Mois : octobre 2022 (Page 2 of 4)

Le Coaching de résolution du passé pesant

Ce type de coaching est celui des situations de blocage, quand on est face à une problématique récurrente qui fait obstacle à son développement personnel et/ou professionnel.

Exemples de souvenirs pesants : Un deuil qui s’éternise, des regrets qui hantent, une angoisse venue du passé, des flashs du passé; Cela peut aussi consister à tout ramener à ce qu’on a déjà vécu, ce qui bloque l’ouverture sur l’avenir.

J’ai ainsi connu une femme qui, suite à différents échecs dans les relations avec les hommes, s’est détournée des relations avec les humains et s’est consacré totalement aux animaux. C’est beau, oui, mais elle continue de trainer ses vieilles casseroles.

L’approche du coaching est quelque part inverse à l’approche de la psychothérapie classique. Le sujet n’est pas important, c’est le processus.

Ainsi, la personne accompagnée peut venir avec un vieux problème qu’elle traine depuis des années, un évènement ancien qui lui pourrit le quotidien. L’objet du coaching ne sera pas d’effacer le souvenir, mais de modifier la relation au souvenir, d’en libérer la charge émotionnelle.

Voilà ce que je propose dans le coaching de résolution lié aux souvenirs pesants.

Exemple d’interprétation de rêve – La sorcière à deux têtes

Exemple de cas d’interprétation de rêve – La sorcière à deux têtes

Une femme a rapporté qu’elle faisait toujours le même rêve. Elle se trouvait à la barre d’un navire, essayant de garder le cap, par une journée très « ensoleillée » et tout allait bien quand, sans prévenir, elle était attaquée par une sorcière à deux têtes. La sorcière semblait vouloir à faire dévier le bateau de sa route. La femme, dans son rêve, se sentait indignée mais sentait que ses « mains étaient liées » parce qu’elle devait diriger le navire. Soudain, la sorcière sortait un couteau aiguisé et commençait à poignarder la femme qui se réveillait alors généralement en sueur.

Interprétation
Parfois sa belle-mère lui rendait visite le dimanche belle-mère lui rendait visite un dimanche (Sun-Day – le « jour ensoleillé » du rêve). En outre, ces visites étaient toujours inopinées et non invitées (les attaques dans le rêve se produisaient toujours sans prévenir). Sa belle-mère était toujours polie, mais elle avait souvent fait des remarques désobligeantes ( elle était donc plutôt bicéphale – la sorcière du rêve avait toujours deux têtes). Lors de ces visites, la belle-mère essayait de « prendre le contrôle » de ce que la femme faisait dans la maison (la sorcière dans le rêve veut prendre la direction du bateau et le faire dévier de sa route). Enfin, elle a dit qu’elle faisait ce rêve plus souvent après les visites non désirées. La première fois que la femme ci-dessus a fait ce rêve, c’était après avoir regardé un programme télévisé sur la voile.

Le symbolisme des rêves est souvent « emprunté » à des événements récents de la vie du rêveur. Donc essayer de découvrir la signification du rêve directement à partir des symboles qu’il contient est un non-sens. Les encyclopédies sur la signification des symboles des rêves se basent sur l’idée étroite qu’un seul symbole correspond à un besoin. Or chaque esprit fait ses propres correspondances entre symboles et besoins.

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

 

Métaphore Exemple de cas – La princesse qui a perdu son château

Une femme avait de terribles verrues sur toute sur la plante de ses pieds, ce qui rendait la marche difficile et douloureuse.

Métaphore : Une princesse avait hérité du royaume de son père. Mais son royaume a été attaqué par des envahisseurs. Malheureusement, la reine ne connaît rien à la guerre et devait fuir. Personne ne savait comment déloger les envahisseurs et la situation persistait jusqu’à ce que la reine consulte un sage qui lui dit ce qu’elle devait faire. Elle suivi ses instructions dans l’art de la guerre de siège et fit bloquer toutes les voies d’accès au château pour qu’aucun approvisionnement ou nourriture ne puisse passer. Finalement, les envahisseurs quittèrent le château et leur propriétaire légitime récupérait le royaume et le château. L’homme sage promit de rester à proximité au cas où elle aurait à nouveau besoin de lui.

A la fin de la semaine, les verrues n’étaient plus douloureuses. A la fin du mois, ses pieds semblaient n’avoir jamais eu de verrues. Nous pouvons voir la correspondance des modèles dans l’histoire.

Les envahisseurs ennemis (les verrues) devaient être d’être « privés » d’approvisionnement (en sang) afin de quitter « le royaume » (ses pieds). Le corps a agi selon les instructions cachées de la métaphore et l’esprit conscient n’en savait rien.

Comment un rêve peut-il être prémonitoire ?

