Auteur/autrice : Eric LANGERMANN (Page 1 of 95)

Process Coaching : La journée idéale

Décrire sa journée idéale : ouvrir le champ du possible

 

Visualiser une journée idéale permet de transformer les objectifs en une image concrète. Et aide à identifier les éléments clés du bien-être pour prendre des décisions alignées avec les véritables aspirations de la personne.

Heure par heure listez en détail ce que vous aimeriez faire. Soyez aussi précis que possible. Où êtes-vous ? Avec qui ? Quelles activités faites-vous ? Commencez par imaginer votre matinée idéale. Est-ce que vous vous levez tôt ou tard ? Prenez-vous du temps pour méditer, lire ou faire du sport ? Notez aussi où vous êtes, en ville, à la campagne, près de la mer, avec qui ? et ainsi de suite pour toute la journée. Quelle est votre activité principale ? Travaillez-vous sur un projet passionnant ? Décrivez aussi votre environnement de travail idéal. Est-ce un bureau à domicile, un espace de coworking ou bien en extérieur ? Enfin, imaginez votre soirée.

Outil de Coaching : Phase divergence ou convergence

Nous oscillons constamment entre des phases de divergence et des phases de convergence. La divergence, c’est une phase d’exploration. C’est quand vous sentez le besoin de tester de nouvelles choses, de multiplier les expériences. À l’inverse, la convergence, c’est une phase où l’on se recentre sur ce qui est important. C’est quand vous sentez le besoin de plus de stabilité, de vous engager dans une voie spécifique.

Exercice pour aider à déterminer dans quelle phase vous vous trouvez :  divisez une feuille en deux colonnes. Dans la colonne de gauche, notez toutes les activités, projets et engagements que vous avez actuellement. Dans celle de droite, pour chaque élément de la première colonne, indiquez si cela vous fait vous sentir plus ouvert et explorateur, donc divergence, ou plus centré et stable, convergence.

Une fois que vous aurez complété vos colonnes, prenez un moment pour analyser vos résultats. Qu’est-ce que vos activités disent de vous ? Vous dirigent-elles vers une phase plus exploratoire ou vers plus de focus ? Une fois que vous aurez une meilleure idée de votre phase de vie actuelle, réfléchissez à comment adapter vos choix en conséquence.

Si vous êtes en divergence, privilégiez des lieux de vie qui offrent des opportunités, des communautés dynamiques et des environnements stimulants ou bien partez en voyage. Si à l’inverse, vous êtes en convergence, pensez à ces lieux qui favorisent la stabilité, la proximité avec vos proches et un cadre de vie serein.

Les gens connus et toi

Un jour j’ai rencontré bidule chouette. Ouah quel homme ! Il dégage un tel charisme ! Ses livres sont connus dans le monde entier, j’aime ses valeurs, sa façon de les exprimer. Quelle oeuvre d’art qu’est sa vie ! Je suis admirative, vraiment.

J’ai aussi connu Machin Richard, un autre grand homme, dans un style totalement différent, évidemment c’est un artiste. Mais quel artiste ! Il est si doué !

On peut continuer longtemps, comme ça, à faire des listes et des listes de gens connus que nous admirons, que nous portons aux nues ! Chaque-un(e) d’entre-nous aura sa propre liste, en fonction de ses valeurs, de ses goûts, de son parcours de vie.

Et ? et alors ? Ce sont seulement des gens, comme toi. La différence, c’est que leur art à eux est mis sous les projecteurs. Lesquels ? Il y a mille types de projecteurs différents ! Ceux des médias, ceux des arts, ceux des sciences dures, ceux des sciences dites molles, etc… etc…

Est-ce que tel domaine d’intérêt a plus de valeur qu’un autre ? Non, c’est TON intérêt qui fait la différence.

Est-ce que telle « personnalité » a plus de valeur qu’une autre ? Non, c’est TON intérêt qui fait la différence. Et ce n’est pas parce que d’autres partagent ton admiration que la personne a plus de valeur, elle a seulement plus de lumière braquée sur elle.

Est-ce que le fait d’avoir fait de grandes oeuvres d’art, de grands textes, de grandes « réalisations » fait d’une personne quelqu’un qui est fondamentalement meilleur(e) que toi ?

Je ne crois pas. Primo, combien de « grands » personnages ne sont-ils pas tombés de disgrâce après des révélations scandaleuses ? Est-ce que le fait que tel personnage public soit tombé en disgrâce fait de son oeuvre une non-oeuvre ? Non !

