Mois : juin 2024 (Page 1 of 2)

Les 5 Elements en Médecine Chinoise

Les 5 Elements en Médecine Chinoise

 

Le massage tuina est une des 5 branches de la médecine chinoise. Il s’appuie donc sur les principes de celle-ci.

Les « éléments » de la médecine chinoise peuvent être plutôt considérés comme des « mouvements ». Les 5 éléments correspondent aux différents aspects de la Vie, et sont profondément ancrés dans les mouvements naturels.

Ainsi, on retrouve les saisons, les mouvements de l’énergie, les saveurs, les odeurs, les sons, les aspects spirituels, les rêves, les émotions, les couleurs, les nombres (numérologie), etc …

Ce qu’il y a de remarquable, ce sont les liens entre les éléments, qui forment un tout : la Vie, la nature, les êtres vivants. On retrouve tous les mouvements des 5 éléments dans la nature, tout autant qu’on retrouve leurs liens, leurs luttes, leurs déséquilibres et leurs pouvoir d’équilibrage.

Les 5 mouvements ne sont donc pas des éléments constitutifs de la Vie, mais ils correspondent aux différents mouvements de la Vie, le Qi, le souffle, la force vitale.

Par exemple, quand on dit que « l’élément bois engendre l’élément feu », on pense au fait que le bois nourrit le feu, quand il brûle. Ce qui provoque entre autres l’odeur « rance » liée à l’élément feu. Mais on dit aussi que (l’élément) eau contrôle (l’élément) feu, puisque l’eau éteint le feu. De même, la (l’élément) terre contrôle l’eau, dans le sens où l’on peut ériger des digues avec la terre pour canaliser l’eau. Et encore un exemple « l’eau engendre le bois » dans le sens où les végétaux ont besoin d’eau pour croitre. Et ainsi de suite, on peut trouver de multiples applications de ces 5 mouvements dans la nature, mais aussi dans notre corps, dans notre spiritualité aussi.

Peut-être qu’une correspondance simple à saisir sera celle des saisons : le bois correspond à la naissance, celle du printemps, quand les plantes émergent après l’hiver. Sa couleur est logiquement le vert. C’est la première saison. Vient ensuite l’été, qui est la saison de la croissance, le feu, sa couleur est le rouge. L’automne symbolise la récolte, et l’hiver la conservation.

On peut continuer ainsi très longtemps à commenter les symbolismes et les inte-relations.

O notera en particulier le sens des 5 mouvements : descendant, montant, en contraction, en expansion, et celui plus neutre recentrant. Cet aspect sera important en pratique clinique de médecine chinoise. Si les mouvements sont déséquilibrés, cela se traduit au travers de ce qu’on appelerait des maladies. Et par exemple, si un mouvement est excessif, on pourra le calmer, ou s’il est trop faible, on pourra le favoriser. On choisira ainsi une stratégie de traitement qui vise non seulement l’énergie en question mais aussi l’énergie qui va aider au traitement. Par exemple, un mouvement qui devrait être montant, celui du coeur, peut être excessif. On peut le calmer et lui adjoindre le mouvement du contrôle, celui de l’eau, donc de l’organe Rein. Cela se fait au travers du massage tuina, des points d’acupression, de préférence accompagné par une nourriture adaptée.

On peut aller très loin dans cette réflexion, et il faut plusieurs vies pour maitriser toutes les implications, qui sont pourtant toutes logiques. Et quand on se perd un peu, il suffit de se poser la question « comment ça se passe dans la nature » pour retomber sur ses pieds.

 

 

MTC Les points Shu du dos et points Mu antérieurs

Shu signifie « transporter »

Les 12 points Shu du dos correspondent aux 12 Zangfu.

Les points Shu transportent le Qi à leurs organes respectifs.

Dans les maladies Yin, il faut traiter le Yang  » : En pratique clinique, les points Shu du dos sont utilisés pour les tableaux des organes Zang (Yin), tandis que les points Mu sont préférés pour traiter les entrailles Fu (Yang)

Les points Mu et Shu du dos sont des outils de bilan, car leur sensibilité reflète les affections de leurs ZangFu respectifs.

Les points Shu et Mu sont souvent associés dans le traitement, à savoir :

Poumon : V13 Feishu + P1 Zhongfu
Maitre Coeur : V14 + Ren17
Coeur : V15 + Ren14
Foie : V18 + F14
VB : V19+VB24
Rate : V20 + F13
Estomac : V21 + Ren12
TR : V22 + Ren5
Rein : V23 + VB25
GI : V25+E25
IG : V27+Ren4
V : V28+Ren3

 

Cancer par Avicenna – Diolosa

PBM de Yang Ming – GI + E qui génère de l’Humidité (toxique) se transforme en TAN (concrétion formant des boules), elle provient de la stagnation du système digestif.

