Mois : octobre 2022 (Page 4 of 4)

Garder son âme d’enfant

Garder son âme d’enfant

Garder son âme d’enfant, aimer cette idée c’est bien, la laisser s’exprimer c’est mieux, y consacrer quelques minutes par jour, l’intégrer dans le quotidien, c’est petit à petit laisser entrer de l’espace en soi, une sensation de liberté, de la joie pure, et ressentir ce lien subtil avec l’espace : avec un ciel flamboyant, avec le vent dans le balancement des branches, avec la présence rassurante d’un arbre, avec le chant d’un oiseau, avec les perles de pluie sur la vitre, on commence par observer pour finir par contempler sans réfléchir, libre de donner du sens à tout, libre de s’autoriser à ce moment dans l’ailleurs,se retrouver soi dans ce moment d’absence, trouver de l’espace et le laisser grandir à intérieur. Puis la lumière passe, de plus en plus, et c’est ainsi que l’on commence à illuminer l’entourage de cette liberté secrète, on la trimballe dans le quotidien, elle nous accompagne, elle rejaillit sur les autres, sur les rencontres et les évènements bien au-delà de ces quelques moments d’évasion …

 

Métaphore le principe

Module 3 – Part 6

le filtrage des schémas réactionnels est un traitement des métaphores.

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

Une femme avait de terribles verrues sur toute sur la plante de ses pieds, ce qui rendait la marche difficile et douloureuse.

Métaphore : Une princesse avait hérité du royaume de son père. Mais son royaume a été attaqué par des envahisseurs. Malheureusement, la reine ne connaît rien à la guerre et devait fuir. Personne ne savait comment déloger les envahisseurs et la situation persistait jusqu’à ce que la reine consulte un sage qui lui dit ce qu’elle devait faire. Elle suivi ses instructions dans l’art de la guerre de siège et fit bloquer toutes les voies d’accès au château pour qu’aucun approvisionnement ou nourriture ne puisse passer. Finalement, les envahisseurs quittèrent le château et leur propriétaire légitime récupérait le royaume et le château. L’homme sage promit de rester à proximité au cas où elle aurait à nouveau besoin de lui.

A la la fin de la semaine, les verrues n’étaient plus douloureuses. A la fin du mois, ses pieds semblaient n’avoir jamais eu de verrues. Nous pouvons voir la correspondance des modèles dans l’histoire.

Les envahisseurs ennemis (les verrues) devaient être d’être « privés » d’approvisionnement (en sang) afin de quitter « le royaume » (ses pieds). Le corps a agi selon les instructions cachées de la métaphore et l’esprit conscient n’en savait rien.

 

 

 

Interpréter les rêves de façon métaphorique

Pour ce billet je me suis inspiré de Mark Tyrrell  : Module 3 – Part 6

Les rêves intenses et abondants sont l’expression métaphorique de la stimulation émotionnelle non résolue. C’est ce qui se passe chez les personnes très seules, chez les personnes déprimées.

Le rêve désactive l’excitation émotionnelle non satisfaite : le rêve évacue les émotions non résolues, et les travaux de Joe Griffin.

L’une des conclusions les plus importantes auxquelles Joe Griffin est parvenu dans son enquête sur ce qui ce qui se passe quand nous rêvons est que le rêve joue un rôle vital dans la régulation émotionnelle, et d’une manière spécifique.

Lorsque les attentes émotionnelles déclenchées pendant la journée restent insatisfaites, elles sont « évacuées » des centres émotionnels du cerveau par l’expression émotionnelle métaphorique du rêve. Le niveau d’éveil du cerveau est ainsi rétabli et il est mieux préparé à faire face aux expériences émotionnelles du lendemain.

Le rêve est ainsi un exutoire des émotions non résolues.

Ainsi, par exemple, si vous vous disputez avec votre partenaire pendant la journée, il est peu probable que vous passiez un rêve métaphorique qui correspond à cet évènement, car la stimulation émotionnelle s’est déjà exprimée.

En revanche, si vous êtes en colère contre un collègue, mais que vous ne parvenez pas à l’exprimer, alors cette frustration pourrait bien être exprimée dans un rêve. Le collègue de travail pourrait être symbolisé par un monstre et votre colère s’amplifierait en rage en attaquant la créature. Cela permet à l’émotion de se dissiper avant le lendemain, afin que vous puissiez vous rendre au travail calmement.

