Catégorie : Psychée (Page 15 of 39)

LA SIGNIFICATION DES VALEURS

LA SIGNIFICATION DES VALEURS

Les valeurs sont presque tout en haut de la pyramide de Dilts. Elles découlent de l’identité. Vivre en harmonie avec ses valeurs est essentiel, puisqu’elles régissent notre quotidien au travers de nos actes. On peut toujours ajuster nos actes en fonction de nos valeurs, mais l’inverse n’est pas vrai. Ainsi, agir selon des valeurs qui ne sont pas les siennes amène à vivre le quotidien d’une personne qu’on n’est pas, avec les conséquences psychiques, relationnelles et sociales parfois dramatiques.

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Qu’est-ce que représente une valeur ?
au départ de tous ces biais se trouvent souvent la signification des valeurs. Demandez à 10 personnes de faire une liste de mots de ce que signifie une valeur pourtant simple de liberté, ou d’amour, ou de réussite, vous aurez à chaque fois 10 significations très différentes.

Avant de vivre dans des attentes, définir ses valeurs
Un des exercices que je propose à mes accompagnés, et que je fais moi-même régulièrement, est de définir une valeur:

METHODE
après avoir listé les valeurs les plus importantes,
les classer,
puis définir une des valeurs: exprimer oralement ou par écrit ce que signifie cette valeur pour la personne. Au fur et à mesure les idées s’éclairent, on biffe et on ajoute.

Prendre conscience de SA signification de valeur
je vous encourage à faire cette expérience, c’est très étonnant, même pour soi, de prendre conscience de ce que représente une valeur. Pour ma part, je m’étonne toujours de constater que j’avais une idée d’une valeur qui, quand je la définis clairement, prend un autre visage.

Et à la fin, on s’aperçoit que certains pré-supposés que la société ou que notre éducation ont collé à une valeur ne sont pas présents dans la signification donnée par la personne !  Et inversement, cette valeur représente pour la personne des choses bien différentes des pré-supposés. Cela enrichit, élargit et approfondit la signification de ladite valeur.

Prendre conscience des différences, apprendre la tolérance
À partir de ce moment, nous pouvons aussi écouter les autres parler de leurs valeurs en toute sérénité.  Sachant que chaque autre personne donne une autre signification à telle valeur, je peux écouter sans m’identifier, donc également sans réagir, puisque la réaction est le résultat de la comparaison entre ce qu’évoque la valeur pour moi et ce que le perçois de l’autre. Ca évite bien des conflits, des malentendus sur des mots relatifs à des valeurs.

Mieux écouter, mieux se faire comprendre
Evidemment, il n’est pas interdit de demander à l’autre « qu’est-ce que tu entends par là ? » ou encore « voilà la signification que je donne à mon propos », pour entrer dans une communication plus riche, moins prise dans l’affect de l’identification, plus fluide et ouverte.

Etat dépressif, Attentes, Jugements, Valeurs

Un état dépressif surgit notamment quand la vie que la personne voudrait avoir est trop dissonante avec celle qu’elle vit. « Comment ma vie devrait être », et le blocage se crée déjà : il y a stagnation, d’où mal-être qui est souvent du « non-bien-être », puis rumination, insomnie, mauvaise digestion, perte de discernement,burn out, maladie…

Quand la vie n’est pas conforme à ses valeurs

Quand je dis  » la vie qu’on vit « , ce n’est pas une réalité, mais le vécu, donc la perception d’une situation.

Les attentes sont construites.
Toute attente est construite, c’est une vue de l’esprit. Aussi positive soit considérée l’ambition, l’envie de progresser, etc… une attente n’existe pas, c’est dans la tête. Et avoir des attentes sur les autres, c’est construire des attentes qui sont par nature impossible à satisfaire, c’est comme si on voulait faire entrer une partie de soi dans l’autre.

Le jugement est dans l’attente
Ces états sont parfois lié à des attentes, donnant lieu à des jugements, ceux que j’évoque entres autres quand j’affirme que le jugement est partout sans qu’on ne s’en aperçoive.

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Attente vis à vis de l’autre

Attente de constance
C’est quand on attend de l’autre qu’il/elle soit toujours pareil, dans ses humeurs, dans son attention, dans son comportement.
Cette attente est liée à un besoin de constance, dans tous les éléments qui sont des repères de ce qu’est l’autre. Donc, quand il/elle n’est pas comme on attend, on est un peu perdu, on ne reconnait pas l’autre.
Alors, on n’accepte pas que la personne ne soit pas de bonne humeur, qu’elle a des états d’âme, des baisses de forme, quand elle est différente de l’attente qu’on a construit d’elle.