Provient des émotions et de l’alimentation et des modes de vie et des modes d’alimentation. Qui provoque de l’humidité, un milieu pour les champignons. Théorie : ce serait un problème de Candida Albicans.

Cela provoque une chaleur-humidité.

 

Tonifier le Yuang Qi et le Jing, et le PO et le Poumon

Disperser la Stagnation du Qi, la Stase de Sang, Faire circuler le Sang, clarifier la Chaleur du Sang, Clarifier la Chaleur Toxique (Re Du) et dégager le Glaire Feu Toxique, Transformer l’humidité et le Glaire,
Ramolir les concrétions, les faire dissoudre  et accompagner la douleur
Tonifier les Piliers : Qi, Sang, Yin et Yang
Calmer les 5 Shen

Manger Chaud, Cuit et de saveur Douce
Carotte, PDT, Patate douce, courges,
un peu de viande : poulet et poisson
aromatiques

La Chaleur Vide favorise les métastases

 

Effets secondaires :µ
Opération : Blesse le Qi et le Sang, favorise la stagnation de Sang et la Stase de Sang
Chimio : Favorise l’Humidité allant à Humidité Chaleur Toxique, vide de Yin et Chaleur Vide
Radiothérapie : La Chaleur toxique agresse le corps, blesse les liquides organiques, et libère de lza chaleur towique dans le sang, avec vide de Yin et Chaleur Vide
Hormonothérapie : Blesse le Yin et génère du Vide de Yin, de la Chaleur Vide, Ménopause anticipée
Cortisone : Créer de la Chaleur du Sang et du Vide de Yin et de la Chaleur Vide

 

Tristesse sociale

Mais pourquoi ? Pourquoi se plaindre même de la météo ? Sur laquelle nous n’avons aucune prise (et heureusement !). Se plaindre des crottes d’oiseaux, maudire le voisin qui n’a pas la bonne couleur de peau, gueuler sur un automobiliste qui se comporte mal, rapporter à son boss en déformant allègrement les propos d’un collègue qu’on n’aime pas …

Se tirer dans les pattes, dans le dos, et jusqu’au plus haut de l’Etat faire exprès de foutre la m…. dans le pays entier par pur égocentrisme, par calcul, et une fois de plus mettre en danger mais n’en avoir rien à faire des gens, le personnage le plus puissant du pays donne l’exemple, et les gens suivent, en définitive.

Que sont devenus les mots coopération, aide, désintéressement, bienveillance, reliance, solidarité ?

L’art de vivre est donc de se tirer dans les pattes en continuant à pourrir la planète et tous ses habitants, c’est ce qui guide l’homo sapiens. C’est intelligent, vraiment ?

Ce que je n’arrive pas à saisir, c’est que tout le monde semble penser que ce comportement généralisé pourrait être bénéfique ! Que c’est comme ça qu’on peut être heureux.

C’est la recette du confort ? Agresser et rejeter et se protéger par l’agression, tout en étant suffisamment hypocrite pour rester en connexion avec d’autres qui sont tout aussi hypocrites, tout le monde tirant dans le dos de tout le monde.

J’ai le sum, je suis deg, cette société violente et … méchante ne mène à rien de bon, collectivement on ne peut rien espérer d’épanouissant, de positif, de mélioratif, de grandissant en cultivant la fermeture, l’envie, le déni, la jalousie, le rejet, le calcul, le pouvoir, l’égocentrisme, les idéologies.

Au lieu de ça, nous pourrions commencer par manifester en silence, juste en silence avec une bougie à la main, dans les rues chaque Lundi soir : marches blanches pour la paix, pour une société ouverte, tolérante, mais aussi plus juste où les lois font les hommes et pas l’inverse, le respect de tous, la rencontre, de l’argent pour la rencontre sociale, pour ce qui épanouit tout le monde, qui grandit, qui améliore, une société qui n’est pas dirigée par le fric mais par des valeurs réssucitées, une société où la punition est remplacée par l’épanouissement, la honte par l’apprentissage, l’administration deshumanisée par des humains, où l’école n’est pas une école de la compétition mais de la coopération où l’on apprend à former des esprits critiques, le discernement et la joie.

Out of the Box : Le Soi(n)

Si je sors de la boite, et je retranche le N du soin, je me retrouve avec Soi.

Le soin n’est-il pas, peut-être, une part de soi à guérir ? La part non pas du thérapeute, mais de la personne qui a besoin de soi(n). Et le thérapeute devrait, selon ma conception, n’être qu’un transmetteur, un technicien, un assistant. Le thérapeute est selon ma conception tel un électricien qui intervient, professionnel et qualifié, dans la maison de gens qui bricolent leurs appareils mais n’en sont pas des spécialistes, ou encore tel le boulanger versus le particulier qui fait son pain dans sa machine à pain. De fait, je ne vois pas comment un thérapeute peut se croire investit d’une mission divine, se croire initié. C’est juste un thérapeute, et tout comme les mécaniciens ou les plombiers, il y en a des bons, et des moins bons.

