Mois : septembre 2021

Gratitude et Deuil

 

 

Gratitude et Deuil

 

La vie est mouvement, et toute chose qui nait passe ; On utilise le mot « meurt, » et la mort évoque le deuil. La mort est une notion purement humaine et uniquement liée à la matière. Énergétiquement, du point de vue quantique, la mort n’existe pas : toute forme de Vie est en transformation perpétuelle. Toute chose apparait (nait) et passe (meurt). Certains sont éphémères comme certains insectes d’un jour, d’autres ont des mouvements très longs, comme des pierres. Le temps n’existe pas, c’est une notion humaine. Donc tout apparait et passe, et est sans cesse en transformation. Même un être, par exemple humain, est en permanente transformation.

Être triste d’une disparition est une réaction normale, car une habitude s’arrête, une source de joie part, et on voit un être disparaitre, c’est une fin ! Une fin d’une compagnie, mais pas la fin de la Vie.

Alors on peut voir la « fin » d’une forme de vie de manières différentes. On peut être dans le contrôle et la lutte, ce qui ne sert à rien et plombe notre énergie et est contraire au flux de la vie, donc c’est une dysharmonie.

En automne, l’arbre ne s’accroche pas à son feuillage en disant « ce sont mes feuilles, je ne les lâche pas, elles sont à moi ». Ca nous parait stupide, pourtant, c’est ce que nous ne cessons de faire en retenant ce qui dans nos existences doit partir, cesser, être remplacé, ou être renouvelé.

Alors, on peut aussi voir une « mort » comme une transformation dans un cycle naturel, celui de la Vie. Comme les feuilles de l’arbre brunissent et finissent par tomber en automne, le cycle de vie de la feuille de l’arbre se termine.

A chaque printemps je salue avec gratitude les nouvelles feuilles qui se forment, en sachant qu’elles ne feront qu’une existence, celle de l’année, et qu’en automne elles vont mourir. C’est le cycle naturel. Je peux ainsi d’autant plus « être » leur présence avec gratitude, et d’autant plus apprécier leur existence, respecter le cycle naturel de la vie !  C’est une sensation, c’est une forme de grâce que je vis, quand je « suis » les feuilles, ou les arbres, ou toute forme de Vie ! Et l’automne venu, je  salue les mêmes générations de feuillages pour leur dire au-revoir. Ces feuilles vont alimenter le sol pour participer à la re-nait-sens d’une future génération au printemps suivant, et Entre temps, l’hiver est nécessaire pour que la future feuille puisse exister.

Il n’y alors pas de perte, pas de tristesse autre que celle de l’au-revoir. Et toute forme de Vie est appelée au même cycle, en prenant conscience de cela, ma tristesse s’apaise, la volonté de contrôler s’éloigne, en même temps s’éloigne l’énergie qui me sépare de la Vie, car la Vie est mouvement, et je peux me concentrer sur l’émotion de tristesse qui n’est alors plus attachée à aucune sorte de contrôle, de sentiment d’injustice ou de colère. De même, cela me permet de ne pas m’accrocher à ces questions « pourquoi lui/elle, pourquoi si jeune ? » etc… tout comme une fleur est arrachée à peine éclose, tout comme un jeune arbre foudroyé, la vie est transformation et je n’ai pas besoin de toujours tout comprendre.

La Vie est mouvement, la gratitude me permet de vivre le cycle de la Vie avec acceptation et dans le respect du sens de la Vie. Namaste

 

Intuition ou subconcient ?

 » Il faut écouter son intuition  »

Qui ne s’est jamais senti « trahi » par ce qu’on appelle l’intuition ? Ou alors, qui n’a pas cherché des excuses pour dire qu’on  n’a pas su interpréter son intuition.

Est-ce que l’intuition, c’est une évidence venue d’ailleurs, une vérité profonde inexplicable qui est à suivre, ou bien c’est un réflexe issu de mon subconscient ?

Pour faire la différence, j’aime utiliser le principe diffusé notamment par Sonia Choquette : l’intuition est créatrice ! Donc, par déduction, si mon intuition est basée sur une peur, et me dit de seulement éviter, refuser, m’éloigner sur un sentiment de fuite, alors c’est un réflexe, pas de l’intuition. Attention, un réflexe du subconscient n’est pas « mal » pour autant, il est là pour nous protéger.

