Catégorie : Psychée (Page 4 of 39)

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions : des émotions saines, et des sensations saines mènent à des intuitions fiables. Des émotions saines sont celles d’un esprit en équilibre, elles ne bloquent pas les pensées, les sensations saines sont celles d’un corps en équilibre, leur signal est fluide et bien interprété.

Les empreintes des environnements toxiques

comment voir la valeur de ce que l’on réalise puisque on est habitué à ne pas la voir ?

Tout ce qui a été répété suffisamment de fois et en public qui est dégradant va s’imprimer et provoquer une meséstime de soi, et donc une faible confiance en soi. A force, on va créer un ensemble de croyances sur nous qui font identité. Et on va trainer ça dans l’inconscient. après, on peut nous nous dire « ce que tu fais est super » « tu es une belle personne », on l’entendra ça nous fera plaisir, mais dans le soubassement, tout ce système de croyances qui ont sapé notre confiance en nous reste et reste puissant.

en hypnose ou en auto-hypnose on va dit quelque chose qui va contrecarrer ces fausses paroles, à haute voix. On va se le répéter plusieurs fois par jour pour imprimer une autre vérité

Différents types de souffrance

Les souffrances

Nous sommes sans cesse confrontés à des « souffrances » : le soufre-en-se.

Et nous connaissons tous les différents types de souffrances, à tous les stades de notre évolution, selon les domaines de vie abordés.

J’ai repéré quelques souffrances :

Souffrance de la déprime  :  La souffrance chronique, monotone, on tourne en rond, perdu. On la trouve dans les états de déprime.

La souffrance de la dépendance : le monde (ou les personnes) n’obéit pas suffisamment de façon immédiate et régulière à ce qu’il devrait être : la tranquilité est dépendante du monde extérieur, où l’on se victimise.

Souffrance de la culpabilité : celle qui angoisse, celle qui fait se réveiller la nuit en pensant à ce qu’on devrait avoir dit, ou ce qu’on devrait faire. C’est aussi celle des regrets, de la rumination.

Souffrance de la contradiction : C’est la souffrance qui vient de la morale qu’on devrait s’appliquer alors que ses pulsions et les désirs sont contraires, c’est une souffrance qui déchire.

La souffrance orgueilleuse, ou résignée : la souffrance résignée des rôles et responsabilités, qui empêche celle d’être la personne ou de faire le métier qu’on voudrait vraiment au fond de soi. On eprouve des rancunes latentes, la difficulté à pardonner (surtout à soi-même).

La souffrance de la perdition : Celle du stade existentiel, la prise de conscience que la vie est éphémère, un sentiment d’absurdité, un vertige car le rationnel ne répond plus, dans un malaise semi-dépressif.

La nostalgie de la souffrance : Une fois qu’on atteint un état transpersonnel, c’est celle de la nostalgie de l’attachement, la nostalgie de la maman en somme, la nostalgie de ce qui donnait corps à sa souffrance : tristesse, peine, mélancolie sont lointaines

La souffrance joyeuse :  La souffrance est vue comme un effet secondaire de la croissance spirituelle : Hourra ! C’est la souffrance utile et indispensable pour vivre sa propre vie.

Nous pouvons être très mâture dans un domaine de vie, et en même temps être immature dans d’autres. Et même si on avance dans les stades de maturité, nous pouvons reculer brutalement en fonction de nos états émotionnels, des événements de la vie, de l’environnement. Mais les avoir déjà connues, ou du moins en avoir conscience, permet de relativiser.

 

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

Qui est responsable – Responsabilité et Culpabilisation

Qui est responsable ici ?

Les personnes ayant des idées négatives peuvent avoir tendance à internaliser le blâme pour les résultats négatifs, même lorsque ce blâme est injustifié. Ils peuvent également penser que tous les résultats négatifs sont dus à d’autres personnes. Les deux pensées donne peu de pouvoir et d’influence sur sa propre vie – une sorte d’impuissance apprise.

