Mois : juin 2021

CNV : communication – check dans une situation donnée

Jour 1 vidéo 7 :

Dans une situation de conflit intérieur, faire le check :

1 – Observation de la situation

Ce qui est subjectif

Ce qui est objectif

2  – je me sens … (triste, en colère….)     – attention à ne pas mélanger ressenti et jugement : je me suis manipulé = un ressenti + un jugement, ce qui est une posture de victime

3 – Parce que j’ai besoin de …

4 – Nommer le besoin

 

 

Chaque jour …

Chaque jour …

Chaque jour, avant de vouloir être proche des autres, je me demande « est-ce que je suis proche de moi ?  »

Comment je me sens ? suis-je « ensemble » avec moi ? en cohérence ? en cohésion ? en harmonie ? aligné ?

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Utiliser la facilité pour changer les schémas non désirés

Pratique suggérée :

Faites une liste de deux ou trois comportements ou habitudes envers des personnes ou des situations que vous aimeriez changer.

Notez-les (vous pourrez en ajouter d’autres à votre liste plus tard). Par exemple, l’impatience, les réactions hâtives, la frustration, l’irritation ou tout autre comportement indésirable. Il est important de ne pas vous juger pendant que vous faites cela.

Ensuite, mettez-vous à l’aise dans votre cœur et observez et honorez votre désir de changer.

Ensuite, faites un auto-dialogue sincère et honnête sur la façon de gérer le ou les éléments que vous avez énumérés. Le dialogue avec soi-même le plus significatif se produit lorsque le cœur – votre véritable moi – parle à l’esprit. (Si l’indécision ou le doute de soi commencent à faire surface, sachez que c’est seulement votre esprit qui parle. Réalisez simplement qu’il s’agit de votre ancienne façon de penser, puis reconnectez-vous à votre cœur et engagez-vous à nouveau dans le changement que vous désirez vraiment).

Revoyez les étapes de l’Apaisement intérieur et agissez en fonction de vos idées et de vos intentions.

 

La technique du calme intérieur

La technique Inner-Ease™

Étape 1. Concentrez votre attention dans la zone du cœur. Imaginez que votre souffle entre et sort de la zone du cœur ou de la poitrine, en respirant un peu plus lentement et plus profondément que d’habitude. Suggestion : Inspirez 5 secondes, expirez 5 secondes (ou le rythme qui vous convient).

Deuxième étape. À chaque respiration, aspirez la sensation d’aisance intérieure pour équilibrer votre énergie mentale et émotionnelle.

Troisième étape. Fixez une intention significative pour ancrer le sentiment d’aisance intérieure dans vos projets, vos défis ou vos interactions quotidiennes.

 

ancrer les inspirations et les intuitions

Étapes importantes à retenir pour ancrer les inspirations et les intuitions

Agissez sur vos inspirations et vos intuitions dès que vous les ressentez. La procrastination permet à l’énergie gratuite de l’inspiration de s’estomper – ce qui rend vos intentions de plus en plus difficiles.

Ne vous contentez pas de dire « je sais que je devrais » et passez à l’action, car vous bénéficiez d’une économie d’énergie et surtout d’une réduction du stress.

Revenez sur votre engagement à mettre en pratique vos nouvelles intentions tout au long de la journée et respirez de temps en temps le sentiment et le souvenir qui y sont associés. Cela augmentera la force et la résilience de votre intention.

N’oubliez pas : L’utilisation d’un nouvel outil chaque jour pendant une semaine (ou plus) ancre votre nouvelle habitude, qui deviendra bientôt une réponse automatique.

Appréciez tous les effets positifs, car le renforcement renforce l’esprit de votre engagement.

 

 

Passé, Présent, Futur, Progrès et Adaptation

Samedi matin. Le bruit du monde des humains n’a pas encore déraillé. Il y a encore 100 ans, le moteur à explosion n’avait pas encore envahi l’espace sonore, l’espace tout court pour séparer les gens et les humains. C’est seulement un exemple de ce qu’on appelle le progrès, qui génère des changements de monde. Comme toujours, ce n’est pas la nature de toute chose qui pose problème, c’est ce qu’on en fait. Les humains ont une tendance forte à utiliser leur pouvoir cérébral pour créer des choses incroyables, mais ne savent pas utiliser le même cerveau pour en faire de bons usages.