Par exemple, un jour alors que je prenais tous les jours la même autoroute, je me suis mis à sortir pour prendre la route de campagne ente deux sorties d’autoroute. Il s’est avéré que je serai tombé dans un mégaembouteillage ! ce qui m’a fait prendre la sortie n’était pas une peur, juste une sorte de chemin naturel et fluide. L’intuition ne m’a pas protégé, mais guidé vers le meilleur chemin, et c’est dans le domaine de « autre chose », dans le domaine de la créativité !

D’autres fois, je remarque que j’évite certaines routes, ou situations, et que ces évitements sont basés en fait sur des vécus anciens qui sont similaires et négatifs, c’est-à-dire reliés à des expériences désagréables. Là, c’est mon subconscient qui me protège. C’est appréciable, certes, mais si je me laisse toujours guider par lui, je ne vais jamais oser faire quoi que ce soit de différent, de nouveau !

De plus, le subconscient ne peut me protéger qu’à partir de ce qu’il sait. Le jour de l’embouteillage, étant donné que cet évènement n’était jamais arrivé, ce n’est pas le subconscient qui pouvait me protéger, il n’avait pas cette information.

Mais le subconscient étant une banque de donnée qui ne connait pas ni la nuance entre vrai et faux ni la négation, il « croit » tout un tas de choses qui ne sont pas réelles, et va me lancer des messages de fuite devant des situations qui ne représentent aucun danger réel.  Et si on accorde trop d’importance à ces messages, on peut passer à côté de belles opportunités de vivre de nouvelles choses qui nourrissent notre vie, et même constituer des handicaps et des dangers.

J’ai ainsi connu une personne qui pense sincèrement être guidée par son intuition, et qui n’accorde pas d’importance à la différence à faire entre les messages réflexes du subconscient et l’intuition. Cette personne accorde une grande confiance à ce qu’elle pense être ses guides. Ok jusque là.

Mais c’était une confiance aveugle. Je voyais cette personne se mettre régulièrement dans des situations qui la mettait dans l’impossibilité de faire certaines choses, d’arriver à l’heure parce que le chemin classique lui inspirait que son intuition lui disait de ne pas prendre, ou encore de ne pas acheter ou au contraire d’acheter telle chose inutile ou inadéquate. A la fin, la vie de cette personne devenait confuse, et dans ses relations il était très difficile de la suivre. En recherchant sans  cesse le message de son « intuition », elle réinterprétait absolument tout évènement et toute présence d’autres dans sa vie;  Dans le quotidien cela donne des situations extrêmes : un jour, elle s’est arrêtée sur une route en forêt, en plein virage caché, juste parce qu’elle attendait les messages de son « intuition ». Cette situation était génératrice de danger pour elle et pour les autres. Je lui ai gentiment fait part du danger de la situation, et donc je devenais un perturbateur des messages de ses guides …

Le discernement n’est pas évident à avoir. Il existe des méthodes pour y aider, et les premières méthodes sont de s’éloigner de la croyance en ses idées et de prendre une grande respiration en laissant aller, en lâchant le mental, et en se disant que tout va bien se passer : en pensant cette phrase  » tout va bien se passer  » on génère cela !

Pour développer son discernement, il est utile d’avoir à ses côtés un coach qui accompagne sur le chemin du discernement, sans jugement et en toute bienveillance.

Tu ES le personnage de ta Vie

 

Tu me vois, ressens et entends au travers de tes perceptions, et je te vois, ressens et entends au travers de mes perceptions. nous avons chacun des perceptions très différentes.

Tu es la seule personne à te vivre comme tu es.

Personne d’autre ne peut te percevoir comme tu le fais en toi. Tu as le vécu complet de ton existence, seule toi possède ce vécu complet. Tu as le vécu extérieur de ce que tu montres aux autres, mais tu as, tu es aussi tout le vécu intérieur, tout ce qui ne se voit pas de l’extérieur, tes émotions, tes sentiments, tes douleurs, et même tes joies, toutes les vibrations que tu ressens, ainsi que tes rêves de sommeil ou tes rêves éveillés, tes pensées, tes idées ! Toi seule vit tout ça ! Tu peux décrire ce que tu ressens, certains en éprouvent le besoin et le font, en mots, en musique, en toute forme d’art, traduction des ressentis. Mais cette traduction sera toujours vécue par les autres au travers de leurs propres filtres.