C’est une voie bien pratique de tout culpabiliser. Ca évite de parler de responsabilité, justement parce que la responsabilité est comprise comme une forme grave de culpabilité. C’est bien dommage.

Au contraire, la responsabilité, c’est « être en capacité de répondre », repons-habileté ! Je suis en capacité de répondre à la problématique, je peux me mettre en mouvement, j’ai une capacité d’action, j’ai mon libre-arbitre, je suis acteur et non pas victime ou coupable, donc passif.

On peut même aller plus loin, en finissant par être heureux d’être responsable. Mais « le responsable » ne doit pas être vécu comme un expert qui doit tout savoir sur tout !

Être responsable, c’est seulement être en capacité de répondre, de prendre sa responsabilité, de répondre, c’est de se mettre en mouvement pour répondre

 

La capacité du vide – ILLUSTRATION de l’accord toltèque « je ne suppose pas »

La capacité du vide – ILLUSTRATION de « je ne suppose pas »

Par exemple, lorsque quelqu’un ne me répond pas par texto ou n’a pas l’air content de me voir au travail, je risque de chercher à remplir prématurément ce vide de sens avec mes propres imaginations, évidemment négatives. « Il ne m’a pas encore répondu parce qu’il ne m’aime plus » ou « Il ne m’a confié ce travail parce qu’il me trouve mauvais ». Être capable de se détendre en disant « je ne sais pas encore » est une compétence émotionnelle profonde.

Nous pouvons imaginer tout un tas d’hypothèse, de plus en plus farfelues. De cette manière, on peut relâcher un peu la rumination et parfois même « éteindre » le besoin impérieux d’explication par l’imagination, et se détendre simplement en acceptant de ne pas savoir. C’est une compétence merveilleuse à développer.

le corps est spirituel

Le corps spirituel : le corps n’est pas que matériel, il est spirituel !

dans une société où le corps est réduit à la matière, le corps est pourtant la porte d’entrée des Shens et le lien avec le SHEN

 

Tables ronde de la Transformation – modèle Maxwell

Tables rondes de la Transformation – modèle Maxwell

—————————

Les tables de transformation Change Your World (CYW) sont des ateliers de groupe fondées sur les valeurs.

Pourquoi ? Pour se développer, pour mieux se connaitre, pour mettre en action des besoins ou des envies de changement, pour se mettre en action en harmonie avec soi, ses valeurs et ses propres façons de fonctionner. Le faire en groupe sans jugements mais avec le support du partage. Le faire en groupe pour rester motivé, mobilisé, encouragé.

*********************

Vous commencerez par les Tables de valeurs, six leçons sur les valeurs universelles clés : L’espoir, l’écoute, la valorisation de la personne, l’intégrité, le pardon et la multiplication.

Chaque semaine, vous prendrez le temps d’appliquer concrètement ces leçons dans votre vie quotidienne, ce qui vous permettra de vous épanouir et de vous transformer !

Après avoir complété les tableaux de valeurs, la phase suivante de ton parcours CYW est celle des tables d’action.

Ces tables s’appuient sur les fondements des bonnes valeurs et se concentrent sur l’apprentissage de la différence en agissant intentionnellement chaque jour et avec d’autres personnes.

****************

Ces tables rondes sont organisées sous forme de réunions régulières. Un falicitateur anime le groupe.
elle se déroulent en 5 phases

1 – Chaque personne relate ce qu’elle a réalisé depuis la dernière fois

2 – Une personne lit un paragraphe centré sur les valeurs, et quels sont les bénéfices, comment ils peuvent nourrir. chaque personne surligne un mot ou un extrait qui lui parle.

3 – Chaque personne partage pourquoi elle a surligné la valeur surlignée

4 – chaque personne prend 3 minutes pour évaluer l’état actuel de son positionnement par rapport à la valeur, écrit ses réponses, et prend des engagements du comment elle va se mettre en action pour développer cette notion.