Mais si vous ruminez rageusement les mêmes frustrations le jour suivant, alors vos émotions sont à nouveau éveillées, le processus de rêve reproduira, et peut-être en empruntant le même symbolisme et en créant un rêve récurrent.

 

Les rêves comme produit de la rumination

Les rêves sont ainsi l’expression d’une stimulation émotionnelle non résolue, celles de la journée passée, que ce soit dans le vécu des évènements, paroles, visions … s’étant « réellement » passés, ou encore dans le fait de revivre des pensées qui déclenchent des émotions, le subconscient ne faisant pas la différence en « réel » et « image-iné ».

Souvent, l’interprétation des rêves s’attache au sujet, on cherche alors la symbolique du sujet. Alors que cette expression du subconscient est plutôt, à mon sens, à considérer sous l’angle du processus.

Si par exemple une personne rêve de faire l’amour avec sa/son meilleur ami(e), je ne m’attache pas à creuser le sujet, ici l’ami(e), mais je vais chercher l’émotion irrésolue : cette personne a probablement envie de faire l’amour, et ça correspond à un besoin fondamental de lien intime. Le fait que ce soit l’ami(e) ou le/la collègue n’importe pas. Rêver d’une chouette ou d’une sorcière n’est pas important, ce sont des mises en scène de blocages émotionnels. On ira plutôt chercher les réponses dans le contexte, le processus émotionnel qui est représenté par la scène.

Une fois de plus, on ne juge pas : tous les rêves sont utiles.

Et une fois de plus, on ne cherche pas de logique : le rêve se passe dans la sphère du subconscient, qui ne connait pas la logique.

Passer les rêves au travers de la moulinette des émotions nous en apprendra beaucoup plus sur nous, et nous permettra d’identifier les besoins fondamentaux non nourris, les émotions bloquées.

 

Ne pas chercher l’explication des rêves dans le seul temps récent

Cette théorie de la fonction du rêve explique aussi les rêves d’évènements anciens dont on pourrait s’attendre à ce que l’éveil émotionnel ait été désactivé par le processus de rêve à peu près au moment des événements originaux. Une odeur, une parole dite, un endroit, etc.. peut réactiver un ancien incident émotionnel la plus part du temps inconscient, et peut donc donner lieu à des rêves liés à des évènements très anciens. Ce n’est pas pour autant forcément grave.

 

VOIR AUSSI : une autre approche du rêve dit prémonitoire

 

Vrai ou Faux, le rêve s’en moque

Ne sachant pas ce qui est vrai ou faux, le subconscient va piocher des éléments de décor de mon rêve d’émotion irrésolue sans aucune cohérence avec ce que je sais être vrai ou pas. Pour reprendre l’exemple cité plus haut, le besoin non résolu est d’avoir une relation intime, et le fait que ce soit une amie qui apparait dans le rêve est le simple fruit d’une extraction d’une personne par le subconscient qui n’a effectivement rien à voir avec mon attirance ou non pour cette personne.

Ne pas analyser le rêve, mais écouter ses besoins

Le temps passé à analyser les rêves peut aussi être mis à profit pour simplement écouter les rêves, s’écouter soi en quête des besoins non nourris. La plupart du temps, le rêve est juste la queue de comète de fortes stimulations émotionnelles.

 

Exemple de cas d’interprétation de rêve – La sorcière à deux têtes

http://quantumwaves.space/2022/10/24/exemple-dinterpretation-de-reve-la-sorciere-a-deux-tetes/

 

3 façons d’aider à ne plus être submergé par les émotions

1) Aidez-les à planifier à l’avance

Plutôt que d’être toujours pris par surprise par une émotion et d’être ensuite « vaincu par elle »  aider les clients à voir – et à planifier – les moments de vulnérabilité peut les aider à mieux gérer leurs sentiments.

Par exemple, comme les personnes déprimées ont tendance à rêver énormément (qu’elles se souviennent ou non de leurs rêves), leurs matinées sont souvent épuisantes et constituent souvent le pire moment de la journée. Le fait de prévoir à l’avance cette « pire partie de la journée » en se rappelant que l’énergie se rétablira, dans une certaine mesure, au fil de la journée, peut vraiment aider les clients déprimés à prendre de la distance par rapport au désespoir matinal.