Tu es le seul personnage principal de ta Vie.  Tu apparais partout dans ta Vie ! Même la mère de famille totalement dévouée à ses enfants, celle qui me dit parfois  » les personnes les plus importantes de ma vie ce sont mes enfants « . Oui, ce sont les personnes auxquelles cette mère tient le plus, mais le personnage principal, la personne qui est là en permanence, c’est elle !  Tu es le personnage principal SEULEMENT DANS TA Vie ! Quand on a cessé de se raconter des histoires, on se rend compte que même la personne qui compte le plus pour moi n’est et ne peut être le personnage principal de ma vie. Ce n’est pas une question de volonté, ou de distribution des rôles, ni d’égoïsme, mais c’est juste comme ça !

Tu ne seras jamais le personnage principal de toute autre personne !
Quand on veut vivre au travers de l’autre, c’est un état pathologique, puisque ce n’est pas naturel. On trouve alors des énergies très négatives, qui ne peuvent être harmonieuses. C’est parfois le cas dans certains couples, ou alors entre une mère et un enfant, ou encore quand quelqu’un reporte toute son attention sur un animal. Il ya alors toujours de la souffrance.  Au contraire, une harmonie se fait quand chacun est à sa place, quand chacun est dans sa vie, libre, debout, et autonome.

Se libérer des préceptes de la séparation qu’on nous a inculqué est une étape décisive du processus de reconquête de soi. On nous enseigne que l’amour, c’est s’oublier dans l’autre, ou dans le travail, ou dans le respect des lois. Ce sont à chaque fois des états de séparation d’avec soi.

Prendre conscience qu’on est le seul personnage principal de sa vie me permet de valoriser ma propre présence dans ma vie, de lui donner du sens, de mesurer à quel point l’état de mon corps, de mon mental et de mon esprit sont des aspects qui comptent dans la qualité de ce personnage principal : je veux que ce personnage principal soit un beau personnage, une belle personne, un être qui donne de son mieux, qui soit heureux et joyeux. Qui voudrait que le personnage principal de sa vie soit aigri, sale et indigne ? Alors valorise-toi !

Et sois bienveillant avec toi-même ! Le personnage principal, c’est aussi le personnage envers qui on a  de la sympathie, on veut le protéger, on lui pardonne volontiers ses erreurs, et quand il rate quelque chose, on est triste de le voir abandonner et se décourager. On a envie qu’il re-essaye, et envie de l’encourager, de l’aider. On a toujours envie qu’il réussisse ! Parfois le personnage principal est triste, alors on ne se moque pas de lui ni se détourne, au contraire on a de la compassion. Et on ne le plaint pas non plus, mais on l’aide à se relever, pour que le film ne soit pas un drame mais un film d’aventures heureuses !  Etre soi, c’est aussi m’accepter tel que je suis, dans un personnage principal qui a ses « faiblesses », ses vulnérabilités qui sont le moteur de son élévation.

Prendre conscience que chacun est le seul personnage principal de son propre film, c‘est aussi relativiser sa propre place dans le film de vie des autres. Nous sommes dans le film des autres au travers de leurs perceptions, qui ne sont jamais les mêmes que les nôtres. On se rapproche volontiers des personnes qui ont des perceptions cousines, proches. On ne montre qu’une partie de ce qu’on est à l’intérieur. Tout le vécu de chaque seconde de notre vie, c’est une somme d’information tellement grande que personne ne saurait assimiler.  En plus, on n’a pas envie de partager certaines facettes de soi. On a le droit aussi à cette part secrète. Pour toutes ces raisons et pour d’autres, nous sommes uniques et nous ne sommes jamais totalement visibles, ni vus !

Réaliser que je ne serai qu’un personnage secondaire dans la vie des autres, y compris de mes proches les plus intimes, y compris de ma mère, c’est aussi me permettre d’être moi, c’est me donner une liberté, c’est aussi et surtout me détacher du besoin de contrôler ce que les autres perçoivent de moi.  Et plutôt que de vouloir rectifier ce que les autres vivent de moi en eux, ce qui est juste impossible, je peux me concentrer à être du mieux que je peux, et d’avoir une attitude la plus fidèle possible à ce que je suis, juste être moi !