Dans la nature, existe aussi des inventions, mais est ce que elles génèrent autant de déséquilibres ? D’aussi rapides et profonds changements ? Dans la nature existent des inventions mais pas de réflexions identique ? Pas de réflexion temporelle ?

L’intelligence de l’homme le pousse à croire qu’il est le seul à réfléchir, à ressentir, à penser et inventer.

Peut être que nous avons des êtres vivants à nos côtés sans que nous ne les percevons ? Nos 5 sens et le 6eme ne peuvent pas tout percevoir. Les microbes n’existent pas par nos sens,ni les virus encore plus petits. Pourtant aujourd’hui on admet leur existence, qu’on pense vraie. On les a découverts grâce à nos inventions, le microscope. Pourtant ils étaient là avant. Le fait de les savoir exister change t elle leur nature ? Non. Mais ça change notre manière d’agir.

Notre inventivité et le fait d’avoir construit des objets non naturels comme le microscope a changé notre rapport au monde. Et établi des barrières. Et perturbé voire annulé le respect des processus naturels.

Je suis enfant de ces déviations. Je ne serai pas vivant sans les progrès non naturels. Si je suis vivant c’est que c’est prévu ainsi. Si c’est prévu ainsi, c’est que tout ce qui est ainsi, notre monde qui fout le camp, est prévu pour ça.

Ce n’est pas une raison pour ne rien faire. Mais faire un monde meilleur. On ne battit pas un monde meilleur avec des fermetures et des barrières. Mais en ouverture.

Qui suis-je alors pour juger que les humains n’utilisent pas bien leur cerveau ? Où est la limite d’un progrès ? Dans l’intérêt particulier, comme par exemple moi vivant sauvé par les chirurgiens à ma naissance, ou l’intérêt des chirurgiens qui étaient fiers d’opérer des bébés comme moi ? D’ailleurs est-ce que ce sont des bonnes choses ? … Il n’y a pas de bonne et de mauvaise choses, juste ce qui est ! Donc comment agir ? Tout accepter ?
Ou alors dans l’intérêt collectif ? Une invention pour les uns serait peut-être dommageable pour le collectif ? Le fait d’imposer des mesures à tous pour protéger les uns est il positif ? … Dans la nature, la pie ou encore le chat ont ils un sens du collectif quand Ils font leur vie chaque jour nouveau ? Non ! Ont ils des réflexions qui privent consciemment d’autres de liberté ou de moyens ? Non …

Ce qui semble distinguer l’homme du reste et le séparer, c’est la conscience avec un petit c. Qui prive en premier lieu l’homme de la connexion, la connexion à son monde et à la Conscience avec un grand C. Et qui en définitive mène à sa propre destruction. Ce qui permet d’être si différent est le moteur de sa perte. Inventer est bien, c’est dans la nature. Le fait de posséder la conscience avec un petit c , l’ego, fait que les inventions, le progrès, dérive et est mal utilisé.

Si tout progrès était né dans le moment présent et non pas dans des intentions futures et égoïstes de pouvoir et de possession, les progrès ne seraient peut-être pas aussi souvent néfastes ? Si les progrès passés n’étaient pas réutilisés de façon égoïstes pour le pouvoir et la possession, peut être que ces inventions passées ne deviendraient pas néfastes ?

Le passé n’existe pas, tout comme le futur. Ce sont des représentations mentales, des repères, des outils, pas des réalités. On ne peut être par la pensée dans deux temps en même temps.

Quand je pense soit au passé ou au futur, mon esprit est « ailleurs ». Par conséquent, je ne suis donc pas dans le présent. Ces temps me séparent de la connexion avec le présent.

On n’agit que dans le présent. On ne peut jamais agir dans le passé ou dans le futur.

On peut agir dans le présent dans les pensées du passé ou du futur. C’est ce que nous faisons la plupart du temps. Prenez une journée type d’une grande majorité de métiers.