Or, nous sommes humains, ce genre d’attente ne fait que générer frustrations et conflits avec l’autre, qu’on blâme de ne pas être comme on voudrait qu’il/elle soit. C’est vrai dans le couple, dans le travail, avec les enfants, etc…
Est-ce que c’est de l’amour, vraiment ? Est-ce que c’est ça travailler avec les autres ?  On peut changer de conjoint ou de boulot, les résultats seront les mêmes. Ces attentes sont construites, or la vraie vie est mouvement !

Attente de valeurs identiques
Cette attente est celle de croire que l’autre vit dans mes propres valeurs. C’est quand je voudrais que les autres vivent dans mes valeurs, parce que la vie c’est comme ça, parce que « c’est factuel », parce que ça se passe comme ça. Et ceux qui ne font pas comme moi, ceux qui pensent autrement, ce sont des cons, ils n’ont rien compris.

Pour renforcer ce biais, arrive là-dessus une parole qui est saine en elle-même  » il faut avoir le courage de ses opinions » ou « affirme toi », ou encore « persévère, tout le monde ne peut pas avoir les mêmes idées et les grands inventeurs sont ceux qui suivent leurs idées ». Il devient impossible à la personne de se rendre compte qu’elle n’est pas dans des idées mais dans des jugements.

Penser que mes valeurs sont meilleures, c’est un jugement et c’est enfermer. C’est une illusion de croire que les autres vont vivre dans mes valeurs si je considère que mes valeurs sont meilleures. Ca concerne les parents, les enfants, les amis, les managers, les collègues, et ça concerne beaucoup les élus qui se pensent représenter la valeur de leurs électeurs.

L’attente d’empêcher l’autre de vivre dans une autre plus haute valeur que la sienne.  Chacun prend ses décisions en fonction de ses valeurs, et non sur la valeur des autres.

Obliger l’autre à prendre ses décisions en fonction de mes propres plus hautes valeurs, c’est séparer, diviser, frustrer, et c’est brimer. Un jour ou l’autre, il y a conflit, et je ne comprendrai pas pourquoi …

personne ne vivra jamais dans tes valeurs

Si tu as compris ça, tu as fait un grand pas vers une communication plus saine avec tout le monde.

 

Attentes vis-à-vis de soi

Quand on s’attend à être soi-même dans un état de performance constant. C’est quand on n’accepte pas de ne pas aller bien, d’être parfois de mauvaise humeur, d’avoir des baisses de forme, ses manques d’envie, de ne pas être au top.
Cette attente est plus fréquente qu’on ne le pense, elle est insidieuse dans une société qui est celle de l’humain-robot, celui de la réussite, celui de la performance, celui du travail bien fait vite fait, et la société de la sur-sollicitation où il ne suffit pas d’être performant, mais tout le monde doit le voir et le reconnaitre, partout et à tout moment.

Attentes de trouver du bonheur dans les valeurs d’autres
Vivre dans les valeurs des autres peut mener à des états dépressifs et de grandes pertes. Une personne qu’on admire, ou un modèle de réussite qu’on a lu ici ou là, de calquer ma vie sur des valeurs qui ne sont pas les miennes ne peut pas me mener à me sentir moi-m’aime. Construire une existence sur des valeurs qui ne sont pas celles de la personne peut l’amener à prendre des décisions capitales dans sa vie. On peut ainsi se marier, avoir un boulot et tout un cercle amical qui ne correspond pas à ses propres valeurs. Le réveil se fait parfois sous forme de clash, ou alors ce genre de situation peut mener à une dépression profonde inconsciente.

Attente vis à vis du monde

L’attente d’un monde vivant mieux dans ses valeurs.
Quand on est persuadé que le monde devrait  vivre selon telles valeurs que le monde irait mieux si … C’est beau de le souhaiter, mais de penser, c’est croire, et croire c’est attendre : attendre que le monde irait mieux si tout le monde vivait dans telles valeurs est source de conflits, et d’angoisse, car on est alors constamment déçu, découragé, désillusionné.  On peut en arriver à vouloir imposer ses valeurs aux autres, ou à souhaiter du malheur à ceux qui ne partagent pas telles valeurs. C’est le cas des gouvernements, ou des groupes religieux, ou encore des sectarismes alimentaires.