Parfois, on a du mal à faire de soi un personnage fabuleux, brillant, et à l’aimer. Pour certains, c’est un état d’être ancien. Mais ce n’est pas une fatalité ! Tu as beaucoup plus de pouvoir en toi que tu ne le penses ! L’aide d’un coach de vie, quelqu’un d’extérieur, quelqu’un pour lequel tu n’as pas de personnage secondaire attribué, peut t’aider à faire de toi le personnage principal brillant, enjoué et plein de vie de ta VIE.

Quand on n’est plus amoureux de nos pensées … quand le changement se révèle à soi.

Dans le 5ème accord toltèque, Miguel Ruiz nous explique que « seul un mensonge a besoin d’être cru pour exister ».

Tout mon univers est fait de « croyances », c’est-à-dire de pensées, de concepts, de ce en quoi je crois ou non, de mes perceptions, de toutes les informations que je traite selon mes filtres. Beaucoup de ces croyances datent de mon enfance, et je suis tellement persuadé par elles que je me suis identifié à mes croyances, je les crois vraies et si elles ne le sont pas, je serai déstabilisé. Beaucoup de croyances sont communautaires, et imposées par les institutions de la société, au travers des lois, de l’enseignement, et la notion de bien et de mal.

Ce qui fait que j’accorde mon accord à des croyances, c’est-à-dire de les considérer comme vraies, c’est souvent mon besoin d’être rassuré, mon besoin d’être intégré dans une communauté, et puisque c’est plus rapide de commencer par suivre le modèle, inculqué par d’autres, les parents, par tout ce qu’on m’a appris étant enfant, puis l’école, et tous les codes de la société dans lesquels j’évolue.

Par exemple, pensez à quelque chose qui est « mal » : si je ne crois plus que telle chose est « mal », si je n’accorde plus mon accord à cette notion de mal, que reste-t-il ? Il reste un fait, une action, une parole, mais elle perd sa coloration de « mal ». Si je retire à une croyance le fait de la croire, je lui enlève tout pouvoir. La croyance s’efface, et la souffrance aussi. Je peux croire ou ne pas croire à la solution d’un problème, à l’existence d’une maladie, à l’existence d’un complot, etc … une fois retiré le pouvoir aux croyances, elles sont relatives, parfois vaines, parfois même inexistantes.

Mais parfois il arrive qu’on ressente un besoin de se saisir de son libre choix, de son libre-arbitre.  C’est alors une sensation, quelque chose de profond, qui se met en route. C’est ce qui se passe alors se situe au-delà du mental. C’est ce qui au fond de moi est intuitif, viscéral, qui me dit ça c’est ma vérité, c’est en cela que j’ai la foi, ou alors non, en ça je n’ai pas la foi.

C’est dans les tournants de la vie que se révèle le plus souvent le besoin de faire place à ce vrai-soi, et régulièrement cette révélation se fait à l’occasion de ce qu’on appelle des accidents de la vie. Ce besoin de foi se fait sentir, le besoin de se libérer des modèles pré-établis grandit et on a le sensation de grandir enfin, de redevenir adulte spirituellement, de se trouver soi.

Nombre d’entre-nous se retrouvent dans des conflits, intérieurs et même extérieurs. Ce besoin peut être ancien mais avoir été enfoui dans les couches de confort, et ça donne les burn-out et les dépressions, ou alors des comportements de déni. Certains quittent travail ou famille ou conjoint, ou parfois tout à la fois, soit dans le calme ou alors avec fracas, pour redémarrer autre chose.

Accorder le pouvoir à des croyances et la foi dans un personnage construit tout au long de la vie et qu’il faut garder néanmoins pour des raisons de commodité, ne suffit plus, ne nourrit plus. Parfois on veut vivre, sentir en soi vibrer la profonde et « vraie » nature : laisser la « personne », qui nest personne, mais « être un Être », être soi !  Dans ces moments, on touche parfois du doigt la grâce, une harmonie entre ce qu’on est dedans et dehors.