5 – Chaque personne partage ce qu’il/elle a écrit

***********

montre en main : nommer un time keeper.
chaque participant parle de soi, au « je ».
le facilitateur reste neutre, il commence et montre l’exemple, ne commente pas.
on ne s’intérrompt pas.
on essaye d’être spécifiques dans ses actions.
ce n’est pas un groupe de solution, mais c’est un groupe de partage et de transformation, d’épanouissement.

***********

EXEMPLE des 6 leçons : l’écoute

L’écoute

La meilleure façon de comprendre les gens est de les écouter. » – Ralph Nichols

Quelle action avez-vous entreprise la semaine dernière ? Quels ont été les résultats ?

Réflexion

Instructions : Lisez les paragraphes ci-dessous à tour de rôle. Au fur et à mesure de votre lecture, soulignez les idées qui retiennent votre attention.

L’écoute est l’une des compétences les plus importantes que nous puissions avoir. Cependant, parce que nous utilisons cette compétence particulière tous les jours, nous la tenons souvent pour acquise. Développer nos capacités d’écoute peut avoir un impact considérable sur notre vie. La façon dont nous écoutons peut grandement influencer nos relations et notre capacité à réussir. De mauvaises compétences en communication sont souvent à l’origine de l’échec de nos relations personnelles et professionnelles.

L’écoute est un élément clé de la communication. Lorsque nous comprenons mal les personnes qui nous entourent, c’est souvent parce que nous n’avons pas écouté attentivement. C’est aussi vrai lorsque nous parlons à un collègue de travail que lorsque nous parlons à notre conjoint. Lorsque nous écoutons efficacement, nous pouvons améliorer notre capacité à établir des liens et à comprendre les personnes avec lesquelles nous interagissons dans notre vie quotidienne.

La meilleure forme d’écoute exige que nous mettions de côté les distractions internes et externes afin de pouvoir écouter sans jugement ni interruption. Pour écouter à ce niveau, nous devons nous investir émotionnellement et mentalement dans la conversation. Cela signifie que nous sommes pleinement engagés et présents pendant que l’autre personne parle. Nous devons arrêter ce que nous sommes en train de faire, établir un contact visuel et prêter attention à ses paroles. Cela peut sembler facile, mais la plupart d’entre nous n’écoutent pas vraiment à ce niveau de façon régulière. En devenant de meilleurs auditeurs, nous pouvons considérablement améliorer notre efficacité dans nos relations personnelles et professionnelles. Nous pouvons accroître considérablement notre capacité à influencer, à persuader et à négocier. Nous pouvons être plus efficaces avec nos clients. Nous pouvons collaborer plus efficacement avec les membres de l’équipe. Nous pouvons approfondir nos relations familiales. Dans toutes les situations et circonstances, nous pouvons tirer profit d’une écoute délibérée des autres. Non seulement l’écoute influe sur notre succès et notre réussite, mais elle influe également sur notre capacité à évoluer. Nous apprenons parce que nous écoutons. Nous évoluons parce que nous apprenons. Les personnes qui savent écouter cherchent toujours à apprendre des gens qui les entourent. Ils comprennent qu’ils peuvent apprendre quelque chose de chaque personne qu’ils rencontrent. Si nous apprécions les gens et cherchons à les comprendre, nous pouvons absorber leur sagesse et leur expérience. La sagesse s’acquiert grâce au temps et à l’énergie que l’énergie que nous investissons en permanence dans l’écoute, le dialogue, l’apprentissage, l’observation et la compréhension.

Les personnes qui démontrent la valeur de l’écoute présentent certaines caractéristiques :

  1. Ces personnes sont des auditeurs disciplinés. Elles choisissent consciemment de parler moins et d’écouter plus.
  2. Ces personnes sont désireuses d’apprendre. Elles recherchent continuellement l’opportunité de grandir dans chaque situation et dans chaque conversation.
  3. Ces personnes recherchent la vérité. Elles ne se contentent pas d’informations superficielles et posent des questions pour obtenir des éclaircissements et une compréhension plus profonde des conflits ou des situations.

pour obtenir des éclaircissements et une compréhension plus profonde des conflits ou des situations.

