Catégorie : communication non violente (Page 2 of 2)

Chaque jour …

Chaque jour …

Chaque jour, avant de vouloir être proche des autres, je me demande « est-ce que je suis proche de moi ?  »

Comment je me sens ? suis-je « ensemble » avec moi ? en cohérence ? en cohésion ? en harmonie ? aligné ?

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Pratique suggérée :

Faites une liste de deux ou trois comportements ou habitudes envers des personnes ou des situations que vous aimeriez changer.

Notez-les (vous pourrez en ajouter d’autres à votre liste plus tard). Par exemple, l’impatience, les réactions hâtives, la frustration, l’irritation ou tout autre comportement indésirable. Il est important de ne pas vous juger pendant que vous faites cela.

Ensuite, mettez-vous à l’aise dans votre cœur et observez et honorez votre désir de changer.

Ensuite, faites un auto-dialogue sincère et honnête sur la façon de gérer le ou les éléments que vous avez énumérés. Le dialogue avec soi-même le plus significatif se produit lorsque le cœur – votre véritable moi – parle à l’esprit. (Si l’indécision ou le doute de soi commencent à faire surface, sachez que c’est seulement votre esprit qui parle. Réalisez simplement qu’il s’agit de votre ancienne façon de penser, puis reconnectez-vous à votre cœur et engagez-vous à nouveau dans le changement que vous désirez vraiment).

Revoyez les étapes de l’Apaisement intérieur et agissez en fonction de vos idées et de vos intentions.

 

Résumé Mooji sur les désaccords dans les relations

Le désaccord ce n’est pas important. Ne pas la regarder de haut pour autant. Rester vide. Trouver dans Ce vide un espace. Ne pas utiliser de techniques ou de tactique. C’est parfois inconfortable, mais c’est le chemin. Parfois on prend un pain dans la figure, mais il y aura une réponse, mais pas une réponse du passé (ça veut dire ne pas vouloir absolument que tout soit beau comme au passé), être vide et puis laisser les mots sortir naturellement. Les êtres éveillés n’ont pas les réponses, car ils n’ont pas besoin d’avoir les réponses. Comme l’eau qui ne sait pas où Elle va couler, elle trouve son chemin et puis se nivelle. Et accepter d’être perdu, car c’est comme ça qu’on s’ouvre aux solutions, et non pas s’obliger à trouver. Du moment qu’on fait ce qui est juste selon le cœur on ne peut pas faire de tort à d’autre.

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente les 4 éléments de la CNV

Les 4 critères de la demande

Concrète : « est-ce que tu veux bien mettre la table ? ». Ne pas rester vague du genre « est-ce que tu peux m’aider ? »

Positif  » pourrais-tu chanter dans le jardin ? »  et non pas « arrête de faire du bruit »

Réaliste « je vais méditer chaque matin 5 minutes » et non pas « à partir de maintenant je vais méditer 2 heures par jour »

Négociable : Laisser à l’autre le choix, s’ouvrir à l’échec.

 

+ à coeur ouvert : « je ressens »

+ pas affirmatif : « je peux me tromper mais je ressens »

+ pas impératif : « je souhaite propoper » et non pas « je veux que tu fasses »

Thomas d’Ansembourg jour 1 video 6 et 7 La Grammaire de la CNV

les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.

On a intérêt à ne pas juger.

Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ?  »

Au lieu de juger, ressentir.

Exercice 1 :différencier subjectif et objectif

Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.

a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.

b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.

Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.

Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie

 

Exercice 2 : les sentiments

a – Dans la situation jugée,  JE ME SENS … : nommer

b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer

(  » on  » = personne !    faire dire   » je  » )

Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.

 

Exercice 3 : les besoins

quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.

 

 

Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite

Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien

Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.

Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver  un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 4 le fil rouge de l’existence

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L’enfant est dans l’instant présent : il n’a pas de cloisonnement.

L’enfant est à la fois celui qui court derrière le papillon, le papillon, l’herbe haute, le soleil, etc…

L’enfant est à la fois l’enfant qui fait un calin à son parent, et son parent et le canapé, et le tapis et…

L’adulte moderne fonctionne dans ses enfer-me-ment : routines, fonctionnements compensatoires, systèmes de pensée, habitudes qui ne sont pas questionnés par confort, on n’a pas besoin, et si ça ne va pas on prend des cachets.  La vie est ennuyeuse.

Nous avons besoin de déchirer le carton, de libérer le danseur, de nous réaligner sur la musique intérieure. De se réaligner sur le fil rouge de la vie.