Pour y arriver, le chemin peut être immédiat, court, ou alors plus long. Quand ce besoin se fait non seulement sentir mais ressentir, c’est là que l’aide d’une personne extérieure comme un coach de vie est bienvenue. Comme une béquille que tu lâcheras le plus tôt possible, je t’accompagne sur ton nouveau chemin de vie, que ce soit dans la sphère intime, familiale, professionnelle ou sociale, ou tout à la fois.

 

Developper le magnétisme cours résumé (début)

Video 1 : Introduction, (les vidéos suivantes détaillent les techniques)

 

Le magnétisme : chaque élément conducteur qui est parcouru par de l’électricité crée un champ magnétique = le magnétisme, c’est l’énergie du champ magnétique qui est parcouru par l’électricité. Le magnétiseur va traiter son magnétisme sur le magnétisé. Alors, le magnétiseur doit recharger son énergie.
Deux sources énergies magnétiques :
Terrestre : absorption par les pieds
Cosmique : le Ciel : absorption par la respiration

Le magnétisme n’agit pas sur la maladie, elle agit sur la santé. La médecine allopathique cherche l’agent nocif pour le neutraliser, par exemple le microbe qui est  l’origine d’une infection. Magnétisme : C’est apporter la force vitale à l’organisme pour que celui-ci puisse générer un nouvel équilibre. Quand l’énergie de la cellule est défectueuse, le magnétisme permet à la cellule de re-générer un fonctionnement normal.

 

Conditions nécessaires :
Respiration : lorsqu’on travaille la respiration, durant la relaxation profonde la consommation d’oxygène diminue de 10 à 20 % .
Concentration = vide mental = hygiène de l’esprit (sinon affaibli l’aura) = fait travailler le cerveau droit, où se trouve l’hypothalamus qui régit tous les mécanismes du corps.
Avoir une alimentation saine, et faire des cures de magnésium  (minimum 3 mois) et vitamine C. Manger des noix, Oméga3, boire beaucoup. Et passer à table avec une intention d’absorber le magnétisme de chaque aliment.

 

Pour recharger :
– Respiration : L’oxygène a des propriétés de magnétisme.
– Contact avec la nature
– Arbres :
le dos contre l’arbre,
le 3eme oeil (glande pinéale) contre l’arbre.
respirer en étant contre les Arbres : le devant contre l’arbre, inspirer et se charger l’air des poumons avec l’énergie de l’arbre. Rem : entre Mars et Septembre la sève monte, inversement elle descend.
– Les paumes ouvertes vers le ciel
– La chaise invisible : chaque matin en début de journée : Dos contre le mur, plier les genoux et rester en position comme is on « tait sur une chaise invisible. Pendant 3 minutes ou plus. Est également très efficace dans tous les processus de changement de vie/projets.
(les objets métalliques magnétiques captent l’énergie et perturbent : ne pas porter ces objets;

 

Exercices
Exercice pour créer une réalité
1 – fermer les yeux, imaginer 1 citron, amener à la bouche, croquer, ressentir
imaginer la même chose avec le goût de fraise.
2  – Fermer les yeux, imaginer un cube jaune. faire tourner le cube. Puis changer la couleur en vert, puis en rouge, puis en bleu, revenir au jaune et ainsi de suite.
3 – Si trop difficile commencer les yeux fermés puis ouvrir les yeux. imaginer un objet comme s’il était vraiment là. Exemple l’image d’une bougie sur un meuble. puis quand bien présent, ouvrir les yeux. Faire pendant 2 à 3 minutes.

Exercice de scan de l’oubli du corps – Pendant 1 mois : des pieds à la tête, prendre conscience de chaque partie du corps, puis la contracter, puis lâcher et faire comme si cette partie du corps devenait fantôme, l’oublier. Puis passer à la suite, jusqu’à la tête, pour finalement arriver à ce que la conscience flotte au-dessus du corps.

Exercice de la boule de feu : frotter les mains, puis sentir la boule d’énergie entre les mains, jouer avec, écarter puis rétrécir. A la fin, frotter les mains l’une contre l’autre.

! Sensation de froid : fatigue magnétique, vide d’énergie.

 

Les passes :
Lorsqu’on fait une passe magnétique :
– Mettre les bras le long du corps les poings fermés – mettre les poings fermés à hauteur des cheveux de la personne fatigue – puis ouvrir les paumes au moment de la passe vers les pieds, à 3 cm du corps du patient, lentement.