Si une personne sait qu’une certaine personne la met en colère, elle peut prévoir de limiter ses contacts avec cette personne. Si votre cliente sait qu’elle est anxieuse lorsque le téléphone sonne, elle peut prévoir de prendre trois respirations profondes, en expirant lentement à chaque fois avant de répondre.

Il est essentiel d’avoir un plan, une stratégie, lorsqu’on traite des schémas émotionnels. Si vous savez comment aider vos clients par l’hypnose, plus vous leur ferez répéter par l’hypnose des réponses constructives à leurs schémas émotionnels, plus ils seront capables de le faire dans la réalité.

2) Aidez-les à voir la situation dans son ensemble

Diluer un sentiment est beaucoup plus efficace que d’essayer de le supprimer. Supposons que vous n’appréciez pas une certaine personne. Faire semblant de l’aimer peut parfois vous aider un peu, mais vous risquez davantage de ressentir du ressentiment. Cependant, trouver activement des éléments qui vous aideront à « humaniser » cette personne dans votre esprit peut vraiment contribuer à atténuer votre aversion.

Une de mes clientes ne supportait pas sa voisine, qu’elle considérait comme une fouineuse qui se mêlait de tout. Au cours de notre conversation, j’ai découvert que le mari de cette voisine l’avait quittée. J’ai demandé à ma cliente de réfléchir à la réalité d’avoir été quittée de la sorte, et à la terrible solitude que sa voisine a pu ressentir, etc… Bien que cette réflexion n’ait pas transformé par magie son irritation en sympathie, elle a permis à ma cliente de se sentir beaucoup plus détendue et moins agacée par sa voisine.

S’adapter aux croyances et préférences : Un jeune client a été encouragé à penser à l’immensité de l’univers lorsqu’il parlait à son patron intimidant. Parce qu’il avait un intérêt particulier pour cette immensité. Cette « perception globale » l’a aidé à mettre les rencontres avec ce patron autrefois effrayant dans une perspective beaucoup plus facile à gérer.

 

3) Trouver le « point de bascule

Les émotions peuvent nous prendre par surprise, et, avant même que nous nous en rendions compte, nous faire faire, penser, dire et bien sûr ressentir des choses que nous préférerions éviter.

Ce n’est pas facile au début, mais il y a toujours un « point de bascule » dans l’enchainement émotionnel que peut provoquer un évènement, souvent banal. Avant de l’atteindre, nous pouvons toujours faire marche arrière. Une fois que nous avons dépassé ce point, il devient de plus en plus difficile d’arrêter de glisser dans le marécage émotionnel.

Nous pouvons apprendre à localiser le point de basculement, et s’entraîner à l’éviter.

Par exemple, une mère se mettait en colère de façon incontrôlable lorsque son jeune fils utilisait un certain ton de voix. Elle essayait de ne pas se mettre en colère, mais à partir d’un certain point, elle ne pouvait plus s’en empêcher. Je lui ai demandé de s’entraîner à imaginer ce point de basculement et, lorsqu’elle l’atteignait, d’imaginer qu’elle s’éloignait de la situation et la regardait de l’extérieur.

Lorsqu’elle s’est imaginée faire cela, elle s’est instantanément sentie plus calme, et a rapporté plus tard que son fils ne pouvait plus « appuyer sur ses boutons » lorsqu’il utilisait ce ton de voix. Et il a très vite cessé de l’utiliser.

Oui, les clients ont besoin de comprendre leurs émotions. Les émotions sont des signaux importants et valables indiquant qu’un besoin émotionnel n’est pas satisfait. Cependant, si l’émotion n’est pas reconnue, elle nous pollue.

 » C’est plus fort que moi !  » : compulsion, comportements involontaires

 » C’est plus fort que moi !  » ou encore  » je ne comprends pas pourquoi je refais toujours ça  » : compulsion, comportements involontaires…

On peut prendre pour exemple la procrastination, ou encore le fait de se jeter sur la nourriture ou le chocolat, etc…

Certaines personnes sont conscientes de leurs comportements non souhaités, et on s’auto-agace, ou s’exaspère de soi-m’aime…

Nous avons beau en avoir conscience, c’est notre subconscient qui pilote 95% de l’activité humaine. Et il arrive que certains de ces pilotages automatiques soient orientés d’une « mauvaise » manière, et ils polluent notre existence et notre quotidien, tout en alimentant des culpabilités en plus…

Tous les comportements, aussi inconscients soient-ils, ont leurs raisons. On dit même leurs bonnes raisons, parce que ces pilotages automatiques nous protègent généralement. Ou nous protégeaient à leur création. Ces comportements, nous pouvons les écouter sans juger : Ils ont leurs bonnes raisons.

