Le premier et principal problème est que le nouveau Coronavirus SARS-CoV-2 (dans la publication nommée 2019-nCoV et en février 2020 nommée SARS-CoV-2 par un consortium international d’experts en virus) est basé sur des séquences in silico (théoriques), fournies par un laboratoire en Chine [1], car à l’époque ni le matériel de contrôle du SARS-CoV-2 infectieux (« vivant ») ou inactivé ni l’ARN génomique isolé du virus n’étaient disponibles pour les auteurs. À ce jour, aucune validation n’a été effectuée par l’auteur sur la base de virus isolés du SRAS-CoV-2 ou de leur ARN complet.