  1. Ces personnes jouent le rôle de médiateur entre des points de vue opposés. Elles se préoccupent davantage de ce qui est juste que de qui a raison.

que de savoir qui a raison.

  1. Ces personnes développent des relations étroites à la maison et au travail. Elles font en sorte que les autres se sentent valorisés et importants en écoutant attentivement leurs besoins et leurs désirs.

 

Avantages

Si vous pratiquez la valeur de l’écoute, vous ressentirez les avantages suivants :

  1. Vous établirez un respect mutuel avec les personnes qui vous entourent. Lorsque vous accordez de l’importance à ce que disent les autres, vous

Lorsque vous accordez de l’importance à ce que disent les autres, vous montrez que vous les appréciez, eux et leur point de vue. Cela créera une loyauté et une confiance partagées.

  1. Vous développerez des compétences en matière de résolution des conflits. Même les personnes ou les situations les plus explosives peuvent souvent être désamorcées lorsqu’elles ont la possibilité d’être entendues.

souvent être désamorcées lorsqu’elles ont la possibilité d’être entendues.

  1. Vous apprendrez et évoluerez en recherchant et en écoutant les connaissances et les expériences précieuses des autres.
  2. Vous gagnerez la faveur et l’influence des gens parce qu’ils savent que vous vous intéressez à ce qu’ils ont à dire et à ce qu’ils ressentent.
  3. Vous créerez un environnement positif en évitant les conflits et les malentendus.

 

Étapes à suivre

  1. Écouter avec un esprit ouvert. Soyez prêt à entendre et à prendre en compte tous les aspects d’une question.
  2. Arrêtez ce que vous faites, établissez un contact visuel et engagez-vous pleinement. Accordez à l’autre personne toute votre attention.

toute votre attention. Mettez de côté les courriels, les appels téléphoniques et autres distractions potentielles.

  1. Écoutez objectivement. Lorsque vous abordez la conversation sans porter de jugement, vous créez la confiance nécessaire pour établir une communication ouverte et honnête.
  2. Posez des questions. Assurez-vous de bien comprendre le sens des propos de votre interlocuteur.

Évitez les malentendus en posant des questions complémentaires. Paraphrasez ou résumez les pensées de l’autre personne pour montrer que vous l’écoutez et pour vous assurer que vous comprenez vraiment son point de vue.

  1. Évitez la tentation de penser à ce que vous allez dire ensuite. Au lieu de cela, prêtez attention à tout ce que la personne dit avant de formuler votre opinion.

les questions d’évaluation du changement selon J Maxwell

Captés sur

https://changeyourworld.com/assessment

1 – Je suis capable d’identifier les actions spécifiques que je peux entreprendre pour créer un changement positif.
A – Jamais
B – Très rarement
C –  Rarement
D –  Occasionnellement
E –  Fréquemment
F –  Très souvent

2 – Je crois que je peux apprendre quelque chose de chaque conversation à laquelle je participe.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

3 – J’agis comme une personne dans une situation donnée et comme une personne différente dans une autre situation lorsque c’est nécessaire.

A jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

4 – J’ai la volonté de continuer à travailler pour
pour rendre le monde meilleur.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E  Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

5 -J’ai du mal à oublier les choses négatives qui me sont arrivées.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

6 – Je me consacre à la formation d’autres personnes à effectuer des tâches pour lesquelles je suis compétent.

