Une idée comme ça : les humains sont devenus humains avec la mécanisation de leurs cœurs, à savoir le progrès. Quand ils étaient encore dépendants de la nature, les humains formaient des communautés. Aujourd’hui une communauté est un groupe formé autour d’un dogme, d’une idéologie. Non, ces communautés étaient juste humaines, car à la fois nécessaires et proches spirituellement, affectivement. L »environnement développe l’expression des gènes. Tant qu’ils étaient dépendants de la nature, les humains formaient des groupes soudés, nomades à semi-nomades, en harmonie avec la nature sans se poser la question puisque c »était naturel, il n’y avait pas d’autre possibilités. Ils ne souffraient pas de leurs conditions de vie, car ils n’en connaissaient pas d’autre. Ils avaient à leur crédit le partage, la solidarité naturelle et pas seulement dans les moments difficiles. Ils avaient le partage profond de leur relation à l’au-delà. Ils étaient LIBRES !

Le progrès a mécanisé le cœur des humains et les a rendus prisonniers, ils ont développé les possessions, l’avoir, la séparation avec la nature, avec leur propre nature humaine. Ils se sont perdus dans leurs rôles et ont inventé la responsabilité, qui est devenue nécessaire à force de s’éloigner des conditions de vie harmonie avec la nature, donc de leurs dépendances avec la nature dont ils se sont soustraits pour créer des problèmes de la séparation.