Comment un rêve peut-il alors être prémonitoire ?

dans la suite de l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Les travaux de Joe Griffin, montrent que le rêve désactive l’excitation émotionnelle non satisfaite : le rêve évacue les émotions non résolues. L’une des conclusions les plus importantes auxquelles Joe Griffin est parvenu dans son enquête sur ce qui ce qui se passe quand nous rêvons est que le rêve joue un rôle vital dans la régulation émotionnelle, et d’une manière spécifique. Lorsque les attentes émotionnelles déclenchées pendant la journée restent insatisfaites, elles sont « évacuées » des centres émotionnels du cerveau par l’expression émotionnelle métaphorique du rêve. Le niveau d’éveil du cerveau est ainsi rétabli et il est mieux préparé à faire face aux expériences émotionnelles du lendemain. Le rêve est ainsi un exutoire des émotions non résolues.

Mais alors qu’en est-il du rêve prémonitoire ?

Le rêve est prémonitoire, c’est quand une chose rêvée arrive « pour de vrai » par après.

Prenons un rêve comme l’évacuation d’une stimulation émotionnelle inconsciente irrésolue dans la journée, après qu’un problème soit apparu dans le quotidien, même s’il n’est pas grave, une émotion peut ne pas avoir été exprimée.

Le rêve est donc une mise en scène pour résoudre une émotion non exprimée, avec des personnages, un contexte, un scénario.

Pour cela, le rêve puise dans l’immense base de donnée du subconscient, et peut faire appel à des personnages fantastiques, il ne connait pas la gravité et ne connait aucune limite. Ceci dit, il va régulièrement piocher dans ce qui nous est arrivé récemment. Cette scène est donc liée au passé car stimulée par un évènement, mais nous ne faisons pas le lien puisque ça se passe dans l’inconscient. Donc, nous allons retenir le rêve comme étant une scène inédite, nouvelle, ça peut nous amuser, nous surprendre, nous effrayer, selon le contexte.

Le lendemain par exemple, on peut agir dans la vraie vie pour résoudre l’évènement de la veille. En résolvant un problème dans la vraie vie, on va donc aussi, sans le savoir, résoudre le résultat émotionnel qui a conduit au rêve.

Cette résolution dans la vraie vie va générer sa mise en scène, ses personnages, un contexte, un scénario de la vraie vie. Ici nous ne pouvons pas puiser dans les personnages fantastiques pour ça, d’ailleurs.

Il suffit alors que certains éléments de résolution de la situation de la veille soient concordants avec des éléments de la mise en scène du rêve généré par la situation de la veille, pour déduire une relation entre le rêve et les évènements arrivés dans la réalité par après.

Je vais avoir tendance à me dire  » j’en ai rêvé, c’est arrivé !  » non ! le rêve m’a fait vivre ce que je peux vivre en résolvant l’émotion irrésolue, puis je l’ai réalisé. Il n’y a pas de prémonition, tout est dans le bon ordre.

En fait non, généralement, le lien est juste logique : ce que j’entreprends aujourd’hui est souvent lie à ce que j’ai commencé hier, je peux donc me trouver dans la situation de régler une émotion inconsciente non exprimée hier. Et souvent d’ailleurs, l’interprétation du caractère prémonitoire d’un rêve est symbolique, elle rejoint en cela le vaste monde du subconscient.

Evidemment, certains vous objecter que des rêves prémonitoires n’ont pas de lien avec une action que va réaliser la personne qui a rêvé. Des situations extérieures peuvent être collectives, ou même toucher des populations entières. Et donc générer des émotions irrésolues, menant au rêve. Ce rêve aura son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène.

Par la suite, les autorités peuvent par exemple résoudre la situation, ce qui va avoir un effet de résolution ayant généré l’émotion. Là aussi, la « réalité » aura son son contexte, personnages et l’ensemble de la mise en scène. Je peux avoir l’impression que le rêve « est arrivé pour de vrai » et en dehors de toute action de ma part !

D’ailleurs, je remarque qu’un rêve ne peut être déclaré prémonitoire que pas après, lorsqu’il correspond à une « réalité » : que fait-on de tous les rêves qui ne correspondent pas à ce qui arrive ?

Les prémonitions sont courantes.

Dans les rêves, leur mise en scène importe peu, et les prémonitions sont en fait beaucoup plus nombreuses : chaque jour nous réglons des vides émotionnels de la veille qui ont peut-être mené à nos rêves, et nos actions ou plutôt les résultats de nos actions (parfois initiées la veille d’ailleurs) vont résoudre les émotions bloquées.

