcours on trouve :
Le Corps Causal : Dans le corps causal, tout concept, toute idée est instantanément réalisée. Buddha ou Jésus sont de cet ordre.
Le Corps Astral : est la matrice du corps physique
Tout en bas, le corps physique

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