Ceci posé, le soin n’est-il pas, là aussi c’est mon hypothèse, ce qui se passe à l’intérieur de soi ? Le soin n’est-il pas « seulement » une forme de technique qui permet à la personne de se favoriser sa guérison ?

Car la guérison se passe en dehors de toute notion de conscience, de conscientisation ? J’observe, et j’observe que la guérison se fait toujours à l’intérieur, c’est un processus interne, qui se passe en dehors de la conscience. Nul besoin de conscience pour guérir.

La guérison la plus commune est la régénération du sommeil. C’est pendant que je dors, c’est à dire pendant je ne suis pas là, que mon corps se répare le mieux. Au contraire, ma présence réduit la guérison.

La guérison se passe au niveau cellulaire, et elle n’a rien à voir avec la conscience. C’est pour ça que les médicaments (aucun ne guérit de quoi que ce soit) et l’hypnothérapie sont des formes de soin si efficaces. C’est pour ça aussi qu’il est si difficile d’intégrer un changement conscient : il faut répéter 30 ou 60 jours d’affilée pour que enfin il se passe quelque chose au niveau cellulaire.

expressions populaires déformées

Tu me retires une fière chandelle du pied.

Ce gars-là est un bout du train

Je suis au bord du rouleau

Sortir la tête du tunnel

La goutte d’eau qui met le feu aux poudres

C’est la cerise sur le bateau!

Petit à petit l’oiseau devient forgeron

C’est en forgeant que l’oiseau fait son nid

Se retrousser les coudes

Ne pas y aller avec le dos de la main morte

Faut pas vendre la peau du boeuf avant de d’avoir mit l’ours sur la charrue

Ca me fait ni feu ni flamme

Chacun voit midi à quatorze heures

C’est l’étincelle qui fait déborder le vase

Remuer le couteau sur le feu

Joindre les 2 bouts du rouleau

Mettre les pendules sur les « i »

L’avenir appartient à ceux qui se lavent tôt

C’est pas la mort à boire

L’argent ne fait pas le moine

Ce type est un bouquet mystère

C’est la porte ouverte à toutes les fenêtres

Il n’y a plus de bornes aux limites

 

SEDONA METHOD

 

  • The first way is by choosing to let go of the unwanted feeling.
  • The second way is to welcome the feeling, to allow the emotion just to be.
  • The third way is to dive into the very core of the emotion.
  • The fourth way is by dissolving the opposing polarities we all carry.
  • The fifth way is by seeing through the feeling to the effortless Awareness that is right behind it.

 

Choosing to Let Go

Make yourself comfortable and focus inwardly. Your eyes may be open or closed.

Step 1: Focus on an issue that you would like to feel better about, and then allow yourself to feel whatever you are feeling in this moment. This doesn’t have to be a strong feeling. In fact, you can even check on how you feel about this exercise and what you want to get from it. Just welcome the feeling and allow it to be as fully or as best you can.

This instruction may seem simplistic, but it needs to be. Most of us live in our thoughts, pictures, and stories about the past and the future, rather than being aware of how we actually feel in this moment. The only time that we can actually do anything about the way we feel (and, for that matter, about our businesses or our lives) is NOW. You don’t need to wait for a feeling to be strong before you let it go. In fact, if you are feeling numb, flat, blank, cut off, or empty inside, those are feelings that can be let go of just as easily as the more recognizable ones. Simply do the best you can. The more you work with this process, the easier it will be for you to identify what you are feeling.

Step 2: Ask yourself one of the following three questions:

  • Could I let this feeling go?
  • Could I allow this feeling to be here?
  • Could I welcome this feeling?

These questions are merely asking you if it is possible to take this action. “Yes” or “no” are both acceptable answers. You will often let go even if you say “no.” As best you can, answer the question that you choose with a minimum of thought, staying away from second-guessing yourself or getting into an internal debate about the merits of that action or its consequences.

All the questions used in this process are deliberately simple. They are not important in and of themselves but are designed to point you to the experience of letting go, to the experience of stopping holding on. Go on to Step 3 no matter how you answered the first question.

Step 3: No matter which question you started with, ask yourself this simple question: Would I? In other words: Am I willing to let go?

Again, stay away from debate as best you can. Also remember that you are always doing this process for yourself—for the purpose of gaining your own freedom and clarity. It doesn’t matter whether the feeling is justified, long-standing, or right.

If the answer is “no,” or if you are not sure, ask yourself: “Would I rather have this feeling, or would I rather be free?”

Even if the answer is still “no,” go on to Step 4.

Step 4: Ask yourself this simpler question: When?

