Mois : janvier 2024 (Page 3 of 4)

Le cercle vertueux de la confiance en soi

Le cercle vertueux : si j’ai confiance en moi que je me sens fiable, si je me sens fiable je me fie à mes intuitions car elles sont justes, mes inspirations sont justes, et donc je deviens créateur de ma vie. Si je laisse venir sincèrement et spontanément qui je suis dans ma façon d’être avec moi-même et avec les autres, ma singularité, mon originalité vont s’exprimer d’elles-mêmes sans que j’ai d’efforts à faire ! Alors on savoure, on goûte, on apprécie, on se délecte de vivre soi en soi.

Signes de mauvaise confiance en soi

Signes de mauvaise confiance en soi :

ne pas réussir à s’aimer tel qu’on est

accorder beaucoup d’importance au regard des autres, du coup je vais vivre non plus par rapport à ce que je suis et ce que je ressens, mais je vais m’adapter aux critères des autres et à leurs attentes. Dans le groupe qui nous correspond pas, on est vite isolé et donc on a tendance à se sur-adapter, et à ne pas respecter qui on est, on ne va pas poser de limites,

Vouloir se faire aimer : construire un discours pour se mettre en valeur, qui n’est pas un discours spontané mais qui est « je vais dire ça parce que je sais que ça va leur plaire et que ça va me mettre en valeur à leurs yeux » pour se faire aimer.

la rigidité : s’enfermer dans un cadre de valeurs ou de façons de faire très rigide.

Les croyances envahissantes : tout vouloir expliquer au travers d’une croyance, fut-elle aussi scientifique qu’elle soit. On peut tout rapporter aux chiffres, ou aux étoiles, ou encore aux gènes… ne pas laisser à la vie sa part de mystère.

le jugement : je n’arrive pas à trouver de la valeur en moi, donc je vais me trouver de la valeur socialement par rapport à certains critères du groupe social auquel j’appartiens ou de système de croyance auquel j’adhère. Et je vais juger les autres en comparant ce qu’ils font et je ne veux pas les fréquenter s’il ne corresponde pas à aux critères que j’ai adopté.

La dureté : je n’arrive pas à me faire confiance je n’arrive pas à faire confiance aux autres.

ne pas s’écouter : on ne prend pas soin de soi, on croit qu’on prend soin de soi parce qu’on fait des choses qui sont dites dans les journaux ou sur les réseaux, mais finalement pour prendre soin de soi on aurait besoin de faire d’autres choses.

se croire indigne : beaucoup étouffer ses désirs de ne pas écouter ses aspirations de faire les choses en fonction de ce qui est bien.

se sacrifier : on va se dévouer au point de s’oublier, faire plein de choses pour les autres.

 Se poser en victime : C’est une façon de se déresponsabiliser, et quand on manque de confiance en soi, cette capacité à se dire les choses avec franchise sans détour ni culpabilité, alors on ne peut pas répondre de ses actes.

Confondre stabilité et sécurité : La sécurité est un besoin fondamental. Mais elle ne peut pas venir d’une vie statique. Une personne qui, par son éducation et la culture occidentale, fonde son sentiment de sécurité sur la stabilité, aura beaucoup de risque de n’avoir pas confiance en elle. Or, la vie est mouvement, la vie est imprévisible. C’est justement notre capacité à nous ajuster d’instant en instant qui fait que nous sommes vivants au milieu de l’océan. La santé psychique, c’est quoi qu’il arrive, facile ou difficile, de connu ou d’inconnu, on est capable de se rattraper aux branches, et comme font les chats de retomber sur ses pattes même si on n’avait pas prévu de sauter ou de tomber. Cette souplesse-là elle est vraiment le signe d’une bonne confiance en soi et en la vie.

Développer des comportements sécuritaires : avoir besoin d’empêcher tout ce qui pourrait me prendre au dépourvu être une surprise désagréable, de plus en plus

contrôler tous les aspects du quotidien, tout programmer, sécuriser… au bout d’un moment on perd complètement toute flexibilité, et tout changement est une agression de ce qu’on a prévu car on croit qu’on a besoin de sécurité, y compris du point de vue affectif. On perd aussi notre naturel, notre spontanéité, notre créativité, et on va sans s’en rendre compte enfermer les autres petit à petit dans ces ornières d’une vie sécuritaire. On va dire « c’est pour votre bien »… reflexion : ne serions-nous pas dans une société qui n’a pas confiance en elle ?…

Ne pas accepter sa singularité : nous avons besoin d’être en relation avec d’autres humains, mais ne pas supporter sa propre compagnie signe que la personne n’existe pas assez par elle-même.

la honte : en fait chez une personne qui a peu confiance en elle va plus vite et avoir honte.