Simplement, nous ne nous souvenons pas de la majorité de nos rêves, et si c’était le cas, et si nous savions les interpréter, nous ferions probablement beaucoup plus de relations entre le passé et le présent, mais nous ne considérerions pas cela comme quelque chose de fantastique 🙂

Ce texte fait suite à l’article consacré aux rêves voir ici  CLIC

Petit matin, tout petit, après le petit dej, café sur l’accoudoir du canapé, lumière tamisée, le ronron du lave-vaisselle, les reflets de la lumière tamisée sur le meuble en bois, la bibliothèque mon trésor à mots, une bougie comme souvent brûle, et les huiles essentielles en diffusion, déjà…

C’est un privilège de goûter à tout ça. Un grand privilège. Tant de personnes dans le monde se lèvent avec la faim, la peur, dans les cris, sous la coupe d’autres.

C’est une chance aussi, d’avoir la présence d’esprit de goûter à cette paix simple, à ne pas avoir besoin de bruit et d’agitation pour me sentir vivant, à ne pas avoir besoin de plus tous les jours pour me sentir bien.

Le matin est yang, et l’esprit veut aller vers la nouveauté, la découverte, l’extérieur, les autres.

Donc, maintenant, que puis-je entreprendre aujourd’hui ?

Si je mets en relation la pauvreté dans le monde et mon confort, je peux me demander ce que je peux faire moi, d’autre que de donner de l’argent chaque mois.

Si j’enlève les processus de culpabilité, et que je tiens compte, d’abord, de mes valeurs. Définir mes valeurs, voilà un bel exercice à continuer.

Je tiens compte aussi de ma situation, mon âge, mes talents, mes limites, mes compétences, mon énergie.

Ensuite, aussi, je tiens compte des limitations extérieures. Non, on ne peut pas faire n’importe quoi n’importe où, en théorie oui, mais si je mets 25 ans à avoir le droit d’exercer en tant qu’avocat des Ouighours en Chine en passant par la case prison ou extradition, quel sera la balance bénéfice-effort ?

Je peux orienter ma réflexion, la préciser.

Oui, je fais un travail formidable sur moi, et dans la connaissance des techniques PNL. A priori je pourrais me dire que je suis égocentrique en étudiant tout ça dans mon coin. Mais je n’ai jamais eu cette impression, dans mon vivant. Et je suis certain que je ne le fais pas pour moi, juste pour moi. A chaque fois que je découvre une nouvelle technique, une nouvelle approche, les lumières qui s’allument sont celles du partage, le vécu en moi c’est celui d’apporter, de diffuser les éclats neuronaux à tout le monde, et particulièrement aux Êtres sur le point de s’éveiller.

C’est ma découverte de ce matin : chaque Être est un messager. Juste un messager, de ce qu’il a à apporter à son entourage. Il n’y a pas de hiérarchie, il n’y a pas de gourou d’une côté et de gens transparents de l’autre. Ce sont des perceptions d’autres. Là, je parle de ce que les Êtres ont en eux à apporter. Ce matin, j’ai l’impression que mon message à moi est destiné à des Êtres en capacité de s’éveiller, et que je fais partie de leurs signaux de lumière. Ensuite, ce n’est pas à moi de forcer, ni même de suggérer, ni de convaincre. Juste apporter.

Ces derniers jours, j’ai acquis une autre conviction. On parle beaucoup de blessures, de maux de l’âme. Et j’évolue dans une sphère double, l’une de la médecine traditionnelle qui s’attache aux maux, l’autre du coaching qui, dans les influences que je fréquente, s’attache au subconscient et à tout ce qui s’y cache. Cependant, je pense qu’il y a plus à aller chercher dans les façons de penser. Je pense fort que les premières phases de l’éveil sont très simplement celles de s’autoriser à penser autrement. A s’autoriser à se poser à soi-même des hypothèses, du genre  » et si j’avais la pensée de l’autre qui a l’opinion inverse de la mienne ?  » , ou mieux encore  » quels seraient les avantages à penser de manière inverse de la mienne ? « .  Ce sont les accords toltèques qui m’ont ouvert ce monde, ainsi que la communication non violente. Parfois pourtant, des « nuanciers » ont la cote, et sont suivis par une certaine frange de la population des presque-éveillés. Pourtant, peu d’entre les auditeurs, ceux qui écoutent, transforment.

Et pourquoi si peu de transformation ? parce que le besoin fondamental de sécurité est encore et encore plus grand, parce que la société ultralibérale fait en sorte que les conditions pour maintenir le niveau de sécurité soient toujours plus difficiles.

Ainsi, quand on arrive à un dégré de confort et donc de sécurité, ce niveau recule : par les nouvelles obligations, par les nouvelles dépenses obligatoires, par l’accumulation des peurs entretenues toujours plus, par la fracture sociale toujours plus grande, par une mondialisation folle, par tous les dérèglements et tous les règlements. Et en conséquence, on se tourne encore plus vers l’acquisition de plus de sécurité.

Cette course folle devient source de burn-out : la société entière brûle (burn) de ses excès, et des lacunes. La richesse d’une personne ne peut pas être seulement l’argent, et la pauvreté intérieure grandit toujours plus en Occident.