Tension entre vie rêvée et vie vécue : s’engouffrent dans cet espace les mécanismes compensatoires.

Dans une société de consommation, c’est facile de compenser le mal-être, et on a assez de confort pour ne pas se remettre vraiment en question soi, mais on remet en question son environnement. Alcool, anxiolytiques, accro au travail … et toutes les distractions. Dans notre société, nous avons plus appris à compenser notre mal-être qu’à nourrir notre bien-être. La société de consommation et des loisirs.

C’est quand je vis vraiment la vie que j’aime que je suis joyeux et contagieux de ma joie

Observer nos enfer-me-ments : s’observer, ce qui se passe en moi : corps, émotions, spirituel.

 

 

 

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 3 le radar intérieur

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Avant de vouloir être proche des autres, est-ce que je suis proche de moi ? Amour, bienveillance, compassion.

Base : les besoins sont nourris ou pas nourris

Le radar intérieur

se demander ce qui se passe en soi : comment je me sens … en nommant les choses

  • comment je me sens lorsque je m’écoute : écouter ce qui est vivant en moi : quels besoins sont nourris, quels besoins ne sont pas nourris ? Quelles parties de moi sont en besoin ? (se sentir vivant, reconnu) lister puis se demander
    • émotions : cette liste génère quelles émotions ?
    • corps : cette liste génère quelles sensations corporelles ?
    • mental : celle liste génère quel commentaire spirituel ?
  • l’expression de soi : comment je me sens lorsque je nomme ce que je sens ? ça fait quoi que de nommer les ressentis et les besoins.
  • comment je me sens lorsque je suis écouté. ça fait quoi que d’être écouté ? Nourrit les besoins de lien, d’authenticité, de profondeur, de respect. Ni conseil ni solution. Quand on ne trouve pas d’écoute chez les proches, on va acheter l’écoute chez des thérapeutes.
  • comment je me sens lorsque j’écoute l’autre. ca me fait quoi à moi quand j’écoute l’autre ? ecouter l’autre dans son ressenti

« La Reconnaissance : la clé pour comprendre le fonctionnement du monde, à la fois intérieur et extérieur. »
Besoins : voir pyramide de Maslow

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 2

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Écoute intérieure & auto-empathie

Jour 1 partie 3 Minute 6 et suivantes

Première question : comment je vais ? Si la réponse est basique « ça va » ou alors « ça va pas trop » etc… on n’a aucune chance d’obtenir le discernement nécessaire pour réorienter sa vie.  Dans ce cas on reste dans un état de  » jusque-là ça va, jusque-là ça va »

Reposer la question « comment ça va ? » avec Deux clés de discernement :

Le ressenti : pour cela, commencer par sortir de l’obsession que tout doit et peut être résolu par le rationnel, par l’intelligence logico-mathématique. alors souvent on dit « je sens rien ». Non, c’est qu’on ne sent pas qu’on sent. L’émotion = emovere, mouvoir, si l’émotion m’emporte, elle m’emporte. La colère ou la tristesse, les émotions racontent des histoires sur soi. Aucune émotion n’est là par hasard.

– aucune émotion et sentiment ne sont ni positifs ni négatifs, on accueille toutes les émotions. Les émotions sont agréables ou désagréables. Les émotions agréables sont celles qui renseignent des besoins nourris. Les émotions désagréables dénotent des besoins en souffrance.

Image des lumières de tableau de bord : si je les ignore, il va m’arriver des bricoles à un moment donné.
Dans la vie on a des lumières qui clignotent :  » tu es triste « ,  » tu en as ras le bol « , « tu n’en peux plus » : si je mets ces warning sous le tapis,  » pas du tout, j’assure  » un jour c’est le burn out ou la maladie.

Pas de discernement + pas d’écoute de ce qui se passe en moi = pas de capacité d’action pour transformer.

Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente ep 1

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Thomas d’Ansembourg les bases de la communication non-violente

Introduction

Jour 1 partie 1 Minute 9.

Il ne viendrai à l’idée d’aucun musicien d’entrer en scène sans deux choses : qu’il ait bien son instrument, et que celui-ci soit accordé. Notre instrument, c’est notre corps ! Si on veut avoir de l’écoute pour les autres, il faut comencer par s’écouter soi. On ne peut être en bonne communication avec l’extérieur, les autres, si on n’est pas en bonne communication avec soi. Il faut commencer par apprendre la lenteur. Laisser descendre le seau du discernement dans le puits de la connaissance profonde. Faire de la méditation scan corporel.

 

 

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