Il ne faut pas confondre les personnages et les personnes. Les humains les plus vils ont parfois produit des oeuvres d’art parmi les plus magnifiques. Ces personnes n’ont pas succédé aux personnages. Pour autant, je ne peux pas leur en vouloir à postériori, car c’est bien moi qui avais porté aux nues cette personne, au lieu de simplement admirer l’oeuvre produite.

Et on pourrait aussi parler de ces autres personnes qui ont produit des merveilles dans l’anonymat, dont le personnage a été révéré et admiré après leur mort ! Ce n’est donc pas la personne qu’on admire, mais le personnage !

Derrière chaque personnage, il y a une personne. Et c’est la personne qui est comme tout le monde, fragile, belle, forte, gentille ou oui, parfois vile.

Et toi ? Pourquoi je ne pourrais pas admirer ton personnage ? Parce que tu n’en as pas ? Mais est-ce si grave ? Est-ce que tu auras une belle vie en étant un personnage, ou bien en étant une personne heureuse, en étant toi-m’aime, aimée et aimante ? A quoi te servirait d’être seulement un personnage ?

Et toi ? Pourquoi ne serais-tu pas digne d’admiration pour la personne que tu es ? Avec toutes tes forces et tes fragilités, avec tout ton passé et tes rêves, avec toutes les facettes de ta personne, y compris les plus sombres ?

Quand tu vois les qualités de personnages, ce ne sont pas celles les personnes ! Evidemment qu’on ne peut être que dans un constat  » il/elle a quelque chose de plus » quand on confond personne et personnage. Et nourrir des frustrations, et des « je n’ai pas autant de valeur qu’eux/elles » et autres dévalorisations. Et pendant ce temps, tu passes ton temps et ton énergie à ne pas te développer.

Sois toi ! Ce n’est pas égoïste d’être soi ! Au contraire, marque de ta patte à toi le monde tel que tu l’imagines, tel que tu le rêves ! Valorise tes valeurs, tes rêves, découvre tes talents naturels, fais le point sur tes savoir-faire et savoir-être, et pars conquérir le monde, ton monde à toi. Vis non plus dans le monde des autres, mais dans le tien !

Tu as déjà un monde à toi ! Unique, singulier, dont tes croyances forment le quotidien jour après jour ! Tu crois que tu ne sais rien faire ? Eh bien, c’est ce qui arrive, puisque tu ne fais rien ! Tu crois que tu n’as aucune valeur ? Puisque tu ne connais même pas ta propre valeur, comment voudrais-tu y croire ? Tu crois que tu ne sais rien faire ? Evidemment, puisque tu n’y a jamais réfléchi. etc…etc… juger, te juger est tellement plus facile, en tournant le regard vers ceux qui « réussissent », tellement plus facile que de vivre !

Mais au fond de toi, tu as envie de vivre ! Ton coeur te le dit, il te le crie même, « aime-moi ! », il a envie d’aimer et d’être aimé !

Vivre, ce n’est pas un travail, c’est une joie de tous les instants, et arrive même le moment où l’on n’a plus peur des épreuves de la vie.

Tu es vie, alors vis !

Le sens de la méditation

Le sens de la méditation

« Méditation » (gom en langue tibétaine) provient étymologiquement du mot khom dans la même langue, qui signifie « se familiariser ». Tous les enseignements du Bouddha sont destinés à la méditation, qui est elle-même de deux catégories : de concentration et d’analyse.

La méditation de concentration vise la focalisation de l’esprit, qui elle-même permet la demeure stable et claire sur un objet de méditation choisi. Sa pratique permet l’atteinte du calme mental, qui est la demeure paisible de l’esprit combinée à une totale maniabilité de l’esprit et à un état de grand bien-être physique et mental.

Mes exemples : concentration de l’attention sur la respiration, ou sur le flux inspir/expir de la respiration « j’inspire la lumière de l’énergie, j’expire ce qui doit partir / j’inspire l’amour (pour moi), j’expire l’amour (pour les autres), j’inspire le long de la colonne vertébrale vers le bas/vers le haut ou inversement, j’inspire / expir par le glande pinéale …

La méditation analytique, quant à elle, implique un mouvement de l’esprit, par l’utilisation de différents raisonnements logiques permettant d’éliminer les fausses perceptions et compréhensions qui sont les racines des perturbations mentales et de la souffrance. Elle fait croître la compréhension ou une vision supérieure.

Ex : méditer sur l’impermanence, en explorer les différentes facettes. Selon moi c’est un exercice assez philosophique finalement.