2 types de passes :
passe lente dure 30 secondes, charge l »organisme en magnétisme
passe rapide : dégager l’organisme du magnétisme négatif
dès que la passe est finie, on referme les poings

4 actions du magnétisme :
charger : passe très lente, pour saturer en énergie
dégager : passe rapide pour répartir
fixer: les doigts en point pour diriger en profondeur
disperser : passe rapide et transversale, du milieu vers l’extérieur, début de séance pour dégager les énergies usées

en cas de fatigue : toucher les bouts des doigts des deux mains.

Polarités :
1 : polarités identiques associées : ++ ou – – = tonifier le corps et calme le psychisme.
Actions sur : infections, émotivité, fatigue, épilepsie, nervosité.
Technique : Main droite(+) sur le front(+) dans le sens des aiguilles de la montre
2  Polarités différentes :  + et – : calme le corps et tonifie le psychisme,
Actions sur douleurs, spasmes, dépression allergies
Technique : main gauche(-) sur le front (+) dans l’autre sens
Chaque zone du corps est soit + soit –  ,      la main G est –   et   la main D est +
Les yeux = dispersent
Les oreilles = tonifie. Renforcer le magnétisme en mettant les mains sur les oreilles pendant 10 respirations.

3 Magnétismes :
de Feu : maladies du Feu, ex zona
de l’Eau : phlébite, angoisses,
de Terre : fractures, entorses

**************************

Vidéo 2 : faire le vide mental avant de commencer la séance. Fermer les yeux, les ouvrir très légèrement, englober tout le champ visuel, défocaliser.

*****************************

 

Magnétisme : Les passes Magnétiques

Les passes :

Respiration :
On inspire avant de magnétiser,
On bloque puis expire pendant qu’on magnétise

Position des Mains :
Poings fermés avant et après les passes
Mains ouvertes pendant les passes, à 3 cm du corps (ou sur le corps)

4 type de passes et d’actions du magnétisme :
Au début : disperser : passe rapide et transversale, du milieu vers l’extérieur, début de séance pour dégager les énergies usées
charger : passe lente, 30 secondes, pour saturer en énergie
dégager : passe rapide pour répartir
selon besoin : fixer : les doigts en pointe pour diriger en profondeur

Magnétisme exercices quotidiens

1 – fermer les yeux, imaginer 1 citron, amener à la bouche, croquer, ressentir
imaginer la même chose avec le goût de fraise.

2  – Fermer les yeux, imaginer un cube jaune. faire tourner le cube. Puis changer la couleur en vert, puis en rouge, puis en bleu, revenir au jaune et ainsi de suite.

3 – Si trop difficile commencer les yeux fermés puis ouvrir les yeux : imaginer un objet comme s’il était vraiment là. Exemple l’image d’une bougie sur un meuble. puis quand bien présent, ouvrir les yeux. Faire pendant 2 à 3 minutes.

4 -Exercice de scan de l’oubli du corps – Pendant 1 mois : des pieds à la tête, prendre conscience de chaque partie du corps, puis la contracter, puis lâcher et faire comme si cette partie du corps devenait fantôme, l’oublier. Puis passer à la suite, jusqu’à la tête, pour finalement arriver à ce que la conscience flotte au-dessus du corps.

5 -Exercice de la boule de feu : frotter les mains, puis sentir la boule d’énergie entre les mains, jouer avec, écarter puis rétrécir. A la fin, frotter les mains l’une contre l’autre.

6 – Développer sa concentration (vidéo3) : Pendant 5 minutes chaque jour , Fixer un point au mur, puis compter à voix haute les bruits environnants.

Développer son magnétisme exercices de base

Renforcer le magnétisme et l’entretenir.

Une vie saine +  être bien ancré + marcher pied nus matin et soir

Chaque matin : Chaise invisible, contre le mur, pendant 3 minutes minimum, pendant le premier mois. Jusqu’à ce qu’on sente que l’énergie monte à la tête. A faire en systématique pour ancrer. Aide beaucoup à la réalisation des projets.

