L’environnement dans lequel on se met détermine l’expression de ma biologie interne.
L’environnement extérieur, ce n’est pas l’environnement subi, mais c’est l’environnement que je choisis dans ce qui est.

Par exemple, au petit matin, les oiseaux qui chantent, c’est ce qui est. Je peux m’en agacer et râler contre le fait que je me réveille, ou alors je peux accueillir et m’en réjouir.

Dans le premier cas, je génère de la chimie négative, c’est à dire néfaste pour moi. Les oiseaux, eux, continueront de chanter. Et à tout ceux et ce qui se trouve autour de moi, j’enverrai des signaux négatifs, agressifs, ou alors ceux du refus, de l’isolement. Rien de bon ne peut en sortir.

Dans le second cas, je génère de la chimie positive, positive pour moi. Alors, j’enverrai autour de moi ma bonne humeur, je capterai les chants d’oiseaux en moi pour le traduire en chant du réveil joyeux, celui de la vie, de l’action, d’une journée productive qui appartient à ceux qui se lèvent tôt, et je récolterai en retour d’autant plus de sourires, de joie, d’optimisme provoqué par mon optimisme.

Si j’applique petit à petit ce principe à toute ma vie, c’est toute ma vie qui va s’améliorer, et je vais générer le bonheur.

Le bonheur est un choix, c’est le résultat d’une attention constante, qui devient petit à petit naturelle, et sans effort le bonheur vient tout seul.

Le bonheur est naturel, c’est notre éducation, la société, tous nos conditionnements qui nous en ont éloigné, mais en retournant à la source, par ce chemin simple, le bonheur est le chemin.

13 Mars 2021