Croyances limitantes et erronées PSYCH-K

Croyances = Perceptions

Tester la croyance limitante ou erronée – par TRM

Demander l’autorisation de la changer – par TRMP

EQULIBRATION : trouver l’endroit de paix intérieure intense et lumineuse, puis croiser jambes et bras, répéter la nouvelle croyance voulue (je veux), à raison de 2 minutes minimum de chaque côté.

Tester la nouvelle croyance – par TRM

 

 

Si mes mots…

Si mes mots ont pu te blesser, je te demande pardon. Si tu retiens tes besoins, exprime-les avec des « je ». Et s’il te plaît ne me sers pas la colère des « tu », car elle n’est pas toi, et d’ailleurs elle te sert à quoi ?

Si nous exprimons nos ressentis, ok, c’est important. Mais attention à ne pas verser sur l’autre nos émotions. La colère est toujours mauvaise conseillère, elle nous fait généraliser, déformer, éluder.

Je souhaite que nous allions plus profondément que la surface de nos émotions. Car nous ne sommes pas nos émotions, nous ne sommes pas des sensibilités d’êtres, nous sommes des êtres sensibles.

Allons plus profondément que les émotions, pour nous comprendre l’un l’autre, pour nous ouvrir à l’autre.

Qu’y a-t-il derrière les émotions ? Un besoin d’amour, un besoin d’affection, un besoin d’être entendus ? Alors écoutons-nous !

Love is the only answer, hate is the root of cancer, then

je suis le vent

je suis dans le vent, je suis dans ce souffle léger, je suis perdu dans le souffle qui remonte sur ta peau, sur ton bras, et je passe ton épaule comme le vent léger passe un col, et je disparais, éphémère, inconsistant … je suis parti …

… sans paroles, je ne sais pas parler, alors mon langage est ce que tu ressens, toi, et tu ressens le mot quand je suis déjà parti, quand tu remarques seulement que quelque chose de moi était là, avant …

… je suis dans le vent, un peu frais et tout léger, sans direction, sans autre intention que cette pseudo-caresse, et ce n’est même pas caresse, c’est seulement un murmure, un expir, un soupir, un silence juste un peu différent, plus blanc, plus silencieux que le silence …

… je suis dans le vent, et je te murmure le mot, toujours le même mot, que tu ne peux entendre, trop occupée que tu es par toutes les pensées, toutes les sensations, et toutes tes chères vérités, tes désirs et tes aversions, qui font tant de bruit que tu n’entends plus rien, même pas toi …

… je suis dans le vent, et je ne suis plus rien quand je te répète le mot, je me désincarne dans le mot, toujours le même et le seul mot qui vaille,  celui qui n’a pas besoin d’être prononcé, dont le souffle le plus délicat emporte tout ce qui est vivant, et qui m’empotera dans la non-existence …

… et je me fonds dans le vent, de l’inconsistante vibration de l’air, rien n’est plus matière, et je disparais … je le remercie de m’avoir transporté jusqu’à toi …

…  » ne te rendors pas, car la brise de l’aube te murmure des secrets « , disait Rumi

Un jour particulier pour toi, un autre jour

À toi qui vis aujourd’hui un jour particulier.Ppendant que tant de gens vivent un jour anodin, qui se perd dans les limbes de l’oubli d’exister.

Pourtant, le même « aujourd’hui » résonne différemment, pour toi. Il y a ce début de journée et, déjà, en toi, ces émotions sous forme lancinante d’ambiance interne dominée par l’appréhension.

Plus tard sera plus tard, avec une transformation radicale de cette ambiance en une autre. Qui sera. Qui sera soit comme ci, soit comme ça. Et toute ta projection de vie est suspendue à ce qui va t’être annoncé ce jour particulier.

Tu dois, comme tous, marcher sur ton chemin à toi, sans t’occuper des autres, de ce qu’ils disent, de ce qu’ils pensent, et tracer ta route, pour laisser à la planète ton sillon, quels que soient les états de la matière.

Car c’est la matière qui a déconné, c’est le corps qui se rebelle, ce sont des cellules malheureuses qui se sont mises à être méchantes.

Tu dois être libre des états de la matière, et tu n’es pas ces cellules qui pourtant sont le véhicule de celle qui est vraiment toi : cette lumière universelle qui t’a investie à ta naissance.

Tu dois maintenant être totalement libre de laisser ton message à la postérité, de faire avancer le présent pour un avenir meilleur.