Arbre : Le dos contre l’arbre –  Le troisième oeil contre l’arbre  –  (entre Mars et Septembre) : Enlacer l’arbre, inspirer, bloquer la respiration 20 secondes, imaginer que l’oxygène des poumons se charge de l’énergie de l’arbre. a faire entre 10 et 20 fois.

Dehors, de préférence quand il y a du soleil et en énergie montante, se tourner vers le soleil et ouvrir ses mains vers le soleil.

La boule de feu : frotter les mains l’une contre l’autre et faire évoluer la boule d’énergie.

Ne pas porter d’objets métalliques magnétiques.

Virginia Satir : créer du choix fait reculer le stress

Le choix efface le  stress.
Exemple
 : un mari veut tuer sa belle-mère, tellement il s’agace de ses plaintes à répétition. Au lieu de lui dire «  tu ne dois pas faire ça », donc d’empêcher le comportement, l’idée est de demander « comment tu vas faire ça ? ok tuer ta belle-mère est une des manières de changer la situation, et qu’arrivera-t-il ensuite ? que t’arriveras-t-il à toi en tant que citoyen, mari de la fille de celle que tu auras assassiné, en tant que père meurtrier de la grand-mère de tes enfants ? et que se passera-t-il en toi, pendant longtemps, ou pendant le restant de tes jours, quand tu auras réalisé ce que tu dis aujourd’hui vouloir faire par agacement ? »
et « cherchons au moins deux autres manières d’agir qui vont régler le problème qui est en toi de t’agacer de ta belle-mère ».

Le simple fait d’être dans cette prise de conscience d’autres possibilités, met la personne dans une position d’avoir le choix, et à partir du moment où il y a le choix, il n’y a plus de stress.

Le comportement et son processus – Librement interprété d’après une vidéo de Virginia Satir

Le comportement et son processus – Librement interprété d’après une vidéo de Virginia Satir  –  «  Virginia Satir PAIRS Training  Segment II »  – 1984

le comportement est le résultat d’un processus. Le comportement ne nous dit rien. On cherche toujours à changer les comportements, alors que ce qu’il faut faire c’est aller chercher la perception puis dérouler le chemin des 7 étapes jusqu’à ce comportement.

Habituellement on juge le comportement, «  tu ne peux pas / dois pas faire cela ». Chez l’enfant ou chez l’adulte, on cherche à réhabiliter la personne. Punition ou prison. Mais on n’arrête pas un comportement parce qu’on le dit ou l’exige. Il reviendra ou sera seulement recouvert d’interdit, car le comportement est le résultat d’un processus. Ces attentes sont à l’origine des racismes, des discriminations, des mises à l’écart, de la notion de minorité…etc…

L’idée de VS est de favoriser l‘intelligence universelle du patient.

 

Les Etapes originelles d’un Comportement :

Perception : dépendante de ce qu’on connait. Différent chez chaque personne. On ne perçoit que ce à quoi on est préparé à percevoir. C’est basé sur tout ce que d’autres m’ont enseigné, tout ce que d’autres ont déjà établi comme vrai, ce qui est autorisé, ou ce qu’ils ont senti être vrai. Ce que je perçois est une fonction de ce que j’ai été préparé à porter mon attention dessus. Ce que je vois est très différent de ce qui est.  Pour tout évènement, même si tous ont vécu la même histoire, ça reste une histoire et il n’y a pas de réponse universelle.
La plupart du temps on pense qu’on sait ce qu’il s’est passé. Et on juge à partir de ce qu’on voit, car on ne voit que ce qu’on est capable de voir.

Signification : deux parties : d’un point de vue intellectuel, d’un point de vue émotionnel. quel sens donnes-tu à ce qui s’est passé ? comment tu te sentais quand tu as vécu la signification ? Tout ce que l’être humain fait a besoin d’avoir une signification : on donne de la signification intellectuelle et émotionnelle à chaque évènement du vécu. Cette signification est dépendante du vécu.
Par ex : deux frères sont dans la même pièce avec leur père. Le père fait claquer sa pipe entre ses dents. L’un des frères devient nerveux. Son grand père lui avait expliqué que lui avait perdu une dent à force de claquer les dents contre sa pipe. L’autre frère n’a jamais entendu cette histoire et est content car pour lui son père fume la pipe et a du temps à lui consacrer.

