Catégorie : Méditation&Spiritualité (Page 9 of 52)

Différents types de souffrance

Les souffrances

Nous sommes sans cesse confrontés à des « souffrances » : le soufre-en-se.

Et nous connaissons tous les différents types de souffrances, à tous les stades de notre évolution, selon les domaines de vie abordés.

J’ai repéré quelques souffrances :

Souffrance de la déprime  :  La souffrance chronique, monotone, on tourne en rond, perdu. On la trouve dans les états de déprime.

La souffrance de la dépendance : le monde (ou les personnes) n’obéit pas suffisamment de façon immédiate et régulière à ce qu’il devrait être : la tranquilité est dépendante du monde extérieur, où l’on se victimise.

Souffrance de la culpabilité : celle qui angoisse, celle qui fait se réveiller la nuit en pensant à ce qu’on devrait avoir dit, ou ce qu’on devrait faire. C’est aussi celle des regrets, de la rumination.

Souffrance de la contradiction : C’est la souffrance qui vient de la morale qu’on devrait s’appliquer alors que ses pulsions et les désirs sont contraires, c’est une souffrance qui déchire.

La souffrance orgueilleuse, ou résignée : la souffrance résignée des rôles et responsabilités, qui empêche celle d’être la personne ou de faire le métier qu’on voudrait vraiment au fond de soi. On eprouve des rancunes latentes, la difficulté à pardonner (surtout à soi-même).

La souffrance de la perdition : Celle du stade existentiel, la prise de conscience que la vie est éphémère, un sentiment d’absurdité, un vertige car le rationnel ne répond plus, dans un malaise semi-dépressif.

La nostalgie de la souffrance : Une fois qu’on atteint un état transpersonnel, c’est celle de la nostalgie de l’attachement, la nostalgie de la maman en somme, la nostalgie de ce qui donnait corps à sa souffrance : tristesse, peine, mélancolie sont lointaines

La souffrance joyeuse :  La souffrance est vue comme un effet secondaire de la croissance spirituelle : Hourra ! C’est la souffrance utile et indispensable pour vivre sa propre vie.

Nous pouvons être très mâture dans un domaine de vie, et en même temps être immature dans d’autres. Et même si on avance dans les stades de maturité, nous pouvons reculer brutalement en fonction de nos états émotionnels, des événements de la vie, de l’environnement. Mais les avoir déjà connues, ou du moins en avoir conscience, permet de relativiser.

 

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

Qui est responsable – Responsabilité et Culpabilisation

Qui est responsable ici ?

Les personnes ayant des idées négatives peuvent avoir tendance à internaliser le blâme pour les résultats négatifs, même lorsque ce blâme est injustifié. Ils peuvent également penser que tous les résultats négatifs sont dus à d’autres personnes. Les deux pensées donne peu de pouvoir et d’influence sur sa propre vie – une sorte d’impuissance apprise.

C’est une voie bien pratique de tout culpabiliser. Ca évite de parler de responsabilité, justement parce que la responsabilité est comprise comme une forme grave de culpabilité. C’est bien dommage.

Au contraire, la responsabilité, c’est « être en capacité de répondre », repons-habileté ! Je suis en capacité de répondre à la problématique, je peux me mettre en mouvement, j’ai une capacité d’action, j’ai mon libre-arbitre, je suis acteur et non pas victime ou coupable, donc passif.

On peut même aller plus loin, en finissant par être heureux d’être responsable. Mais « le responsable » ne doit pas être vécu comme un expert qui doit tout savoir sur tout !

Être responsable, c’est seulement être en capacité de répondre, de prendre sa responsabilité, de répondre, c’est de se mettre en mouvement pour répondre

 

ce que je veux faire

1- soigner les gens
les maladies internes sont liées aux émotions.
les maladies chroniques sont liées aux émotions.
les maladies externes sont liées directement aux facteurs de cause visibles.
les empoisonnements et facteurs externes indirects sont plus difficiles à détecter.
Processus :
– BILAN de MTC, Il permet de détecter les tableaux.
– PRINCIPES DE TRAITEMENT : Au lieu de traiter les organes et leurs fonctions, par ex par les méthodes d’acupuncture et de pharmacopée je veux utiliser :
– Tuina
– questions socratiques
– huiles essentielles

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2 – DONNER LA BONNE PAROLE
Faire réfléchir les gens. par des vidéos courtes à thème d’introductions; vidéos plus longues développement, conférences, web conf

3 – Ecrire des Livres
3.1 Thèmes de développement :
traduire les accords toltèques
dédramatiser les abus de language ex : « on choisit ce qui nous arrive »

3.2 Thèmes naturalistes :
Traduire la MTC
Traduire les principes du TaoTeKing et de Tchouang
Traduire le YiKing

4 – Coaching génératif
Préciser un objectif
Se motiver
Définir ses valeurs
définir la personnalité

technique de vente

phase 1 : le client veut parler de ses besoins et du budget

Phase 2 : le client veut que je lui parle de la solution, pas du budget

Phase 3 : Budget et Risque que le client estime prendre

 

Situation
Problème
Conséquence négative si on fait rien
Gain

Ne pas donner d’abord les arguments qui sont expliqués plus tard.