Agir sur le passé : le passé étant mort, on ne peut que soit le trafiquer pour lui faire dire autre chose, donc l’interpréter, soit réparer.

Dans le premier cas, on essaye de faire parler le passé. Ce sont toujours des interprétations qu’on fait. On ne peut revenir dans le passé, exactement. Donc, ce qu’on dit du passé ou lui fait dire est fait dans le présent, qui est un moment différent. On ne peut  donc que mentir, se mentir ou mentir aux autres. Ce qu’on peut, c’est mesurer le résultat du passé dans le présent. C’est tout. Ce sont des constats. Mais ces constats sont très faibles, quand on s’interdit d’interpréter le passé. Par exempl,e il est impossible de dire que les mesures prises dans la crise mondiale de peur collective ont permis d’éviter le moindre décès. Il aurait fallu faire l’inverse au même moment dans le même contexte, en éliminant toutes les variables. Le temps qui passe est à lui seul une grande variable. Ce qui est impossible. Si on examine le passé dans ce qu’il est, il n’est rien. Si on examine le passé dans ce qu’il était, c’est un mensonge, car on ne peut pas être dans le passé. J’ai vécu des tas de choses durant cette existence, mais tout ce qu’il en résulte est mon inteprétation, les traces laissées, et ce ne sont pas des réalités. Le passé ne peut être réel, la seule chose qui puisse être réelle est dans le présent.

On peut vouloir réparer les conséquences du passé dans le présent. Mais pas le passé en lui-même. De fait, il est inutile voire dangereux de reparler, ressasser le passé. Si nous sommes tellement attachés à nos passés, c’est parce que nous nous identifions à ce que nous avons vécu, et trainons nos boulets. Laisser le poids du passé permet de libérer le passé, pour qu’il passe au passé. Si nous sommes tellement attachés au passé, c’est par culture, par conditionnement, par tous les tabous que nous accumulons. Le travail chez le pys à ressasser le passé, est un boulet qu’on traine encore et encore, il cultive cette identification à ce qui est passé. Car pour la grande majorité des gens, si on n’a plus d’identification au passé, on n’est plus rien, on n’est plus soi. Les possessions, par exemple, sont des boulets du passé.

Le passé n’est pas utile. Le cultiver c’est le reproduire. Cultiver le passé, c’est reproduire les façon de penser qui l’ont produit. On ne peut pas produire des choses nouvelles avec les mêmes façons de penser qui ont mené à un résultat passé. Tant qu’on reste dans le modèle de pensée, qu’on  ne change pas l’environnement, le résutlat du passé est reproduit dans le présent. Souvent, on reprend le passé et on change quelque chose à la marge. Les résultats ne sont jamais fulgurants, et quand ils le sont, c’est qu’un hasard a introduit un élément nouveau de manière fortuite et non-intentionnelle.

On ne peut pas réparer le passé. Parce que le passé n’existe plus. Seul est le résultat, et ce résultat est inscrit dans le présent. Ca fait partie de ce qui est présent dans le présent. Il n’y a donc rien à réparer.

Je peu être tenté de penser que je peux continuer la même histoire du passé en modifiant des éléments que je pense être perturbateurs, mais j’agis à la marge, et j’agis en me fermant, en mettant des barrières. En bloquant. C’est se fermer au possible.

Or, la vie est mouvement par définition, et  chaque fois que je bloque, je m’illusionne de bloquer ce qui ne peut être stoppé : la Vie !

Si je veux contrôler le futur, c’est que je veux contrôler ce qui est arrivé par le passé, donc ma représentation du passé. Si beaucoup de monde pense que dans le passé très récent est arrivé une horrible chose liée à telle cause, alors on va trouver les preuves à postériori pour justifier cette idée, et on va engager les tentatives de contrôler. En faisant cela, on ne peut donc, par définition, que tenter de contrôler la répétition du passé ! On ne peut donc pas créer du nouveau ! Et donc, on ne peut que se remettre dans le même environnement qui a mené aux résultats qu’on est en train de contrôler. Et par conséquent, on va récolter des résultats similaires, voire pires à plus ou moins longue échéance. Car en contrôlant, que fait-on ? On empêche une situation d’émerger par le chemin par lequel elle a émergé, et on n’agit absolument pas sur la source de cette situation. Elle va donc, à plus ou moins longue échéance, trouver un autre chemin, en tenant compte de la résistance qu’on lui a opposée, et elle trouvera un autre moyen. Plus dur à maitriser à chaque fois. C’est le principe de résistance : plus on s’oppose, plus on renforce. On connait cela avec les antibiotiques et donc avec les microbes, mais c’est identique pour les comportements humains, ou avec toute forme d’énergie.

