NATURE ET DEPRESSION

Une étude publiée dans un numéro de 2015 des Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America a révélé que le fait de se promener dans la nature (mais pas dans un environnement urbain) réduit la rumination et l’activité dans une partie du cerveau liée à un risque accru de dépression. En plus de court-circuiter la boucle des pensées négatives, « les émotions positives engendrées par la distraction peuvent dévier votre pensée, vous permettant d’adopter une perspective plus objective et plus positive sur vos problèmes », explique Lyubomirsky.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4507237/