 

Quelques réflexions depuis ma carte du monde

 

 

Bilan de compétences : C’est très bien, je vous encourage à en faire un. Mais je vous demande : est-ce que vous n’êtes que des compétences ?

J’ai fait 2 bilans de compétences, très bien réalisés et je remercie encore mes consultants. Mais en sortant je me suis dit  » oui ok, et après ?  »

L’idée, à ce moment-là, est qu’il « suffit » de se mettre en mouvement. Oui mais comment ?

Primo, vous n’avez pas que des compétences, vous êtes des talents ! Il y a une différence fondamentale entre les talents, naturels, et les compétences, acquises. Nous AVONS des compétences, nous SOMMES des talents. Un talent, ça se vit, dans les tripes, dans le coeur, ça fait écho à notre identité. Se découvrir ses talents, les vrais, c’est passer de la nuit au jour dans ce qu’on a VRAIMENT envie, car déployer son talent, c’est ETRE, ce n’est pas seulement FAIRE. Le talent, c’est le pont entre l’être intérieur et sa façon d’être au monde, unique, rayonnante. Une compétence peut épuiser, un talent n’est jamais fatigué !

Alors oui, on peut mener une vie entière avec des compétences. Plus ou moins facile à mettre en oeuvre, elles portent mais ne nourrissent pas le sens, la signification qu’on donne aux choses. Certaines personnes n’ont pas besoin de donner du sens à leur vie, et donc, les compétences leur seront suffisantes … quoique, vers 40 ou 50 ans, parfois on a finalement quand même besoin de sens …

Je pense que connaitre ses compétences et ses talents ne suffit pas !

Généralement, les bilans de compétences passent du bilan des compétences vers les métiers, et de là, vers la filière de formation et/ou l’entreprise.

Or, si on passe d’une vie professionnelle non nourrissante à une autre qui ne le sera pas plus, que croyez-vous qu’il va se passer dans les 3 à 5 années suivantes ? Lassitude, retour à la case départ, souvent.

Là entre en jeu d’autres étapes du coaching génératif : L’environnement et la manière de fonctionner sont importantes dans ce qu’on fait, car elle permet d’exprimer ce qu’on est !

L’environnement : j’ai des talents et des compétences, oui, et mon bilan de compétence m’a permis de les préciser. Je m’oriente vers une nouvelle vie pro, ok.

Mais l’environnement et le mode de fonctionnement dans lequel je vais exercer mes talents me correspond-il ?

Un environnement qui ne correspond pas peut vite devenir épuisant, voire toxique ! Savoir quel type d’environnement me correspondra me permet de ne pas me tromper de branche. Pour un même talent, différents métiers peuvent correspondre. Certains métiers évoluent selon des modes de fonctionnement qui me correspondent, ou pas du tout. Ou encore, un même talent peut être exercé dans un métier qui se pratique au contact d’un large public, ou alors seul en toute autonomie. Vous avez besoin d’être dirigé ou bien ne supportez pas du tout cela ? etc …

Vous allez me dire qu’il suffit d’ouvrir internet : facile, non ? Qu’est-ce qu’on trouve sur internet ? des tests, des qcm, des méthodologies. Et même du pseudo coaching. Mais pourquoi se lancer corps et âme dans cette démarche, sans savoir ce qu’on veut vraiment faire ?

L’arbre qui cache la forêt : souvent, quand quelqu’un vient pour changer A, au début de la séance suivante cette personne revient en disant  » en fait, ce n’était pas vraiment ce que je voulais changer

 

Le Taoïsme

Le taoïsme (chinois : 道教 ; pinyin : dàojiào ; litt. « enseignement de la voie ») est un des trois piliers de la pensée chinoise avec le confucianisme et le bouddhisme, et se fonde sur l’existence d’un principe à l’origine de toute chose, appelé « Tao ».

textes, dont le Dao de jing de Lao Tseu, le Lie Tseu et le Zhuāngzǐ de Tchouang Tseu

 

Durant la période des Trois Royaumes (220~265), les termes dào jiā (道家) et dào jiào (道教) divergent, le premier désignant la philosophie et le second la religion.

 

le corps est spirituel

Le corps spirituel : le corps n’est pas que matériel, il est spirituel !

dans une société où le corps est réduit à la matière, le corps est pourtant la porte d’entrée des Shens et le lien avec le SHEN

 

Coaching : le lien entre l’objectif et l’identité

 » si je veux vraiment apporter une valeur ajoutée aux gens, je dois me demander et demander aux autres ce qui est si important dans leur vie et qui les aiderait à avoir plus de valeur, plus de succès et plus de confiance en eux  » John Maxwell

L’objectif de John est d’apporter de la valeur ajoutée aux gens. John fait cela parce que cela va nourrir son être, son identité, ses valeurs.

L’objectif de Céline était de changer de vie, de lieu et d’activité. Céline a fait ça parce que cet objectif nourrirait son être, son identité, ses valeurs.

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