Par contre, je peux dans ma situation du présent en modifier un élément du présent, qui est le résultat du passé dans le présent, pour créer autre chose à sa place. Pour que dans ce que je vais vivre ensuite, cet élément soit transformé et recréé.

Il n’y a donc rien à réparer, mais un changement, c’est de la création. Or, la création est le domaine de l’invention, de l’imagination, de l’enthousiasme, tout le contraire du rationalisme. Le rationalisme est très utile, mais il n’a pas sa place dans la créativité. Le rationnel est inscrit dans l’existant, par conséquent il ne peut pas décoller et se projeter.

Pour changer une situation héritée du passé, il faut donc surtout pas le cultiver, mais changer la façon de penser et créer, ouvrir, s’abandonner à la nouveauté. Et c’est ainsi qu’on crée un futur qui sera différent ! Et c’est alors qu’on invente, c’est-à-dire qu’on trouve ! parfois, il faut s’y reprrendre à plusieurs fois, et la lampe à incandescence a nécessité 1000 essais ! Si on s’arrête à un échec, on ne crée jamais de nouveauté ! Accueillir et donner la chance à la nouveauté, c’est s’ouvrir au possible.

Le passé est censé rassurer, l’avenir inquiète. Généralement on croit le passé, et on ne fait pas confiance à l’imaginaire de l’avenir.

C’est quand j’oublie le passé et le futur, donc cette obsession de la conceptualisation, que je me détache de ma séparation d’avec la nature et me reconnecte. Vivre dans le moment présent.
La paix. La sérénité, la tranquillité et l’accord avec les autres. Si les progrès passés n’étaient pas réutilisés de façon égoïstes pour le pouvoir et la possession, peut être que ces inventions passées ne deviendraient pas néfastes ? Si tout progrès n’étaient pas des intentions futures et égoïstes de pouvoir, de contrôle et de possession, les progrès ne seraient peut-être pas aussi souvent néfastes ?

Le seul progrès qui vaille est en fait celui inscrit dans la nécessité du présent, détaché du passé et du futur, c’est ce qu’on appelle l’adaptation. Dans la nature, les inventions sont de l’adaptation, pas du progrès.

C’est en effet quand j’oublie le passé et le futur, donc cette obsession de la conceptualisation, que je me détache de ma séparation d’avec la nature et me reconnecte. Vivre dans le moment présent.

Alors viennent la paix, la sérénité, la tranquillité et l’accord avec les autres.

Virginia Satir

640

8’21 : Mets-toi devant un miroir et prosterne-toi trois fois en disant  » Le monde est un endroit meilleur parce que je suis là « .
Puis observe ce qui se passe dans ton corps.
Le monde est un meilleur endroit parce que tu es là,
c’est ton droit de naissance en tant qu’être humain
de refléter ce qu’est être humain, et d’ajouter une vibration positive dans ce monde
et tu le fais sans que ce soit au détriment de quiconque, ni au détriment de la planète, sans que ça ne coûte quoi que ce soit
c’est ainsi que tu vas tendre ta main, gratuitement, en toute confiance

 

19’33 Nous dépensons des millions chaque année à tenter en vain  de régler les problèmes d’alcoolisme, de crimes, de violences domestiques ou d’enfants abandonnés … C’est de l’argent mal dépensé. Au lieu de cela il faudrait développer l’estime de soi. Car aucune personne ayant une bonne estime de soi n’a jamais été violent envers qui que ce soit. L’estime de soi ce n’est pas la fierté, ni l’orgueil, ni l’ambition.