This is an invitation to just let it go NOW. You may find yourself easily letting go. Remember that letting go is a decision you can make any time you choose.

Step 5: Repeat the preceding four steps as often as needed until you feel free of that particular feeling.

You will probably find yourself letting go a little more on each step of the process. The results at first may be quite subtle. Very quickly, if you are persistent, the results will get more and more noticeable. You may find that you have layers of feelings about a particular topic. However, what you let go of is gone for good.

Sagesses d’ailleurs series Ep1 Massai : La mort

« Et si on parlait d’Amour ? »

Massaï * page 67 et +

JOUR 2 La séparation

Croire à la mort, c’est croire qu’il y a une séparation entre le monde perceptible par nos co-naisse-sens et le non perceptible. Notamment, le rejet de la spiritualité a relégué la mort au rang de perspective angoissante, qui a mené les humains à vouloir vivre le plus longtemps possible, comme si on pouvait y échapper. Ceci dit, tout le monde meurt.

En rejetant la mort, l’homme venu d’ailleurs la nie, et de cette manière il se sépare d’une partie de lui-même : le divin. Ainsi l’homme moderne, le modèle, laisse toute la place à l’égo. Mais en croyant à la séparation, on matérialise une vie de séparation. Alors, l’homme moderne croit qu’il est seul, qu’il doit se débrouiller seul face à la mort. Et ça l’angoisse, ou alors il en fait un déni.

Evidemment, on ne parle pas d’une spiritualité religieuse, incarnée en un Dieu qui d’ailleurs serait séparé de sa créature. Bien à l’inverse, c’est une spiritualité intérieure qui se manifeste au travers de ce que chacun peut ressentir en lui, qui est d’un autre ordre. C’est la simple spiritualité qui est essence, spirit, évanessence, subtile, qu’on peut pourtant vivre dans beaucoup de nos gestes du quotidien, sans avoir besoin d’église et de statues, c’est d’abord une spiritualité concrète.

La mort faisant partie de la Vie, elle n’est que la fin de l’incarnation, mais ne constitue pas une fin de soi.

 

Les milliards de cellules et plus encore de bactéries qui me constituent sont-elles « moi » ? Non ! je suis moi ! Mais je suis quoi si toutes ces cellules et bactéries ne sont pas là où elles sont ? Elles meurent par bataillons à chaque seconde, pourtant je suis toujours là : qui est toujours là ? Si je n’étais que matière, alors je ne serai pas, je ne serai qu’un tas de bactéries et de cellules agglomérées et agitées par tout un tas de processus électriques, chimiques et biologiques.

 

Sagesses d’ailleurs series Ep1 Massai : dualité

Massaï * page 51 et +

« Et si on parlait d’Amour ? »

JOUR 1 La dualité

Toutes les choses sont reliées à d’autres pour former des paires complémentaires opposés :

le bien-être ne va jamais sans les difficultés, la joie ne va pas sans la tristesse, la vie ne va pas sans la mort, comme le jour ne va pas sans la nuit etc…tout au long de notre vie les opposés s’enchainent, que ce soit dans le déroulement de la journée, celui des émotions, celui des activités, celui des paroles et des pensées…

Mais la dualité n’est pas qu’un principe et une observation, elle est ressentie.

L’objectif n’est pas de valoriser le bon côté des choses, mais à apprendre à équilibrer les deux en soi.

Par exemple, le courage et la lâcheté : si on voit des gens se battre dans la rue, on ne va pas forcément s’en mêler pour prouver son courage, car il y a parfois mieux à faire. Il faut accepter d’être lâche pour être courageux.

Si nous refusons d’admettre cette part d’ombre en nous, nous finissons par la projeter sur les autres, par les juger, les critiquer. Mais c’est parce que nous portons en nous, cachée, cette part d’ombre, que nous la voyons chez l’autre.

Faisons ensemble l’exercice de ressentir quelques-unes de ce que nous appelons les contradictions, ces sentiments dits négatifs que nous pouvons ressentir parfois, les critiques que nous pouvons émettre, nos lâchetés et nos regrets, ce que nous ratons ou n’arrivons pas à faire. L’idée n’est pas d’analyser, mais de ressentir sans juger.

Ressentir, ce n’est pas adopter, mais c’est mieux diluer, laisser aller ce qui doit être laissé ; C’est aussi accuillir non pas une épreuve mais une difficulté apprenante, un en-saigne-ment ; C’est aussi découvrir quel élément de la mission de vie se trouve caché dans cette difficulté.

Nous pouvons ensuite trouver, pour chaque ressenti dit négatif, le contrepoint positif, son antidote. Par exemple, le stress est contrebalancé par la joie. L’idée n’est donc pas de combattre nos ressentis dits négatifs, mais de les accueillir, et de leur trouver leurs antidotes.

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