Les empêcher, c’est empêcher une partie de vie en nous de circuler. C’est plutôt cruel, je pense, et généralement ce besoin de vie va rejaillir sous forme d’insatisfaction, de frustrations … c’est bof, non ?

L’idée du coaching et de la PNL, c’est de rester dans une bienveillance envers nos processus inconscients, pour ensuite les ré-orienter, en douceur. Nous allons non pas cacher ce qui ne va pas, mais remplacer les réactions automatisées par d’autres, qui conviennent à la personne, en fonction de ses valeurs, de ses capacités, et surtout ne pas conseiller !

Ne pas juger, et être spécifique, voilà deux clés essentielles du chemin vers soi.

 

 

Le choc, ça peut être une réaction de défense légitime devant un chien, qui peut conduire à une peur automatique de tous les chiens. Et dans ce cas, même prononcer le mot chien déclenchera une émotion chez cette personne, sans qu’aucun chien soit présent, c’est bien le signe que le sujet (le chien) n’est pas en cause, mais le processus (la réaction automatique).

La répétition est l »autre moyen : nous avons appris à marcher par la répétition, à faire du vélo (sans tomber) par la répétition. Et les petites roues à l’arrière nous ont aidé …

Ensuite, nos automatismes sont aussi pilotés par nos croyances, et nos schémas de réactions, nos vécus, nos façons de penser, et nos sentiments.

Dans tous les cas, nos comportements sont influencés, et parfois nous faisons des choses sans nous en rendre compte, et sans en mesurer les conséquences.

 

Expérience de pensée du 01 10 2022

Nos ressources innées sont conservées dans l’inconscient.
Notre cerveau stocke toutes les informations.
La guérison se produit à un niveau inconscient
le subconscient possède les ressources.

Les ressources peuvent-elles être mobilisées ? si oui peuvent-elle être dirigées ?

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En cas de plaie, ou de rhume, les ressources se dirigent d’elles-mêmes vers la guérison. Le subsconscient est le maitre d’oeuvre. de la guérison.

Il ne soigne pas, il guérit.  Le conscient peut (seulement) aider : c’est ça soigner ?  Dans ce cas, quand je mets en place une lecture des signaux de mal-a-dit, je peux mieux ré-agir et dans ce cas j’évite de continuer à tomber malade, en me soignant. Ou alors, j’aide le subconscient à mieux guérir ? Non, je ne pense pas. Le subconscient guérit ce qui ne va pas bien. Mais comme le subconscient n’est pas dirigé uniquement sur la guérison mais sur une fonction généraliste de fonctionnement, il ne va pas faire que guérir, il va à la fois guérir et à la fois assurer toutes les autres fonctions non perturbées. Le subconcient pilote le corps. le processus de guérison n’est pas à voir d’une façon séparée, ni comme un combat. C’est un processus permanent, intégré au pilotage de tout le corps. Le corps ne se dirige donc pas vers une guérison, il est guérison dans la mesure où il fonctionne. Et il fonctionne mieux quand le conscient le nourrit bien. S’il y a mouvement, il y a vie. Si le mouvement est alimenté par une énergie cohérente avec l’Être qui est piloté (moi, toi…), tout se passe bien.

Il y a donc le mouvement, l’énergie, l’alimentation. Ce sera dans cette expérience de pensée l’âme-à-tiers.

La maladie fait partie de la vie. Rien n’est mal. Quand une maladie apparait, elle apparait après que l’alimentation de l’énergie de vie n’ait pas été cohérente avec le besoin. Alors le mouvement n’est plus, c’est la stagnation, la stagnation chauffe ou alors refroidit.

Le subconscient contient toutes les informations : ces ressources n’ont pas besoin d’être conscientisées. il y en a trop. ce n’est pas la ressource qui guérit, mais l’utilisation qu’en fait le corps qui guérit.

la guerison est un processus insconscient.

Pour qu’elle se fasse, comment faire ?

On ne peut pas la diriger, elle se dirige toute seule. Si elle ne sirige pas toute seule, quelle en sont les raisons ?