 

21’00 Quand on touche le coeur d’un être, rien de mal n’arrive jamais.

 

09:29
then you will manifest our birthright totally as human beings
that wherever we are
we are made so that in the fulfillment and the reflection of what it means to be fully human
we add to the positive vibrations

Coeur de Dragon

En Asie, un enfant de 9 ans se pose des questions existentielles… Il va voir son grand-père et lui demande conseil :

Je suis un peu perdu,  pourquoi certaines journées je suis heureux, rempli de joie, de motivations, je ne vois que les belles choses et je ressens beaucoup d’amour. D’autres fois  je ne vois que les problèmes, je suis triste,  malheureux, j’ai envie de rien faire…

Le grand-père lui répond :

Tout va bien, c’est tout à fait normal.  Quand ton âme arrive sur terre et s’incarne, un Dragon blanc (pôle positif) et un Dragon noir (pôle négatif) font partis du jeu de l’attraction terrestre,  c’est le principe du Yin et du Yang.

Mais moi je ne veux pas du dragon noir,  je ne veux que le dragon blanc, c’était tellement plus agréable…

Impossible ! Comme nous tous, tu es né avec les deux  et ils resteront présents toute ta vie…

Donc si j’ai bien compris, je ne peux rien faire ?

Bien sûr que si ! A toi de trouver ce sur quoi tu peux agir et ce que tu ne peux changer.

Le garçon repartit avec encore plus de questions qu’avant… Cependant après quelques jours de recul, le déclic lui vient après une matinée passée à la ferme.  Il retourne immédiatement voir son grand-père pour lui annoncer la nouvelle :

J’ai trouvé la solution ! Ce matin en nourrissant les poules (il y avait des poules noires et blanches) j’ai compris qu’en nourrissant davantage le dragon blanc, il sera plus fort et battra le dragon noir !

Effectivement tu as trouvé une part de la vérité, tu as le pouvoir de renforcer le dragon blanc par tes pensées, ton état d’esprit, tes actes etc. Mais  il ne s’agit pas de se battre contre le dragon noir, ça ne ferait que le renforcer. Il s’agit de l’accepter tel qu’il est et de chercher la part de lumière, de positif qui est en lui. Que serait la joie sans  la tristesse, la confiance sans le doute, l’amour sans la peur…T’aimer tel que tu es, accepter l’imperfection, aimer la vie telle qu’elle est, est le chemin qui te mènera à l’équilibre et à l’amour inconditionnel.

En percevant la lumière de la conscience sur le visage de l’enfant, il lui partage une prière :

Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux pas changer, le courage de changer ce qui est en mon pouvoir et la sagesse d’en voir la différence.

Developper son sixième sens avec Sonia Choquette

Du livre ; À l’écoute de votre sixième sens de Sonia Choquette

 

1 Croire que e sixieme sens existe, et que chacun est naturellement intuitif. Chaque fois que tu penses que l’intuition n’existe pas, dis toi : «  ah bon, tu penses comme ça ? Ok, mais j’en doute », et à chaque fois que tu sens, sais, crois que tu est un être intuitif, félicite toi.

2 Prenez soin de votre corps : Manger correctement, et dormir suffisamment et avoir un sommeil de bonne qualité.

3 Sortir bouger

4 Le corps sait : repérer et écouter son corps, chacun a sa manière de ressentir l’intuition. Adressez vous à votre corps, ressentiez, cherchez

5 Respirer par le nez, prondondément, chaque jour un peu, en faisant Ahhh à l’expir, en relâchant les tensions.

6 Fichez vous la paix : cessez de courir dans un futur qui n’existe pas et n’existera jamais, mais vivez dans le présent : la loi spirituelle est joyeuse et créatrice, tandis que l’égo est englué dans les méthodes, principes et croyances.

7 Faites silence : chacun sa manière de faire silence du mental : le méditation silencieuse est souvent un moyen difficile, alors que la marche, la musique, la pratique de la musique, un hobby vont vider la tête. La TV ne vide rien du tout, elle ne fait qu’une pause et sa violence aggrave les choses.

À suivre

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