Donc, oui, peut-être que là aussi, mon apport peut être celui d’un apaisement en proposant de cheminer vers soi, vers la lumière intérieure. Le coaching me semble un moyen qui me convient bien, et c’est aussi mon chemin à moi pour abaisser ma tendance à donner des conseils, et même des leçons. Car le sage n’est pas celui qui brille, mais c’est celui qui est transparent et qui laisse passer la lumière.

Namaste

Se connecter méthode

 

Exemple : prenez un tableau, une œuvre d’art, une sculpture, ce que vous avez sous la main.

Concentrez-vous et au bout de quelques minutes vous êtes le tableau,
faites cela régulièrement, puis la conscience dans le tableau se retourne et vous observe.

 

regardez un magnifique objet, au bout de 20 secondes tu commences à vibrer avec l’objet, puis petit à petit tu commences à vibrer à la même fréquence que l’objet, tu vas projeter ta conscience dans le tableau, dont tu es unis au tableau. Ensuite ta conscience est dans le tableau, elle se retourne et te regarde à partir du tableau et vous n’êtes plus dans votre réalité ordinaire.

Définition des Valeurs – Outil de Coaching

Lister les valeurs les plus importantes.

Prendre la première valeur et : quelle valeur est encore plus importante ?

Etablir un ordre (ce n’est pas grave si l’ordre n’est pas stable/exact)

Ensuite définir le plus exactement possible tout ce que telle valeur représente pour la personne. Chaque personne donne des significations très différentes pour les même valeurs.

Ressentir.

Quels moments de la vie passée ou imaginée correspond au ressenti ?

Ancrer la ressource.

Aligner croyances et désir

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Voir aussi l’outil de définition des valeurs

Changer de réalité Outil de Coaching la projection

Réalité non désirée

On vit ce qu’on attire : si je vis une situation que je ne veux pas, c’est que j’ai attiré une situation que je ne veux pas vivre. Je crée ce que je projette.

Réalité désirée : Pourquoi je veux cela ? et pourquoi je crois que ça peut arriver ?

Est-ce que je veux cela ? Vous ne pouvez pas avoir tout ce que vous voulez, tu peux juste avoir ce que tu es prêt à être. on ne peut pas avoir sans être : Est-ce que je suis prêt à être ce que je désire ? Ce que je désire veut aussi des choses de moi, suis-je prêt ?

Aligner croyances et désir
Etudier un désir, et 5 croyances qui s’y rapportent. Souvent on s’aperçoit que nos croyances ne soutiennent pas nos désirs et sont même à l’opposé. On peut donc travailler sur les croyances. on peut faire cela dans tous les domaines de vie autant de fois qu’on veut.

Exercice des lignes de vie :
lignes de vie sur plusieurs années – fonctionne très bien à distance
Accompagné : les feuilles avec les 5 prochaines années placées au sol,
la personne se place sur chaque feuille en se projetant dans l’année en question, puis avance.

Faire un vide mental : Se mettre dans la neutralité émotionnelle, défocaliser le regard, défocaliser les émotions, se séparer totalement du passé, des préjugés, des croyances.

Se connecter à son soi futur : Se concentrer avec l’intention d’entrer en synchronicité avec la situation future, pendant 3 minutes au moins, en passant en revue le vakog, la pyramide de Dilts, lieux, sensations, couleurs, sons, température, ambiance, détails de la vie.

Ce moi de dans un an va écrire / décrire trois scenarios, trois réalités projetées de ce qui s’est passé depuis un an :
– version négative
– version positive
– version intermédiaire

Ces trois versions permettent :
1 – de définir les résistances,
Observer la situation que je vis, sans jugement.
Quelle partie de moi est en train de vivre la réalité non désirée ?
Puis ressentir quelles sont les émotions que j’ai
ce qu’il faut mettre en place,
2 – Re-préciser son choix, mettre en place les comportements correspondants

BOOSTER LES CHOIX – Outil de Coaching – Mantra

BOOSTER LES CHOIX

1 – pourquoi et pour quoi je fais ce choix maintenant ?

2 – quelle partie de moi fait ce choix ?
3 – à quelle personne concept ou pensée je reste fidèle quand je fais ce choix ?
4 – qu’est ce que je défends comme valeur en faisant ce choix ?

5 – qu’est ce que ce choix m’ouvre comme opportunités futures ,

6- est-ce que la meilleure version de moi choisirait cela ?

7 – si j’étais limité est-ce que je ferais vraiment ce choix et sinon quel choix ferais-je ?

8 – Qu’est-ce qui n’a pas changé dans ma vie depuis un an ?

9 – Dans quel sens ma vie serait impactée si je changeais ? Quels choix faut-il faire pour cela ?

10 – Quelles sont les idées auxquelles je n’ai pas encore pensé ?

 

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