Hypothèse 1 : Mauvaise alimentation. OK, mais dans ce cas la guerison n’est-elle pas seulement ralentie, et pas inexistante ?
Hypothèse 2 : Le subonscient ne sait pas faire : ça m’étonnerai beaucoup, car toutes sortes de maladies sont gueries, parfois de façon étonnante.
Hypothèse 3 : Il se trompe.

s’il se trompe, pourquoi ?

– parce qu’il croit des choses qui ne permettent pas un processus de guérison ?
– parce qu’il ne sait pas extraire les informations reçues. Dans ce cas, libérer le mouvement libre.
– parce que les canaux de perceptions sont bouchés, pollués ? dans ce cas, libérer le mouvement, aligner selon Dilts
– parce que les informations n’ont pas été reçues correctement, suite à une dysfonction du subconscient qui pilote les perceptions… non, ça devient trop compliqué, il faut faire plus simple, la nature fonctionne de manière simple.

Le subconscient possède l’art, et les informations pour guérir tout. Alors pourquoi ça ne fonctionne pas ?
On fait appel au langage du subconscient pour appeler la guérison. Dans ce cas, que fait-on ? On pointe ce qui ne fonctionne pas, et on change le mode de réaction. On change le modèle. On n’intervient donc pas sur l’information, ni sur les évènements passés ou futurs, mais sur la manière de réagir, sur le processus. La guérison est un processus. Étant un processus, on peut donc intervenir ?
le processus une fois pointé, on lui demande de refonctionner de manière positive. il ne demande que ça. Ensuite, le processus génère la guérison de façon spontanée, tout autant que la plaie ou le rhume guérissent de manière spontanée, et parfois des paralysies. Tout cela procède du même processus de guérison spontanément normal.

Dans la nature, parfois des évènements arrivent et privent un arbre de certaines branches, ou alors un oiseau vient à mourir jeune. etc… la maladie est-elle aussi fréquente chez les animaux ? ça m’étonnerait. Leur processus de guérison est plus actif car leur manière de vivre est moins perturbé.

La puissance des croyances : je viens de suivre la piste des schémas réactionnels, qui peuvent empêcher le subconscient à une gestion normale des incidents à réparer.

Pourtant l’oiseau n’a pas de croyances, ni l’arbre. Et eux aussi ont un processus de guérison. La guérison est un processus aussi permanent que la vie, puisqu’elles ne font qu’une. Soit.

On peut intervenir en s’adressant au subconscient dans son langage et par son canal. Pointer ce qui ne fonctionne pas bien dans les croyances peut ainsi libérer le flux d’un mouvement plus harmonieux, et le processus de vie sera alors plus dégagé, et donc la guérison aussi.

ce qui entrave la vie en nous, c’est la prison des croyances et donc les schémas réactionnels. Les émotions qui ne circulent pas ne sont plus des e-motion, mais des e-stagnations. Faire circuler est la première étape, au sens figuré et propre.

Également : libérer les émotions par l’inversion de spin.

Si j’intègre le spin dans la réflexion, j’associe un moyen à un processus, ainsi un canal pour atteindre la cible. Pas forcément besoin de faire de l’hypnose. C’est de la PNL. OK. Libérer les émotions bloquées suffit ? Pas forcément, je pense. Mais c’est un gros bout.

Comment savoir si c’est l’émotion qui est bloquée, et que le spin sera une voie d’accès ? Je ne sais pas, il y a des signaux spécifiques ? Pas par la conversation alors, je pense.

 

Le cerveau et l’esprit

On peut faire un scanner du cerveau, on verra tout ce qui s’y passe. Mais un ne verra pas ce qui se passe dans l’esprit : on n’a jamais vu une idée sur un scanner.

Le cerveau est le contenant de l’esprit, qui est une expérience subjective, unique à chaque instant et unique pour chaque personne.

Le cerveau reconnait la personne que vous aviez déjà vue la veille au magasin, mais c’est l’esprit qui sait ce que vous pensez de cette personne et adaptez votre comportement. L’esprit est aux commandes.

Notre cerveau stocke toutes les informations, conscientes ou pas. Mais nous ne pouvons pas nous souvenir en même temps de tout ce qui est stocké dans le cerveau. L’esprit fait le tri et choisi de sortir telle information.

La guérison se produit à un niveau inconscient. Les cicatrices guérissent sur la peau, les cheveux et les ongles les cheveux et les ongles poussent, la respiration se fait toute seule – tous ces processus sont pris en charge par l’inconscient, des processus dont vous n’avez pas conscience.

 

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