les copyrights sont à M d’Ansembourg, ceci n’est qu’un condensé personnel destiné à vous donner envie de suivre les formidables formations de ce coach exceptionnel plein d’humanité. Merci à lui.

 

Lorsqu’on juge on enferme. On a tendance à tout interpréter. Mettre en pratique le premier accord toltèque.

On a intérêt à ne pas juger.

Oui mais « Alors comment prendre les choses ? il faut bien écouter ? on ne peut pas rester sans rien faire, car alors ce n’est pas de la communication ?  »

Au lieu de juger, ressentir.

Exercice 1 :différencier subjectif et objectif

Une situation qui ne s’est pas passée comme tu l’avais espérée.

a – écris ce qui s’est passé en toi, comment tu l’as interprété.

b – la situation telle qu’elle était, sans passé ni futur, sans interpréter, sans « mais », sans affect. Vois la situation de l’extérieur.

Alors tu peux établir la différence entre les faits et l’effet.

Comment tu te sens quand tu passes de a à b ? …. voir aussi Byron Katie

 

Exercice 2 : les sentiments

a – Dans la situation jugée,  JE ME SENS … : nommer

b – Dans la situation observée, je nomme les faits et l’effet que ça me fait : nommer

(  » on  » = personne !    faire dire   » je  » )

Laisser le temps. Aller à la rencontre de soi. A ce moment-là on a souvent tendance à fuir, à passer sur autre chose et à nos addictions.

 

Exercice 3 : les besoins

quels sont les besoins qui ne sont pas nourris. Les besoins les plus criants sont les plus difficiles à exprimer. Introspection.

 

 

Méthodes : Psych-K, train qui passe, gauche-droite

Victime :
je ne me prends pas en main
se plaindre
ne change rien

Communication Non Violente : Communication a-violente, éviter la violence. J’essaye de nommer les faits.

Je parle de moi, de l’effet que ça me fait. ne pas parler de l’autre.
je parle de mes besoins. des besoins dans lesquels l’autre peut se retrouver.
progressivement pour arriver  un résultat plus grand à la fin.
demande ouverte qui accepte le non.