Le mythe du surhomme ou le syndrome d’Emmanuel
Les valeurs d’une personne, associées à sa réussite professionnelle, et renforcée par un succès électoral, peut mener à ce que j’appelle le syndrome d’Emmanuel : c’est quand une personne pense sincèrement que ses valeurs doivent être partagées par tous, et agissent en conséquence comme elle, puisque cette personne a réussi, c’est la bonne méthode. L’engagement de ces personnes est sincère et puissant, et peur les mener à dépasser certaines valeurs pour arriver à leurs fins. Et ces personnes ne comprennent pas, très sincèrement, pourquoi et comment d’autres peuvent ne pas adhérer à leurs valeurs, puisqu’elles sont belles et porteuses de bien-être. (bien-être pour cette personne).

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Comment faire pour bien vivre avec ses valeurs dans le monde des autres ?

Je vous propose de prendre un temps de réflexion sur vos attentes, celles que chacun d’entre nous porte sur son entourage intime, familial, professionnel ou social. Se prendre un peu de temps permet de prendre du recul et de se détacher de l’affect, c’est à dire de l’identification.

Ensuite, je vous propose de nous intéresser aux valeurs via la réflexion suivante, avec un exercice éclairant pour définir et bien vivre ses propres valeurs : cliquez ici

LA SIGNIFICATION DES VALEURS

 

Le Coaching de résolution du passé pesant

Ce type de coaching est celui des situations de blocage, quand on est face à une problématique récurrente qui fait obstacle à son développement personnel et/ou professionnel.

Exemples de souvenirs pesants : Un deuil qui s’éternise, des regrets qui hantent, une angoisse venue du passé, des flashs du passé; Cela peut aussi consister à tout ramener à ce qu’on a déjà vécu, ce qui bloque l’ouverture sur l’avenir.

J’ai ainsi connu une femme qui, suite à différents échecs dans les relations avec les hommes, s’est détournée des relations avec les humains et s’est consacré totalement aux animaux. C’est beau, oui, mais elle continue de trainer ses vieilles casseroles.

L’approche du coaching est quelque part inverse à l’approche de la psychothérapie classique. Le sujet n’est pas important, c’est le processus.

Ainsi, la personne accompagnée peut venir avec un vieux problème qu’elle traine depuis des années, un évènement ancien qui lui pourrit le quotidien. L’objet du coaching ne sera pas d’effacer le souvenir, mais de modifier la relation au souvenir, d’en libérer la charge émotionnelle.

Voilà ce que je propose dans le coaching de résolution lié aux souvenirs pesants.

Exemple d’interprétation de rêve – La sorcière à deux têtes

Exemple de cas d’interprétation de rêve – La sorcière à deux têtes

Une femme a rapporté qu’elle faisait toujours le même rêve. Elle se trouvait à la barre d’un navire, essayant de garder le cap, par une journée très « ensoleillée » et tout allait bien quand, sans prévenir, elle était attaquée par une sorcière à deux têtes. La sorcière semblait vouloir à faire dévier le bateau de sa route. La femme, dans son rêve, se sentait indignée mais sentait que ses « mains étaient liées » parce qu’elle devait diriger le navire. Soudain, la sorcière sortait un couteau aiguisé et commençait à poignarder la femme qui se réveillait alors généralement en sueur.

Interprétation
Parfois sa belle-mère lui rendait visite le dimanche belle-mère lui rendait visite un dimanche (Sun-Day – le « jour ensoleillé » du rêve). En outre, ces visites étaient toujours inopinées et non invitées (les attaques dans le rêve se produisaient toujours sans prévenir). Sa belle-mère était toujours polie, mais elle avait souvent fait des remarques désobligeantes ( elle était donc plutôt bicéphale – la sorcière du rêve avait toujours deux têtes). Lors de ces visites, la belle-mère essayait de « prendre le contrôle » de ce que la femme faisait dans la maison (la sorcière dans le rêve veut prendre la direction du bateau et le faire dévier de sa route). Enfin, elle a dit qu’elle faisait ce rêve plus souvent après les visites non désirées. La première fois que la femme ci-dessus a fait ce rêve, c’était après avoir regardé un programme télévisé sur la voile.

Le symbolisme des rêves est souvent « emprunté » à des événements récents de la vie du rêveur. Donc essayer de découvrir la signification du rêve directement à partir des symboles qu’il contient est un non-sens. Les encyclopédies sur la signification des symboles des rêves se basent sur l’idée étroite qu’un seul symbole correspond à un besoin. Or chaque esprit fait ses propres correspondances entre symboles et besoins.

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

Une femme avait de terribles verrues sur toute sur la plante de ses pieds, ce qui rendait la marche difficile et douloureuse.