A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

7 J’attends beaucoup de l’avenir.

A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

8 Je suis distrait lorsque les gens me parlent.

A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

9 Je respecte ce que j’ai dit que j’allais faire.

A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

10 J’estime les autres, non pas pour ce qu’ils peuvent faire pour moi, mais simplement parce qu’ils sont des êtres humains.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

11 Je fais l’effort de connaître les autres.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

12 Lorsque je fais quelque chose de mal, je suis prêt à demander pardon.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

13 J’encourage les personnes que j’ai formées à former d’autres personnes.
A jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

14 Je peux trouver des moyens d’améliorer le monde.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

15 Je préfère travailler seul plutôt qu’avec d’autres personnes
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

16 Lorsque quelqu’un me parle,
je suis généralement capable d’écouter sans l’interrompre.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

17 Lorsque je fais quelque chose de mal, je suis prêt à l’admettre.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

18 J’encourage et j’apprécie les personnes qui m’entourent.
les personnes qui m’entourent.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

19 Lorsque quelqu’un me fait du tort, même s’il s’excuse, j’ai tendance à lui en vouloir.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

20 Je comprends bien mes valeurs.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

21 Je suis capable de transmettre des tâches, même si la personne que j’ai formée ne les fait pas aussi bien que moi.
A Jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

22 Je m’ouvre aux autres et je m’efforce de rencontrer les gens là où ils sont.
A jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

 

23 J’ai du mal à oublier mes erreurs passées.
A Pas du tout d’accord
B Pas du tout d’accord
C Légèrement en désaccord
D Légèrement d’accord
E Plutôt d’accord
F Tout à fait d’accord

 

Sur une échelle de 1 à 10

24 Dans quelle mesure démontrez-vous la qualité de l’espoir ?
25  Dans quelle mesure faites-vous preuve de qualité d’écoute ?
26 Dans quelle mesure aimeriez-vous démontrer la qualité de l’écoute ?

27 Dans quelle mesure faites-vous preuve de
qualité d’intégrité ?

28 Dans quelle mesure souhaiteriez-vous démontrer la qualité de l’intégrité ?

29 Dans quelle mesure démontrez-vous la qualité de la valorisation de chaque personne ?

30 Dans quelle mesure aimeriez-vous démontrer la qualité de la valorisation de chaque personne ?

31 Dans quelle mesure démontrez-vous la qualité du pardon ?

32 Lorsque je discute avec quelqu’un, je pose des questions pour bien le comprendre.
A jamais
B Très rarement
C Rarement
D Occasionnellement
E Fréquemment
F Très souvent

33 Dans quelle mesure aimeriez-vous démontrer la qualité du pardon,

34 Dans quelle mesure enseignez-vous aux autres à faire ce que vous faites et les formez-vous à enseigner aux autres à faire la même chose ?

35 Dans quelle mesure aimeriez-vous apprendre aux autres à faire
ce que vous faites et les former pour qu’ils apprennent aux autres à faire la même chose ?

36 Dans quelle mesure aimeriez-vous démontrer la qualité de l’espoir ?

37 L’objectif me motive. Je veux faire ce pour quoi j’ai été créé.

38 Mon esprit s’anime lorsque je trouve une cause qui vaut la peine d’être défendue.

39 L’autonomie me motive. Je veux être libre de contrôler ma vie.

40 Je suis beaucoup plus heureux et productif lorsque je peux prendre mes propres décisions.

41 Les relations me motivent. J’ai envie de faire des choses avec les autres.

42 Travailler avec des personnes que j’apprécie est une source d’inspiration pour moi.

43 Le progrès me motive. Je veux m’épanouir sur le plan personnel et professionnel.

44 La possibilité de trouver et d’atteindre mon potentiel est une source d’inspiration pour moi.

45 La maîtrise me motive. Je veux exceller dans mes compétences.

46 Continuer à aller de l’avant et améliorer mes compétences est une source d’inspiration pour moi.

47 La reconnaissance me motive. Je veux que les gens reconnaissent mes réalisations.

48 Je suis inspiré et plein d’énergie lorsqu’on m’adresse un mot d’éloge.

49 L’argent me motive. Je veux être à l’aise financièrement.

50 L’idée d’avoir une liberté financière m’inspire.

 

« Older posts Newer posts »

© 2024 La Montgolfiere

Theme by Anders NorenUp ↑