Ce qui se rapporte à moi/rapport à l’estime de soi : comment tu te sens vis-à-vis de toi à propos de la sensation ? lien avec l’estime : Si je suis ok avec l’émotion d’être en colère, ou si je me sens coupable. Dans toute situation l’être humain se demande suis-je accepté ou suis-je rejeté ? ai-je une valeur ? « plus nous sommes capables de nous donner de la valeur en toute autonomie moins nous nous posons ces questions » Tout comportement destructif dénote une faible estime de soi.

Réponses Emotionnelles : prennent leurs racines dans le passé : je me sens safe, ridicule, en colère, honteux, etc… « l’émotion en elle-même ne dit rien, c’est l’émotion de l’émotion qui est parlante ».  Celui qui a raison est celui qui est aimé, celui qui a tort est celui qui est coupable, celui qui est coupable est celui qui est rejeté. Il y a toujours une réponse émotionnelle : L’être humain est équipé pour avoir toujours une réponse physiologique à tout vécu. Ce n’est pas parce qu’on a un ressenti qu’on a la conscience de cette réponse physiologique. Même mes personnes qui ont des blocages comme l’aphasie ou les états de catalepsies ont réponses physiologiques, mais qu’il y a des processus d’interdiction de réaction très stricts qui sont destinées à protéger la personne.

Défenses : quelle défenses utilises-tu ? La défense classique est que l’autre est responsable. ex : je pense que tu es la cause de mon mal être.
Ex : je ne fais confiance à personne. Cette acception, consciente ou non, est destinée à nous protéger, par exemple après une ou plusieurs « trahisons », déceptions. Mais poussées à l’extrême, les défenses peuvent générer des maladies ou même nous mener à la mort.

La Liberté de commenter: « je suis une personne gentille donc je ne devrais pas être en colère », le commentaire a un rôle de (faux) médiateur.

Ces étapes mènent à un Comportement. Un comportement ne peut aller que dans deux directions : vers soi ou vers les autres / vers l’intérieur ou l’extérieur.

Principe de traitement : face à un comportement, l’idée de V. Satir est d’aller reconstituer le processus pour mettre en lumière les différents aspects qui touchent aux perceptions (au monde ou réalité de la personne), à l’estime, aux réponses émotionnelles, aux mécanismes de défense et d’évitement et donc de dégager les obstacles.

Elle n’aborde pas ici les moyens employés, ni les détails de sa méthode, on le verra dans la méthode Satir, mais elle utilisait beaucoup la conversation et les jeux de rôles, son credo est de ne pas seulement restaurer le patient arrivé avec une pathologie (jusqu’à la prochaine rechute) mais de générer un état de joie, et durable.

 

****************************************************************

Le choix efface le  stress.
Exemple
 : un mari veut tuer sa belle-mère, tellement il s’agace de ses plaintes à répétition. Au lieu de lui dire «  tu ne dois pas faire ça », donc d’empêcher le comportement, l’idée est de demander « comment tu vas faire ça ? ok tuer ta belle-mère est une des manières de changer la situation, et qu’arrivera-t-il ensuite ? que t’arriveras-t-il à toi en tant que citoyen, mari de la fille de celle que tu auras assassiné, en tant que père meurtrier de la grand-mère de tes enfants ? et que se passera-t-il en toi, pendant longtemps, ou pendant le restant de tes jours, quand tu auras réalisé ce que tu dis aujourd’hui vouloir faire par agacement ? »
et « cherchons au moins deux autres manières d’agir qui vont régler le problème qui est en toi de t’agacer de ta belle-mère ».
Le simple fait d’être dans cette prise de conscience d’autres possibilités, met la personne dans une position d’avoir le choix, et à partir du moment où il y a le choix, il n’y a plus de stress.

***********************************************************

Les comportements destructeurs
Dans les comportements destructeurs, quel que soit le domaine, on retrouve toujours : Diminue la perception de ce qui est (car la perception est dominée par les pensées), la signification est très sommaire, la personne se sent constamment en danger de ne pas être aimée, ses réponses émotionnelles sont toujours la peur, leurs défenses sont comment ne pas ressentir la peur (et mettre quelque chose à l’extérieur, en dehors de soi pour contrôler la peur), et ces personnes savent pleinement commenter.

© 2024 La Montgolfiere

Theme by Anders NorenUp ↑