Métaphore : Une princesse avait hérité du royaume de son père. Mais son royaume a été attaqué par des envahisseurs. Malheureusement, la reine ne connaît rien à la guerre et devait fuir. Personne ne savait comment déloger les envahisseurs et la situation persistait jusqu’à ce que la reine consulte un sage qui lui dit ce qu’elle devait faire. Elle suivi ses instructions dans l’art de la guerre de siège et fit bloquer toutes les voies d’accès au château pour qu’aucun approvisionnement ou nourriture ne puisse passer. Finalement, les envahisseurs quittèrent le château et leur propriétaire légitime récupérait le royaume et le château. L’homme sage promit de rester à proximité au cas où elle aurait à nouveau besoin de lui.

A la fin de la semaine, les verrues n’étaient plus douloureuses. A la fin du mois, ses pieds semblaient n’avoir jamais eu de verrues. Nous pouvons voir la correspondance des modèles dans l’histoire.

Les envahisseurs ennemis (les verrues) devaient être d’être « privés » d’approvisionnement (en sang) afin de quitter « le royaume » (ses pieds). Le corps a agi selon les instructions cachées de la métaphore et l’esprit conscient n’en savait rien.

Comment un rêve peut-il être prémonitoire ?

Comment un rêve peut-il alors être prémonitoire ?

dans la suite de l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Les travaux de Joe Griffin, montrent que le rêve désactive l’excitation émotionnelle non satisfaite : le rêve évacue les émotions non résolues. L’une des conclusions les plus importantes auxquelles Joe Griffin est parvenu dans son enquête sur ce qui ce qui se passe quand nous rêvons est que le rêve joue un rôle vital dans la régulation émotionnelle, et d’une manière spécifique. Lorsque les attentes émotionnelles déclenchées pendant la journée restent insatisfaites, elles sont « évacuées » des centres émotionnels du cerveau par l’expression émotionnelle métaphorique du rêve. Le niveau d’éveil du cerveau est ainsi rétabli et il est mieux préparé à faire face aux expériences émotionnelles du lendemain. Le rêve est ainsi un exutoire des émotions non résolues.

Mais alors qu’en est-il du rêve prémonitoire ?

Le rêve est prémonitoire, c’est quand une chose rêvée arrive « pour de vrai » par après.

Prenons un rêve comme l’évacuation d’une stimulation émotionnelle inconsciente irrésolue dans la journée, après qu’un problème soit apparu dans le quotidien, même s’il n’est pas grave, une émotion peut ne pas avoir été exprimée.

Le rêve est donc une mise en scène pour résoudre une émotion non exprimée, avec des personnages, un contexte, un scénario.

Pour cela, le rêve puise dans l’immense base de donnée du subconscient, et peut faire appel à des personnages fantastiques, il ne connait pas la gravité et ne connait aucune limite. Ceci dit, il va régulièrement piocher dans ce qui nous est arrivé récemment. Cette scène est donc liée au passé car stimulée par un évènement, mais nous ne faisons pas le lien puisque ça se passe dans l’inconscient. Donc, nous allons retenir le rêve comme étant une scène inédite, nouvelle, ça peut nous amuser, nous surprendre, nous effrayer, selon le contexte.

Le lendemain par exemple, on peut agir dans la vraie vie pour résoudre l’évènement de la veille. En résolvant un problème dans la vraie vie, on va donc aussi, sans le savoir, résoudre le résultat émotionnel qui a conduit au rêve.

Cette résolution dans la vraie vie va générer sa mise en scène, ses personnages, un contexte, un scénario de la vraie vie. Ici nous ne pouvons pas puiser dans les personnages fantastiques pour ça, d’ailleurs.

Il suffit alors que certains éléments de résolution de la situation de la veille soient concordants avec des éléments de la mise en scène du rêve généré par la situation de la veille, pour déduire une relation entre le rêve et les évènements arrivés dans la réalité par après.

Je vais avoir tendance à me dire  » j’en ai rêvé, c’est arrivé !  » non ! le rêve m’a fait vivre ce que je peux vivre en résolvant l’émotion irrésolue, puis je l’ai réalisé. Il n’y a pas de prémonition, tout est dans le bon ordre.

En fait non, généralement, le lien est juste logique : ce que j’entreprends aujourd’hui est souvent lie à ce que j’ai commencé hier, je peux donc me trouver dans la situation de régler une émotion inconsciente non exprimée hier. Et souvent d’ailleurs, l’interprétation du caractère prémonitoire d’un rêve est symbolique, elle rejoint en cela le vaste monde du subconscient.