Réactions défensives d’animal acculé : mélange de peur de rejet, de honte, de manque d’estime, c’est l’agression de personnes qu’on aime ou apprécie quand on se sent pris en défaut;

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massage : ce qui est d’ordre corporelle manuelle physique et les massages notamment ça aide énormément retrouver confiance en soi parce que ça re ça nous permet de retisser l’enveloppe : le contact, la peau les muscles même les os, le massage c’est très thérapeutique

Avec une bonne confiance en soi : on dort mieux on écoute mieux les autres on a moins besoin de se justifier, on sait dire non, on va choisir des choses qui nous plaisent et plus celles que d’autres nous disent de choisir, on attire vers nous les personnes qui nous ressemblent plus.

Accepter des moments de baisse de confiance en soi : si je suis fatiguée, si j’ai appris une mauvaise nouvelle, si je suis malade, si on m’a fait une réflexion désagréable mon niveau de confiance va baisser : c’est normal ! Une personne qui a peu confiance en elle va se sentir beaucoup plus affectée.

Le cercle vertueux : si j’ai confiance en moi que je me sens fiable, si je me sens fiable je me fie à mes intuitions car elles sont justes, mes inspirations sont justes, et donc je deviens créateur de ma vie. Si je laisse venir sincèrement et spontanément qui je suis dans ma façon d’être avec moi-même et avec les autres, ma singularité, mon originalité vont s’exprimer d’elles-mêmes sans que j’ai d’efforts à faire ! Alors on savoure, on goûte, on apprécie, on se délecte de vivre soi en soi.

 

Définition de la Confiance en soi

confiance :

  • dans ce mot il y a le verbe se fier, c’est la fiabilité : la confiance en soi c’est sentir que je suis fiable.
  • La confiance est loin de la croyance, mais c’est avoir la foi (au-delà des questions religieuses évidemment), est-ce que j’ai foi en moi, est-ce que j’ai foi en la vie, est-ce que j’ai foi en les autres.
  • est-ce que je suis capable de me confier à moi-même, avoir ce discours intérieur honnête et transparent, ne pas le faire c’est déjà se raconter des histoires.
  • plus concrètement avoir confiance en soi c’est être bien avec soi-même, c’est avoir une bonne relation avec soi.

la différence entre s’aimer et avoir une relation égotique à soi

la différence entre s’aimer et avoir une relation égotique à soi :

le show off, le fait de se montrer de vouloir prendre la première place, ça c’est le contraire de l’amour de soi ! avoir comme projet d’être très visible, de prendre plus de place que les autres, de parler plus fort, ça c’est pas du tout de l’amour de soi !

L’amour de soi c’est être capable de s’accepter exactement comme on est, avec son âge, avec son corps tel qu’il est, avec ses qualités ses défauts, avec ce moment où se sent à l’aise les

moments où on se sent mal à l’aise, mais aussi les bêtises que l’on a fait ou les échecs que l’on a vécu, les moments où on se dit qu’on aurait pu être plus sympa avec quelqu’un ou plus adroit…c’est pouvoir accepter la personne qu’on est dans sa globalité !

Erreurs de conception de la confiance en soi

Erreurs de conception de la confiance en soi :

On peut imaginer que les personnes qui se montrent beaucoup ont une grande confiance en elles. C’est justement ce type de personnes-là, qui ont besoin d’être extravagant, d’avoir besoin de se montrer sans arrêt sur les réseaux sociaux qui n’a pas confiance en elle !

Et inversement on peut très bien être introverti, discret, réservé et avoir confiance en soi.

L’image que nous renvoie notre société est biaisée, il faut essayer de ne pas avaler tout cru ce qu’on nous fait croire.

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions

les intuitions sont liées aux sensations et aux émotions : des émotions saines, et des sensations saines mènent à des intuitions fiables. Des émotions saines sont celles d’un esprit en équilibre, elles ne bloquent pas les pensées, les sensations saines sont celles d’un corps en équilibre, leur signal est fluide et bien interprété.

Les empreintes des environnements toxiques

comment voir la valeur de ce que l’on réalise puisque on est habitué à ne pas la voir ?

Tout ce qui a été répété suffisamment de fois et en public qui est dégradant va s’imprimer et provoquer une meséstime de soi, et donc une faible confiance en soi. A force, on va créer un ensemble de croyances sur nous qui font identité. Et on va trainer ça dans l’inconscient. après, on peut nous nous dire « ce que tu fais est super » « tu es une belle personne », on l’entendra ça nous fera plaisir, mais dans le soubassement, tout ce système de croyances qui ont sapé notre confiance en nous reste et reste puissant.

en hypnose ou en auto-hypnose on va dit quelque chose qui va contrecarrer ces fausses paroles, à haute voix. On va se le répéter plusieurs fois par jour pour imprimer une autre vérité

Différents types de souffrance

Les souffrances

Nous sommes sans cesse confrontés à des « souffrances » : le soufre-en-se.

Et nous connaissons tous les différents types de souffrances, à tous les stades de notre évolution, selon les domaines de vie abordés.

J’ai repéré quelques souffrances :

Souffrance de la déprime  :  La souffrance chronique, monotone, on tourne en rond, perdu. On la trouve dans les états de déprime.