Celle qui laisse déjà son sillon à la planète, c’est celle en toi qui n’est pas propriétaire de ces cellules qu’on appelle malignes. Ces cellules qui sont malheureuses et qui se rebellent en faisant du mal à son hôte.

Ces cellules, tu les laisses aller, tu les libères et leur dit de te laisser maintenant, car tu n’en as plus besoin, tu es là et tu mérites de te sentir la plus libre pour laisser ton message d’amour à la planète, et aux animaux, et aux humains.

Cet être de lumière a investi une matière, ce corps, pour le mener là où il doit aller. La souffrance est là, liée à la matière, et la lumière est ton vrai toi. C’est elle qui te fait être lumineuse, brillante, qui te donne ton énergie, qui te rend si vivante.

Marche, et marche en paix et en confiance vers ta propre lumière, ma belle amie, car tu ES la lumière.

Nous sommes matières et vibration

Par nos corps, nous sommes matières. Individuelles. Donc, uniques, singuliers, distingués. Par et pour la matière, nous nous agitons tous les jours. Viennent les sensations, les significations de ces sens, les émotions qui nous traversent, les pensées. Indispensable pour que ce que je suis puisse survivre, car nous avons besoin de tous ces agrégats pour survivre, et tout simplement pour évoluer dans un environnement qui est le nôtre, fait d’autres personnes, fait de dangers et de plaisirs, fait de toute cette belle matière à modeler, à inventer, à aimer, à voyager, à rêver… Et tout cela n’est pas vraiment soi, car tout cela est éphémère, ponctuel, provisoire, impermanent. Nous ne sommes pas ce que le bouddhisme dénomme les agrégats, puisque rien de tout cela n’est permanent. Rien de tout cela n’a existé de la même manière il y a quelques secondes. Donc, si j’étais mes pensées, mes sensations, mon corps, je serai un autre moi à chaque seconde ? non, je suis moi, je ne suis pas ce « personne » ! Donc, d’une part, je suis constitué de matière, et des agrégats qui l’accompagnent.

Qu’est-ce qui est permanent ? Cette sensation du moi, ce qui m’accompagne depuis tout petit, la seule certitude que j’ai, c’est d’exister : être ! Oui, je suis un être, et un être vivant ! C’est cela, le souffle de vie, le Qi, ce qui me rend vivant, ce qui fait que les agrégats puissent se mouvoir à chaque instant. Comme une lampe et l’électricité, sans laquelle rien n’existe. Par conséquent, je suis également cette vibration qui, comme l’électricité, fait briller la lampe-matière. Et comme l’électricité, comme la lumière qui brille, le « je suis » profond n’est pas matériel. C’est un phénomène vibratoire. De ce « je suis », le « ‘je » serai matière, le « suis » (être) serait ondulatoire. Le phénomène ondulatoire, comme la lumière, est intègre, indépendant, unique, indivisible, en mouvement permanent. Le mouvement perpétuel de quoi ? D’une unité unique, universelle, qui n’est pas divisée en moi, mais qui investit la matière en moi, qui me traverse à chaque instant pour rendre vivants les agrégats, pour leur donner vie, à chaque ins-temps. Comme l’électricité d’une lampe qui traverse le filament, oui, et sans pour autant être la lampe !

Ce qui rend vivant tout organisme, c’est la source. Généralement, on l’appelle énergie, bien qu’elle ne réponde par à la définition de l’énergie, c’est la source de l’énergie, qui est seulement une transformation. D’ailleurs, la science dit que l’énergie ne se perd jamais, ce n’est qu’un transfert d’un état vers un autre.

Cette source universelle, qui existe par elle-même, c’est ça le vrai moi, ce qui permet d’être ce que je suis. Et cette source universelle, unique, ne m’appartient pas, c’est ce qui me rend vivant et qui n’est pas, qui ne pourrait pas être un quelconque  « moi-je ».

C’est la même source qui te rend vivante, qui rend vivant tout ce qui est, elle n’a pas besoin de cellules, d’organisme à rendre vivant, elle est !

Elle est partout, pas seulement dans ce qui est vivant. Elle est dans ce qui est vivant puisqu’elle rend vivant tout être vivant, mais elle est partout ailleurs aussi, dans l’immensité de ce qui n’est pas agité par la matière.

Est-elle la vraie nature de la lumière, ce phénomène ondulatoire électromagnétique autonome ? Non, l’ondulation qui est la nature de la lumière n’a pas besoin de support, elle est autonome !

 

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