Evidemment, certains vous objecter que des rêves prémonitoires n’ont pas de lien avec une action que va réaliser la personne qui a rêvé. Des situations extérieures peuvent être collectives, ou même toucher des populations entières. Et donc générer des émotions irrésolues, menant au rêve. Ce rêve aura son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène.

Par la suite, les autorités peuvent par exemple résoudre la situation, ce qui va avoir un effet de résolution ayant généré l’émotion. Là aussi, la « réalité » aura son son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène. Je peux avoir l’impression que le rêve « est arrivé pour de vrai » et en dehors de toute action de ma part !

D’ailleurs, je remarque qu’un rêve ne peut être déclaré prémonitoire que pas après, lorsqu’il correspond à une « réalité » : que fait-on de tous les rêves qui ne correspondent pas à ce qui arrive ?

Les prémonitions sont courantes.

Dans les rêves, leur mise en scène importe peu, et les prémonitions sont en fait beaucoup plus nombreuses : chaque jour nous réglons des vides émotionnels de la veille qui ont peut-être mené à nos rêves, et nos actions ou plutôt les résultats de nos actions (parfois initiées la veille d’ailleurs) vont résoudre les émotions bloquées.

Simplement, nous ne nous souvenons pas de la majorité de nos rêves, et si c’était le cas, et si nous savions les interpréter, nous ferions probablement beaucoup plus de relations entre le passé et le présent, mais nous ne considérerions pas cela comme quelque chose de fantastique 🙂

Ce texte fait suite à l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Se connecter méthode

 

Exemple : prenez un tableau, une œuvre d’art, une sculpture, ce que vous avez sous la main.

Concentrez-vous et au bout de quelques minutes vous êtes le tableau,
faites cela régulièrement, puis la conscience dans le tableau se retourne et vous observe.

 

regardez un magnifique objet, au bout de 20 secondes tu commences à vibrer avec l’objet, puis petit à petit tu commences à vibrer à la même fréquence que l’objet, tu vas projeter ta conscience dans le tableau, dont tu es unis au tableau. Ensuite ta conscience est dans le tableau, elle se retourne et te regarde à partir du tableau et vous n’êtes plus dans votre réalité ordinaire.

Définition des Valeurs – Outil de Coaching

Lister les valeurs les plus importantes.

Prendre la première valeur et : quelle valeur est encore plus importante ?

Etablir un ordre (ce n’est pas grave si l’ordre n’est pas stable/exact)

Ensuite définir le plus exactement possible tout ce que telle valeur représente pour la personne. Chaque personne donne des significations très différentes pour les même valeurs.

Ressentir.

Quels moments de la vie passée ou imaginée correspond au ressenti ?

Ancrer la ressource.

Aligner croyances et désir

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Voir aussi l’outil de définition des valeurs

Changer de réalité Outil de Coaching la projection

Réalité non désirée

On vit ce qu’on attire : si je vis une situation que je ne veux pas, c’est que j’ai attiré une situation que je ne veux pas vivre. Je crée ce que je projette.

Réalité désirée : Pourquoi je veux cela ? et pourquoi je crois que ça peut arriver ?

Est-ce que je veux cela ? Vous ne pouvez pas avoir tout ce que vous voulez, tu peux juste avoir ce que tu es prêt à être. on ne peut pas avoir sans être : Est-ce que je suis prêt à être ce que je désire ? Ce que je désire veut aussi des choses de moi, suis-je prêt ?

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Exercice des lignes de vie :
lignes de vie sur plusieurs années – fonctionne très bien à distance
Accompagné : les feuilles avec les 5 prochaines années placées au sol,
la personne se place sur chaque feuille en se projetant dans l’année en question, puis avance.

Faire un vide mental : Se mettre dans la neutralité émotionnelle, défocaliser le regard, défocaliser les émotions, se séparer totalement du passé, des préjugés, des croyances.

Se connecter à son soi futur : Se concentrer avec l’intention d’entrer en synchronicité avec la situation future, pendant 3 minutes au moins, en passant en revue le vakog, la pyramide de Dilts, lieux, sensations, couleurs, sons, température, ambiance, détails de la vie.

Ce moi de dans un an va écrire / décrire trois scenarios, trois réalités projetées de ce qui s’est passé depuis un an :
– version négative
– version positive
– version intermédiaire

Ces trois versions permettent :
1 – de définir les résistances,
Observer la situation que je vis, sans jugement.
Quelle partie de moi est en train de vivre la réalité non désirée ?
Puis ressentir quelles sont les émotions que j’ai
ce qu’il faut mettre en place,
2 – Re-préciser son choix, mettre en place les comportements correspondants

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