La souffrance de la dépendance : le monde (ou les personnes) n’obéit pas suffisamment de façon immédiate et régulière à ce qu’il devrait être : la tranquilité est dépendante du monde extérieur, où l’on se victimise.

Souffrance de la culpabilité : celle qui angoisse, celle qui fait se réveiller la nuit en pensant à ce qu’on devrait avoir dit, ou ce qu’on devrait faire. C’est aussi celle des regrets, de la rumination.

Souffrance de la contradiction : C’est la souffrance qui vient de la morale qu’on devrait s’appliquer alors que ses pulsions et les désirs sont contraires, c’est une souffrance qui déchire.

La souffrance orgueilleuse, ou résignée : la souffrance résignée des rôles et responsabilités, qui empêche celle d’être la personne ou de faire le métier qu’on voudrait vraiment au fond de soi. On eprouve des rancunes latentes, la difficulté à pardonner (surtout à soi-même).

La souffrance de la perdition : Celle du stade existentiel, la prise de conscience que la vie est éphémère, un sentiment d’absurdité, un vertige car le rationnel ne répond plus, dans un malaise semi-dépressif.

La nostalgie de la souffrance : Une fois qu’on atteint un état transpersonnel, c’est celle de la nostalgie de l’attachement, la nostalgie de la maman en somme, la nostalgie de ce qui donnait corps à sa souffrance : tristesse, peine, mélancolie sont lointaines

La souffrance joyeuse :  La souffrance est vue comme un effet secondaire de la croissance spirituelle : Hourra ! C’est la souffrance utile et indispensable pour vivre sa propre vie.

Nous pouvons être très mâture dans un domaine de vie, et en même temps être immature dans d’autres. Et même si on avance dans les stades de maturité, nous pouvons reculer brutalement en fonction de nos états émotionnels, des événements de la vie, de l’environnement. Mais les avoir déjà connues, ou du moins en avoir conscience, permet de relativiser.

 

Rigidité Outil de coaching

Pour les trop « musclés » : assouplir les règles rigides qu’il s’est imposées

s’imposer des règles strictes, avoir des opinions bien arrêtées sur la façon dont les autres et la vie elle-même devaient être, ne laissant que peu de place à l’humour ou à la tolérance, que ce soit pour soi ou pour les autres.

Ainsi, les penseurs négatifs créent souvent des attentes et des règles irréalistes sur la façon dont la vie devrait se dérouler. Nous pouvons les aider à examiner leurs attentes et à se demander si elles ne sont pas trop étroites ou trop rigides. Nous pouvons les encourager à adopter une approche plus ouverte.

Certains penseurs négatifs semblent imposer des règles rigides à la vie. Au lieu d’accepter avec curiosité les différences entre les gens et les imperfections (perçues) de la vie, des autres et d’eux-mêmes, ils cherchent à exercer une emprise presque tyrannique. Ces personnes pensent souvent comme suit : « Les gens doivent être comme je pense qu’ils devraient être ! »…

En posant simplement des questions aux gens et en leur proposant des exercices, nous pouvons les aider à assouplir des règles dures, cassantes et rigides, afin qu’elles deviennent moins blessantes et impitoyables, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Nous pouvons les aider à mieux se tolérer en leur posant des questions telles que :

– Une personne qui est généralement bonne et honnête peut-elle faire une chose qui n’est pas top ? Dans quelles circonstances cela peut-il se produire ?
– Une personne très intelligente peut-elle commettre une erreur ? Tout peut-il toujours être parfait ? que serait la vie si elle était parfaite ? Comment pouvez-vous être sûr qu’une vie parfaite serait meilleure ? Comment pouvez-vous être sûr qu’être comme vous l’exigez est forcément la seule manière d’être valable ? Avez-vous tenté d’autres options et lesquelles avant d’affirmer que votre opinion est la seule ? Votre opinion semble très affirmée, puis-je donc être assuré que vous avez tenté toutes les autres options ? Comment pouvez-vous être sûr que d’autres options peuvent avoir échappé à votre connaissance ? N’a-t-on jamais fait de découverte qui remettait en cause les vérités établies ? Une opinion affirmée au point de ne pas pouvoir être discutée est-elle encore une opinion ? Comment pouvez-vous êtres sûr que ce que vous attendez des autres ne génère que du positif ? Que pensez-vous des personnes qui campent sur leur position ?

questions socratiques

 

– « Quel est le pourcentage de responsabilité qui peut m’être attribué si je constate que mon collègue est de mauvaise humeur et que je ne sais pas pourquoi ? »

– Si mon fils adolescent refuse d’étudier pour un examen, quel est le pourcentage de responsabilité qui m’incombe et quel est le pourcentage qui lui incombe ?

– Si je fais un discours et que certaines personnes ne semblent pas très intéressées, quelle est la part de responsabilité qui m’incombe et celle qui leur revient ?

 

 

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